• Histoire toute simple


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                     Linternaute.com
     26/08/13 14:01

    Molécules toxiques : quels produits du quotidien sont concernés ?

    Molécules toxiques : quels produits du quotidien sont concernés ?

    Les plupart des produits du quotidien ne présentent pas la liste complète de leurs composants. Beaucoup contiennent des molécules toxiques pour l'homme. Tour d'horizon des produits concernés

     

    "Faites la chasse aux parabens, triclosan, phénoxyéthanol car on ignore les effets à long terme", préconise le magazine "60 millions de consommateurs" de l'Institut national de la consommation. Après plusieurs études, la revue dresse la liste des produits du quotidien les plus nocifs, dans le but de mettre en garde ses consommateurs. Bien que les produits d'hygiène et de beauté soient soumis à une règlementation de transparence stricte, la plupart des fabricants de produits de droguerie n'affichent pas la liste complète de leur composition. 

    L'INC souligne ainsi qu'un nettoyant ménager "peut n'afficher qu'une proportion d'agents de surface et quelques parfums, rien de plus". Pour les cosmétiques et les produits de droguerie, l'institut souligne quatre agents à éviter. Rayon alimentation, il met également en garde contre quatre grandes molécules dangereuses pour l'homme.

    Paraben, triclosan : les produits à éviter

    On distingue quatre sortes de molécules nocives présentes dans certains cosmétiques : les parabens, le triclosan, le phénoxyéthanol et le méthylisothiazolinone (MIT). Les parabens sont soupçonnés de "modifier le fonctionnement normal du système hormonal". S'il est difficile de les éviter, certaines formes de parabens sont à proscrire : les butyl et propyl-parabens. A titre d'exemple, l'INC cite la crème épilation corps Roll-On de Nair, la cire pour les cheveux Schwarzkopt, la crème pour le corps Dove ou encore le fond de teint fondant de l'Oréal Paris.

    Pour ce qui est du triclosan, cet agent antibactérien pourrait favoriser la résistance aux antibiotiques et pourrait agir sur la contraction musculaire. On en trouve dans la mousse à raser apaisante Eau Thermale Avène, le dentifrice total blancheur Colgate, le dentifrice soin gencives Sanogyl ou encore la mousse de rasage anti-irritations de Cible. 

    Phénoxyéthanol et méthylisothiazolinone

    L'étude proscrit notamment le phénoxyéthanol, un conservateur dont les effets ont été remarqués chez les animaux. Bien que rien n'ait été conclu chez l'homme, il pourrait nuire à la reproduction et au développement. De nombreux produits pour bébés en contiennent, comme les lingettes baby Soft & Cream de Nivea, les lingettes sensitive de Pampers, ou encore les lingettes petites fesses de Disney Carrefour Kids.

    Enfin, l'Institut met en garde contre la molécule la plus présente dans les produits du quotidien : le méthylisothiazolinone, ou MIT. Utilisé comme conservateur, il est a l'origine de plusieurs allergies, comme l'eczéma. Les chercheurs précisent que "quand on est allergique au MIT, c'est pour la vie". Plusieurs dérivés de cette molécules sont potentiellement dangereuses. Parmi les produits qui contiennent du MIT, on trouve le démaquillant pour les yeux Nivea, la crème main réparatrice du Petit Marseillais, le liquide vaisselle peaux sensibles Carrefour, d'adoucissant fraîcheur alpine de Carrefour, le nettoyant ménager multi-surface Ajax ou encore le gel douche nourrissant Dove.

    Côté alimentation : les colorants et antioxydants dangereux

    Difficile d'examiner chaque étiquette dans le rayon alimentation. Mais pour faciliter la tâche des consommateurs, l'institut a dressé la liste des aliments à proscrire. Les molécules dangereuses ? Le caramel E150D, classé potentiellement cancérogène, et présent dans le vinaigre balsamique Maille, le Pepsi, le Coca-Cola, les bonbons têtes brûlées de Verquin confiseur, les carambars mix minis...
    Seconde molécule dangereuse : le sulfite de sodium, soupçonné de déclencher des maux de tête, des démangeaisons, des difficultés respiratoires... Il est présent dans la moutarde de Dijon de Bouton d'Or, dans les gnocchi à poêler de Panzani, dans les tuc de Lu, dans le cidre breton brut de Loïc Raison.

    Prescription de l'INC : "bannir les colorants azoïques". Soupçonnés d'être potentiellement cancérogènes et allergisants, ils sont présents dans de nombreuses boissons : Mister Cocktail, punch planteur de Lagoa, Apéritif sans alcool Ricard, boisson gazeuse goût fraise Mirinda...

    Enfin, l'antioxydant BHA présent en particulier dans les chewing-gum, les soupes et les purées, est classé potentiellement cancérogène. Les tablettes Hollywood Chewing-gum, les Freedent clear, les Mentos white, mais aussi les rice krispies de Kellogs, les barres croustillantes Special K... 


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  • Le chocolat est-il dangereux pour les chiens ?

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    Nombreux sont ceux qui donnent un petit carré de chocolat à leur chien pour lui faire plaisir, sans tenir compte de ce que cette gourmandise pourrait être dangereuse pour Médor…

     

    Alors, le chocolat est-il dangereux pour les chiens ? Oui ! En effet, la fève de cacao, principal ingrédient du chocolat, est toxique pour les canidés.

    Cependant, la dangerosité de l’aliment dépend de plusieurs facteurs : la quantitéde chocolat ingérée, bien entendu, mais aussi le type de chocolat et le poids de votre chien.

    Ainsi, le chocolat noir, plus riche en Théobromine que le chocolat au lait ou le cacao en poudre, est dès lors plus toxique. Le chocolat blanc est quant à lui inoffensif.

    Par ailleurs, on estime que qu’une tablette de 50 grammes es mortelle pour un chien de 8 kilos, tandis qu’une tablette de 150 grammes peut tuer un chien de 25 kilos.

    Il est également dangereux pour les chats.

    L'oignon et l'ail

     Ces deux substances sont extrêment toxiques voir mortelles pour les chats à cause de leur teneur en N-propyl-disulfure. Cette molécule peut provoquer une anémie sévère chez l'animal en détruisant ses globules rouges. Faites attention à certains types de viandes vendues sur le marché qui peuvent contenir des petites quantités de ces deux légumes.

    Le raisin

     Evitez de donner tout aliment ou boisson qui pourrait contenir ne fut-ce que des résidus de ce fruit très toxique pour les chats.

    La caféine

     La caféine est un stimulant du système nerveux chez les humains. Les choses sont différentes chez nos amis les chats. Suite à son activité stimulante, la caféine excite le système nerveux du chat et cause des tremblements, des vomissements et parfois de la diarrhée.

    Méfiez-vous aussi du porc cru, du poisson d'eau douce cru, des avocats, du sel.

    Les plantes suivantes sont dangereuses pour les chats : Ficus, azalées, cyclamen, tulipe, anémone, muguet, jonquilles

    Le chocolat est-il dangereux pour les chiens ? Oui. Et pour les chats aussi.


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    On appelle ceci des "Homographes non homophones"

    Car ces mots s'écrivent de la même façon mais se prononcent autrement suivant le sens....
     
     
    En français : deux mots composés des mêmes lettres se prononcent toujours de
    la même façon !

    En êtes - vous bien sûr ?
    Voici quelques exemples d’homographes de prononciations différentes !
    (Homographes non homophones)
     
    Sortant de l’abbaye où les poules du couvent couvent, je vis ces vis.
    Nous portions nos portions, lorsque mes
    fils ont cassé les fils.
    Je suis content qu’il vous content
    cette histoire.
    Mon premier fils est de l’Est, il est fier et
    l’on peut s’y fier.
    Ils n’ont pas un caractère violent et ne
    violent pas leurs promesses, leurs femmes se parent de fleurs pour leur parent.
    Elles ne se négligent pas, je suis plus négligent.
    Elles excellent à composer un excellent
    repas avec des poissons qui affluent de l’affluent.
    Il convient qu’elles convient leurs amis, elles expédient une
    lettre pour les inviter, c’est un bon expédient.
    Il serait
    bien que nous éditions cette histoire pour en réaliser de belles éditions.

     

     

    Voyons aussi aussi quelques exemples d’homographes de même prononciation :
    (Homographes homophones)

    Cette dame qui dame le sol.
    Je vais
    d'abord te dire qu'elle est d'abord agréable.
    A
    Calais, où je calais ma voiture, le mousse grattait la mousse de la coque.
    Le bruit dérangea une
    grue, elle alla se percher sur la grue.
    On ne badine pas avec une badine.
    En mangeant des
    éclairs au chocolat à la lueur des éclairs...
    En découvrant
    le palais royal, il en eut le palais asséché.
    Je ne pense pas
    qu'il faille relever la faille de mon raisonnement.
     
    Voici l'exemple le plus extraordinaire de la langue française !
    (mots de sens différent mais de prononciation identique)
    le ver allait vers le verre vert


    1. Le plus long palindrome de la langue française est « ressasser »
    On peut donc le dire dans les deux sens. .

    2. « Squelette » est le seul mot masculin qui se finit en « ette »

    3. « Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e »
    C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun « e ».

    4. L'anagramme de « guérison » est « soigneur »
    Et vice et versa.

    5. « Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul.


    6. Le mot « simple » ne rime avec aucun autre mot. Tout comme « triomphe », « quatorze », « quinze », « pauvre », « meurtre », « monstre », « belge », « goinfre » ou « larve ».

    7. « Endolori » est l'anagramme de son antonyme « indolore »
    Ce qui est paradoxal.

    8. « Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d'être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle.
    Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l'amour au pluriel.

    9. « Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune
    des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x]


    10. « Oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les voyelles.

     


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    On ne le répétera jamais assez, le chien est vraiment le meilleur ami de l'homme !

     

    Dans le Kentucky, le policier Jason Ellis avait 33 ans lorsque le 25 mai dernier, il a été 

     

    abattu par balle. Le journaliste Jonathan Palmer était chargé de couvrir l'enterrement du

     

    policier. Si une cinquantaine de chiens policiers étaient présents, c'est Figo le Berger

     

    Allemand du défunt qui a ému l'assemblée en se jetant littéralement sur le cercueil de son

     

    maître au moment où il traversait l'allée. Un instant émouvant que le journaliste a capturé.

     

     

     

    chien-cercueil-maitre

     

    Cliquez sur la phrase qui suit et....  

     

    Découvrez également les incroyables retrouvailles d'un chien et son maître militaire qui revient de mission !

     


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  • Certains produits alimentaires (y compris les boissons), se conservent jusqu'à une année après leur date limite de consommation, et ce sans aucun danger pour la santé. Tel est le message qu'entend faire passer l'Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (AFSCA*) dans une récente circulaire. Pourquoi ce courrier ? De quels produits s'agit-il ? De quelle date parle-t-on au juste ? Et quelles sont les règles préventives à respecter en la matière ?

    NON AU GASPI !

    La circulaire de l'AFSCA* concernant les dates de péremption n'est pas neuve, puisqu'elle date déjà du 23 décembre 2011. La nouvelle circulaire du 2 août 2013 par contre fournit “des lignes directrices en qui concerne l'interprétation des dates de péremption (...) spécifiquement destinées aux banques alimentaires et aux associations caritatives. Cette initiative cadre dans une politique sociale et durable en matière de sécurité alimentaire en vue de parvenir à une protection maximale du consommateur et à une réduction du gaspillage alimentaire,” peut-on y lire en substance.

    Mais la circulaire a fait énormément parler d'elle dans les médias, parce que ses lignes directrices peuvent bien évidemment être transposées aux citoyens comme vous et moi. On va donc pouvoir cesser de jeter les emballages périmés qui traînaient dans le frigo ou au fond des armoires ? Non, mais on va gaspiller un peu moins de nourriture…

    DEUX DATES LIMITES DIFFÉRENTES

    Il existe pas mal d'imprécisions sur l'utilisation et la signification des dates de péremption. Il faut tout
    d'abord faire une nette distinction entre la date limite de consommation et la date de durabilité
    minimale.

    • La date limite de consommation (mention sur l'étiquette: 'à consommer jusqu'au') ne se rapporte qu'à
      la sécurité du produit, elle est indiquée sur des denrées alimentaires périssables. Au-delà de cette
      date, les produits ne peuvent plus être vendus et ne doivent pas non plus être consommés en raison
      des risques potentiels qu'ils impliquent pour la santé du consommateur.
      Les produits présents dans le commerce avec un dépassement de la date limite de consommation
      sont considérés comme nuisibles selon l'AR du 3 janvier 1975.
    • La date de durabilité minimale (mention sur l'étiquette: 'à consommer de préférence avant le (fin)') est
      indiquée sur les produits moins vulnérables microbiologiquement parlant, et qui présenteront donc
      moins rapidement un risque pour la santé du consommateur.
      Jusqu’à cette date, le fabricant garantit un produit sûr et de qualité. Après cette date, cette garantie
      n'est plus présente, mais il n'y a pas de risque pour la santé si l’emballage est intact. Il existe par
      contre un risque que la qualité du produit diminue en fonction du type de denrée et de la période de
      dépassement. Les biscuits peuvent, certes, sécher ou durcir, les céréales du petit déjeuner peuvent ramollir, mais restent parfaitement comestibles. Le fabricant a tout intérêt à ce que ses produits plaisent au consommateur et le fidélisent, c'est pourquoi il inscrit une date de péremption qui fait office de garantie.

    Une exception : il arrive que des produits à conserver au frais soient estampillés “à consommer de préférence avant le...”, bien qu'il s'agisse d'une denrée périssable. Il va de soi que ces produits doivent toujours être stockés à la juste température (chaîne du froid), chose que le consommateur peut difficilement vérifier. D'où il ressort que cette date limite apparemment plus souple doit bel et bien être considérée comme un “à consommer jusqu'au...”. 

    “Un vendeur qui décide de laisser en vente des denrées dont la date de péremption est dépassée le fait sous sa propre responsabilité”, précise la circulaire de l'AFSCA datée du 23/12/2011. Il ne peut en aucun cas modifier la date inscrite sur le produit ou sur son emballage.

    “Il revient également au consommateur d'estimer les risques encourus lorsqu'il consomme un aliment dont la date conseillée de consommation est dépasséee”, indique encore la même circulaire.

    A QUOI FAUT-IL ÊTRE ATTENTIF ?

    Les produits pourvus d'un “à consommer de préférence le...” ne doivent pas automatiquement finir à la poubelle une fois l'échéance atteinte. Il faut cependant se poser les questions suivantes :

    • L'emballage est-il intact, n'est-il pas abîmé (ex. déchirure, fissure, conserve bombée, marquée d'un coup ou rouillée, etc.) ?
    • Le produit a-t-il encore un bel aspect (ex. la couleur n'a pas tourné, il n'est pas moisi ou ranci) ?
    • Le produit semble-t-il normal à la vue et à l'odorat ?

    Si la réponse à ces trois questions est affirmative, vous pouvez consommer le produit sans aucun risque.

    A l'attention des banques alimentaires et des associations caritatives auxquelles était destinée la récente circulaire, l'AFSCA* a dressé la liste des lignes directrices à prendre en compte pour la consommation des denrées une fois la date de péremption dépassée, ainsi que les éléments permettant de détecter les produits (classés en quatre catégories) devenus impropres à la consommation. Vous trouverez cette liste en annexe.

     Fichier(s) attaché(s) :

     
     * AFSCA : Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Belgique)
     
     
     Source : Plusmagasine.be

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  • La double photo du jour :

          Cette célèbre photo de Nick Ut, un jeune photographe de guerre, a contribué à la fin de la guerre du Vietnam.


    KP1.jpg 

    Kim Phuc, la petite fille de 9 ans, brûlée par le napalm est devenue depuis maman et porte parole pour la paix.


    Kp2.jpg


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  • Des images apocalyptiques de l'orage à la côte ce lundi à Knokke le Zoute

    BELGIQUE Un spectacle impressionnant !
    C'est désormais une habitude sur le plat pays : chaque période de beau temps finit régulièrement par être sanctionnée de gros orages. Nous n'y avons pas échappé cette semaine et plusieurs régions du pays ont déjà été touchées ce lundi soir. 
    Ainsi, Lierre a été traversée par une petite tornade, endommageant notamment le stade du Lierse, club de D1. Du côté de la côte, les dégâts sont moins nombreux mais le spectacle était peut-être plus impressionnant encore. 
    Une vidéo tournée à Knokke en témoigne (voir ci-dessous). A Ostende, l'un de nos internautes a pris ce magnifique cliché quelques instants avant la tempête.

     


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  • Si vous désirez adopter un animal, découvrez d'abord ces excellents articles parus dans Famidoo.be

    L’adoption d’un animal? Un engagement!


    Réfléchie, la décision d’adopter un animal ne peut pas résulter d’un coup de tête, ni d’un coup de foudre ! Pour ne pas décider à la légère, il convient de se poser quelques questions :

    Tout d’abord, demandez-vous si vous et vos enfants aurez du temps à consacrer à cet animal. Il s’agira de le cajoler certes mais aussi de le promener, de le toiletter, de le nourrir, ...

    Ensuite, interrogez-vous sur les capacités d’accueil de votre maison : votre habitation est-elle adaptée à l’animal que vous désirez adopter ?

    Finalement, analysez l’aspect financier : vos revenus sont-ils suffisants pour vous permettre d’assumer un animal mais aussi sa nourriture, sa toilette et les soins vétérinaires qu’il engendre ?

    Après vous être posé toutes ces questions, reconsidérez votre désir d’adopter, ou celui de votre enfant. Vous êtes toujours aussi motivés ? Alors tant mieux !

    Enfin, sachez qu’adopter un animal représente une sorte d’engagement : non seulement une promesse d’amour envers cet animal, mais aussi un serment d’en prendre soin, de lui apporter la nourriture et l’affection dont il a besoin chaque jour, tout au long de sa vie.

    Emilie,

    rédactrice


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  • Les moustiques "like" ma peau!!!!  Et vous ?

    24 moustiques aiment ça !!!

     

    Les moustiques "like" ma peau!!!!  Et vous ?

     


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  • La Chine a un faux Paris, et c'est une ville fantôme

    Chine-paris-faux-clone-réplique

    C'est une belle photo de Paris, n'est-ce pas? Nan! Ce n'est pas Paris et non, ce n'est pas Disney World ou encore le Strip de Las Vegas, il ya une réplique Paris en Chine. Ce qui rend ce clone de Paris est encore plus bizarre que c'est une ville fantôme. Seulement environ 2.000 personnes y vivent, ce qui signifie que ces gratte-ciel géant, avec 700 unités + ont tendance à avoir seulement environ 30 personnes vivant dans chacun d'eux. Cette ville est devenue un lieu purement pour prendre des photos de mariage pour les citoyens chinois qui ne peuvent pas se permettre de se rendre à Paris pour de vrai et c'est une destination de choix pour les curieux.

    Cette réplique chinoise de Paris est très bien, parisien. De la Tour Eiffel au reste des bâtiments. Tout est méticuleusement cloné. La Chine Paris est situé dans un quartier résidentiel en périphérie de Hangzhou dans la province du Zhejiang, dans l'Est de la Chine et est appelé Tianducheng.

    Ces villes abandonnées géants se multiplient dans toute la Chine et les gens craignent que cela pourrait être le début d'une grave crise de l'immobilier dans un avenir proche. Une crise de l'immobilier en Chine aurait sans doute un impact majeur sur l'économie mondiale depuis le reste du monde dépend si lourdement sur le secteur manufacturier chinois, il est de plus en plus la classe des consommateurs, et c'est la soif pour le reste des ressources naturelles de la planète.

     Pour voir la vidéo : http://www.nextventured.com/2013/china-fake-paris/

    Source : lalibre.be


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  • Il fait trop chaud. Même Manneken Piss se déssèche


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  • Une Allemande récupère grâce à l’application Dropbox les photos de son iPhone volé et les publie sur Tumblr.

    Tout commence une nuit à Ibiza, où un groupe de fêtards allemands se font dérober leurs affaires. Quelques mois après, l’une des victimes découvre à sa grande surprise une quinzaine de nouvelles photographies dans le dossier Dropbox Camera Upload de son ordinateur, où sont téléchargées instantanément les images prises par son iPhone, volé à Ibiza. En effet, le voleur n’a pas désinstallé l’application Dropbox du smartphone, et transmet donc sans le savoir toutes ses photos.

    La jeune femme a alors accès aux diverses photographies du délinquant… qu’elle décide de publier sur Tumblr par vengeance. Sur le blog La vie de l’inconnu qui a volé mon téléphone, la vie du voleur, nommé Hafid et vivant à Dubaï, est légendée par commentaires sarcastiques et peu élogieux. Basse qualité des photos, mauvais goût vestimentaire, manque d’hygiène, bêtise : la victime commente toutes  les habitudes du nouveau propriétaire de l’iPhone de façon ironique, acerbe et surtout drôle.

     

    Pour voir les autres photos, cliquez sur ce lien :                                      Le tumblr « life of a stranger who stole my phone ».


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  • En mars 1993, le village d'Ayod (Soudan) est dévasté par la famine.

     

    Aux Rencontres d'Arles, l'artiste chilien Alfredo Jaar présente actuellement une installation intitulée "Sound of Silence". Elle s'appuie sur la photo mythique de Kevin Carter. Le public entre dans une caisse noire où défile en silence sur un écran un texte racontant la vie de ce photographe sud-africain. Des flashs violents viennent subitement interrompre l'obscurité silencieuse pour révéler la photo de cet enfant soudanais affamé, guetté par un vautour qui valut à Carter en 1994 un prix Pulitzer et un suicide.

    Le Sud-Africain Kevin Carter est âgé de 33 ans quand il entre dans l'histoire du photojournalisme avec cette image. Depuis plusieurs années déjà, il travaille comme photoreporter, notamment au sein du Bang-Bang Club, association de quatre photographes qui ont documenté la transition de l'Afrique du Sud à la fin de l'apartheid.

    En mars 1993, accompagné d'un membre du Bang-Bang ClubJoao Silva, KevinCarter se rend au Soudan pour enquêter sur la guerre civile et la famine qui frappe le pays. Avec d'autres photographes, il arrive dans le village d'Ayod. Il tombe sur un enfant squelettique qui se traîne péniblement jusqu'au centred'approvisionnement alimentaire voisin.

    SOUDAIN, UN VAUTOUR VIENT SE POSER DERRIÈRE LUI

    Soudain, un vautour vient se poser derrière lui. Carter a devant lui un symbole fort de la misère qui sévit dans la région et il déclenche son appareil. Il attend alors une vingtaine de minutes espérant que le charognard déploie ses ailes et accentue encore plus la force de cette image. En vain. Il va ensuite chasser le vautour avant de parcourir un ou deux kilomètres et s'effondrer en larmes.

    Quand Joao Silva retrouve son ami, Kevin Carter est sonné. Vingt ans après, il raconte : "Il était clairement désemparé. Pendant qu'il m'expliquait ce qu'il avait photographié, il n'arrêtait pas de montrer du doigt quelque chose qui avait disparu. Il n'arrêtait pas de parler de sa fille Megan, il avait hâte de la serrer dans ses bras. Sans aucun doute, Kevin a été très affecté par ce qu'il avait photographié, et cela allait le hanter jusqu'à la fin de ses jours."

    Le 26 mars 1993, Le New York Times publie la photo et l'impact de l'image est immédiat. Le journal reçoit alors quantité de courriers pour connaître le sort de l'enfant sur l'image si bien qu'un éditorial doit être rédigé quelques jours plus tard pour informer que l'enfant a pu regagner le centre mais que l'on ne sait pas s'il a survécu.

    UNE SALVE DE CRITIQUES ACERBES

    Un an après cette prise de vue, le 12 avril 1994, Nancy Buirski, alors rédactrice photo au New York Times, appelle Kevin Carter pour lui annoncer qu'il vient deremporter le prix Pulitzer grâce à cette photographie. Ce prix prestigieux apporte à Kevin Carter une reconnaissance de ses pairs en même temps qu'une salve de critiques acerbes. La plupart portent sur l'éthique du photographe dans une situation pareille. "L'homme qui n'ajuste son objectif que pour cadrer au mieux la souffrance n'est peut-être aussi qu'un prédateur, un vautour de plus sur les lieux", écrit le St. Petersburg Times, quotidien publié en Floride. Beaucoup se demandent à voix haute pourquoi Carter n'a pas aidé l'enfant.

    En 2011, Alberto Rojas, photojournaliste pour le quotidien espagnol El Mundo, s'est rendu à Ayod. Obsédé par cette image, il s'était mis à chercher des informations sur elle. Il n'avait trouvé que des écrits accablant Kevin Carter, faisantcroire qu'il avait laissé mourir l'enfant. Son enquête allait peut-être lui faire justice.

    Rojas commença par parler avec son ami, le photographe espagnol José Maria Luis Arenzana, lui aussi présent dans ce camp en 1993. Son témoignage fut la clé qui marqua un tournant dans les recherches de Rojas. Arenzana avait réalisé une photographie similaire. Pour lui, le bébé sur la photo de Carter n'était pas seul, il était à quelques mètres du centre de soins, près de son père, de personnels médicaux. Le bracelet en plastique interpella aussi Rojas car cela constituait un signe évident de prise en charge du bébé par une organisation humanitaire. Cette information pouvait "laisser espérer que l'enfant avait survécu à la famine, au vautour et aux mauvais présages des lecteurs occidentaux". Il continua son enquête en rencontrant des employés de Médecins sans frontières qui travaillaient sur place à l'époque. Puis il se rendit sur les lieux.

    Au terme d'une enquête de plusieurs jours, il rencontra le père de l'enfant immortalisé par Kevin Carter. Dans le petit village, personne n'avait jamais vu la photo et ne savait qu'elle avait fait le tour du monde. La présence du vautour, tant décriée en Occident, ne frappait personne : ils étaient très nombreux dans la région. L'enfant avait effectivement survécu à la famine mais était mort quatorze ans plus tard des suites de fièvres intenses provoquées par une crise de paludisme.

    Grâce à Alberto Rojas, on sait désormais que le petit garçon n'est pas mort de faim, abandonné à son sort par un charognard de l'image. Justice est rendue. Mais Kevin Carter n'est plus là pour en profiter. Le 27 juillet 1994, trois mois donc après l'attribution de son prix, le Sud-Africain s'est donné la mort en s'empoisonnant dans sa voiture. Sur la note qu'il a laissée, il évoque "les souvenirs persistants de massacres et de cadavres" qui le hantaient. Rien sur l'enfant soudanais et le célèbre rapace. C'est pourtant cette image et le paradoxe du photoreporteur qu'elle incarne aujourd'hui encore que Kevin Carter symbolise :observer immobile l'horreur pour mieux la combattre.

     

     Source : lemonde.fr


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  • La marque Le Leon lance son pull «chômeur» à 285€!

    sudinfo.be

    Il y a quelques jours, la marque de vêtement Le Leon a lancé son magasin en ligne. Et ce lancement ne s’est pas fait sans heurts sur la toile. Peut-être le besoin pour la marque de faire le buzz pour s’imposer sur le marché. Seulement, il y a un des articles qui a choqué.

    En effet, en surfant dans la vitrine homme, on peut trouver toutes les gammes de pull avec une inscription dessus. Une d’elle a fait réagir, celle du chômeur !

    Non seulement, la marque Le Leon a repris la définition du chômeur pour décrire la marchandise mais en plus, le prix est fixé à 285€!

    Sur la toile, plusieurs internautes ont également retrouvé d’autres descriptions un peu douteuses sur le site, comme le souligne le site Les Inrocks.


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  • La signification des expressions

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    "Il fait un froid de canard !" Que vient faire ce canard dans cette expression ? Il tombe comme un cheveu dans la soupe, non ? Et d’ailleurs, pourquoi dit-on qu’on est "trempé comme une soupe" ?

    Aujourd’hui, "Michel de Bruxelles" sur une idée de Fiftytoo  décortique les expressions de la langue française !

     

    Trempé comme une soupe

    Être trempé comme soupe signifie tout simplement être trempé, dégoulinant (d’eau de pluie, généralement). Mais pourquoi comme une soupe ? La soupe, par définition, est toujours mouillée, non ?

    En réalité, c’est à la tranche de pain, jadis appelée "soupe", qu’il est fait allusion dans cette expression. Cette "soupe", une fois plongée dans le potage était par là même... trempée !

    Être bouche bée

    On est "bouche bée", et non "bouche bé", ou encore "bouche B", lorsque, de surprise ou de stupeur, on ne dit plus rien !

    Pourquoi "bée" ? Tout simplement parce qu’en ancien français, "béer" signifiait "ouvrir la bouche d’étonnement". Le verbe existe toujours et signifie "être grand ouvert". "Bé" est l’ancien participe passé de ce verbe (actuellement "béé").

    Se mettre sur son 31

    Utilisée lorsque quelqu’un met ses plus beaux habits, l’expression a une origine controversée.

    Selon certains, "31" serait une déformation du mot "trentain". Du XIIe au XVIe siècle, le drap de trentain désignait en effet un tissu très luxueux. En portant du trentain, l’on se parait de ses plus beaux atours...

    Selon d’autres, "31" fait référence au jeu de cartes du même nom, dans lequel le joueur qui comptabilisait 31 points avait un bon jeu, voire le plus beau jeu !

    La fin des haricots

    "C’est la fin des haricots !" signifie que c’est la fin de quelque chose : de la boîte de biscuits, de tout espoir...

    Mais pourquoi des haricots, et pas des pommes ou de la farine ? Au début du XXe siècle, le haricot était un aliment bas de gamme, distribué dans les prisons ou dans les internats lorsque les ressources venaient à manquer. Quand même les haricots faisaient défaut, c’est que c’était vraiment la fin !

    Un froid de canard

    On ne comprend pas bien, a priori, le lien entre un froid très vif et cet animal, qui n’est pas plus froid qu’un autre, et qui ne vit pas au Pôle Nord !

    L’origine de l’expression est à chercher dans la tradition de la chasse. En effet, c’est en hiver, lorsque le froid piquant se fait sentir, que s’ouvre la chasse aux canards sauvages !

    Prendre son pied

    "Prendre son pied" signifie prendre un grand plaisir en pratiquant une activité artistique, sportive, sexuelle... ou autre ! Comme un bébé qui agrippe son peton et le suçote avec plaisir ? Pas vraiment...

    Au XIXe siècle, le pied désignait la part, la ration. À l’époque "J’en ai mon pied" était très loin de signifier "j’en ai ma claque"... En effet, lorsqu’une femme avait son pied, c’est qu’elle avait eu sa part... de plaisir sexuel ! L’expression s’est ensuite étendue aux deux genres, et à tous les contextes.

    Source : Fiftytoo.be


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  • Panneau de circulation "revisité", rue de la Loi à Bruxelles


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  • Quand l'administration casse les pieds des contribuables par des règlements ridicules, voilà ce qui se passe !!!

    On ne voulait pas délivrer de permis de construire à un fermier pour son auvent à chevaux. Du coup, il a mis une table et deux chaises dans le pré. Aucune loi ne limite la taille du mobilier et il n'y a pas de permis de construire pour un ensemble de jardin...

    Des chevaux sous une table et deux chaises !!! Ou, comment ridiculiser les instances administratives...

     


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  • les chiens et le 14 juillet (France) ou/et le 21 juillet (Belgique).


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  • Les mauvaises herbes, je contrôle !

     

    La mauvaise herbe, c’est une herbe « sauvage », mal placée, qui dérange son environnement et envahit le monde végétal. On l’appelle aussi herbe spontanée ou adventice. Dans un jardin bio, les mauvaises herbes ne sont pas totalement éradiquées : on les maintient à un niveau acceptable et on en tire profit.

     

    Les mauvaises herbes : avantages et inconvénients

    Avantages

    - Certaines, comme le chardon ou le lierre, nourrissent et abritent les oiseaux, d’autres, comme le persil sauvage, attirent les insectes. 
    - Elles protègent le sol, le décompactent et l’aèrent avec leurs racines. 
    - Elles éloignent les prédateurs et les maladies. 
    - Elles servent également à enrichir le compost.

    Le saviez-vous ? 
    - Le trèfle apporte de l’azote au sol. 
    - L’ortie renferme des minéraux. 
    - Les pâquerettes présentent du calcium. 
    - Le chardon contient de l’oméga 3 et du phosphore.

    Inconvénients

    - Elles étouffent certaines cultures. 
    - Elles puisent l’eau destinée à d’autres plantes. 
    - Elles affaiblissent les récoltes. 
    - Elles accueillent les ravageurs et les maladies.

    Reconnaître les mauvaises herbes

    Pour contrôler les mauvaises herbes, il est important de les connaître. Se reproduisent-elles rapidement ? Viennent-elles par voie du sol ou ont-elles été apportées par le vent ? Comment envahissent-elles la nature ? Comment survivent-elles ?

    A force d’observation, vous distinguerez deux types de mauvaises herbes :

    - Les (bis)annuelles : mouron blanc, pissenlitcoquelicot...

    Elles poussent et germent en une année ! C’est par les graines qu’elles se perpétuent. Elles se disséminent avec le passage du vent, des animaux, de la pluie, des hommes. On les trouve surtout dans les sols régulièrement retournés. D’ailleurs, leurs racines peu enfoncées sont faciles à arracher.

    - Les vivaces : fraisiers, liseron, pissenlit, chiendent, orties

    De vie plus longue que les annuelles, elles se maintiennent en développant un important système racinaire. Tantôt ces vivaces se propagent à la surface de la terre, par des stolons, comme avec les fraisiers et les ronces. Tantôt elles envahissent la partie souterraine par des rhizomes, c’est le cas des chiendents et des orties. Certaines, notamment le liseron et le pissenlit, se multiplient à partir d’un simple petit bout de racine.

    Précautions contre les mauvaises herbes

    1. Avant de cultiver

    - Un ou deux mois avant : paillez le sol avec un film plastique étanche et noir, qui empêche la lumière de pénétrer. Il freinera le développement futur des mauvaises herbes.

    - 2-3 semaines avant de semer : aérez le sol à la griffe puis arrosez. Sarclez régulièrement toutes les pousses spontanées qui apparaissent. Ensuite, arrosez une dernière fois et semez pour de bon.

    - Le paillis aéré, de dix centimètres : copeaux de bois, compost, gravier, paille ou foin. Il existe des paillis vivants formés de plantes couvrantes.

    2. A vos cultures !

    - Rapprochez vos plantations : l’espace vital des mauvaises herbes s’en trouvera réduit.

    - La rotation des cultures : les herbes indésirables accompagnent systématiquement la croissance de certains légumes. Il est donc important de changer l’emplacement des cultures !

    - Couvrez les parties que vous ne cultivez pas avec un compost de jardin.

    - Préservez un coin du jardin qui restera « sauvage », où s’épanouiront les mauvaises herbes.

    Elles sont là !

    1. Désherbage du sol

    - Le désherbage manuel : à la fourche ou la binette. Enlevez progressivement ce que vous n’identifiez pas comme vos plants. Attention quand même de ne pas vous tromper ! Choisissez une binette adaptée à votre taille et binez quand la terre est sèche.

    - Le désherbage thermique : tue les graines et les herbes par un choc de chaleur qui flétrit les végétaux. Ce choc peut être au gaz, à la vapeur d’eau chaude, à la flamme ou à l’eau bouillante. Vous trouverez ce qui vous convient le mieux en jardinerie.

    - Sarclez le plus tôt possible avant la feuillaison pour les vivaces et coupez la plante avant qu’elle ne monte en graines et ne se dissémine pour les annuelles.

    - Sur la terrasse, passez régulièrement avec une brosse dure qui empêche la germination de graines.

    2. Nettoyage

    - Limitez le bêchage, qui ramène les graines à la lumière et leur permet ainsi de germer rapidement.

    - Rabattage : fauchez ou coupez au sécateur les mauvaises herbes adventices envahissantes, de façon régulière.

    - Pour nettoyer le sol sans le retourner, vous pouvez placer un film plastique à la saison de pousse des mauvaises herbes, au printemps. A l’automne, le sol sera propre.

    3. Que faire des mauvaises herbes ?

    Si elles ont des graines mures : laissez-les macérer un mois dans l’eau avant de les mettre sur votre tas de compost. Si c’est une plante à racine, laissez-la d’abord sécher quelques jours, sans contact avec le sol.

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    Source : Fiftytoo.be


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