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    Que sont devenues les jumelles de Shining ?

     
    Trente-quatre ans plus tard, un fan de Stanley Kubrick a retrouvé les deux petites filles de Shining.
    Petite robe bleue, barrette dans les cheveux, peau diaphane, regard oppressant, telles apparaissaient Louise et Lisa Burns dans Shining. Adapté du roman de Stephen King en 1980 par Stanley Kubrick, le film racontait la lente chute dans la folie de Jack, un écrivain en panne d'inspiration. Outre le sourire carnassier de Jack Nicholson et les mimiques effrayées de Shelley Duvall, les fans auront également retenu la prestation des deux jumelles, âgées de douze ans à l'époque.     

    Main dans la main, elles rencontraient le petit Danny, le fils du couple Nicholson - Duvall et détenteur d'un pouvoir spécial, le Shining, dans les couloirs de l'hôtel Overlook. Elles l'invitaient à venir jouer avec elles... avant de disparaître dans une vision d'horreur ! Une des nombreuses scènes mythiques de ce classique du cinéma fantastique.

    Un admirateur du Maestro du Septième art a exhumé une photo des deux actrices, plus de trente ans après la sortie du film. Nettement plus avenantes que dans le long-métrage du grand Stan, on découvre deux femmes retirées depuis un certain temps de l'industrie du cinéma. Aujourd'hui, Louise Burns s'épanouit en tant que micro-biologiste, tandis que sa sœur Lisa est diplômée en littérature. 

    Que sont devenues les jumelles de Shining ?

     

    Source : lalibre.be

     


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  • Saint-Malo Grande Marée 2014 un super spectacle ...

     

     

    La mer en colère à Saint-Malo : vidéo saisissante

     

     Cliquez sur le lien ci-dessous...

     

    www.youtube.com/embed/eGXPQvrOTj8?feature=player_detailpage

     

     

     


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  • BELGIQUE Le tribunal du travail exige que le Setca fédéral réintègre deux permanents licenciés en 2010 et indemnise les héritiers d'un troisième.

    Un syndicat belge (FGTB) condamné pour licenciement abusif...Des chefs d’état-major syndicaux condamnés pour licenciement irrégulier et abus de droit, cela n’arrive pas tous les jours. Le tribunal du travail de Bruxelles vient pourtant de prier les trois principaux responsables du Setca fédéral - le président Erwin De Deyn, la vice-présidente Myriam Delmée et le secrétaire général Jean-Michel Cappoen - de reprendre à leur service deux permanents licenciés et de verser une importante indemnité de rupture aux enfants d’un troisième décédé depuis les faits. Le tribunal a donné raison aux plaignants sur toute la ligne. Il a estimé qu’il n’y avait eu pas de faute grave qui pourrait justifier un licenciement. Plus fort, il a jugé que le Setca fédéral n’était même pas habilité à les licencier. Voilà qui risque de remettre le feu au sein d’une institution - le Setca de Bruxelles-Hal-Vilvorde - qui ne s’est jamais remise de l’affaire Faust en 2002.

    Projet immobilier

    Un petit rappel des faits s’impose. Les trois permanents à l’origine de cette condamnation avaient été licenciés pour faute grave en septembre 2010 avec deux autres collègues. Il leur était reproché, en particulier, d’avoir envoyé un courriel aux membres du comité exécutif du Setca de Bruxelles-Hal-Vilvorde sans avoir mis en copie les responsables fédéraux du syndicat. Dans ce courriel, ils expliquaient pourquoi ils s’opposaient au projet de rénovation de deux bâtiments situés à la place Rouppe et occupés par la section BHV de la centrale syndicale. Ce projet immobilier était porté par le Setca fédéral qui exerçait alors - et exerce toujours d’ailleurs - une tutelle "volontariste" sur la section de Bruxelles-Hal-Vilvorde du syndicat. Mais les cinq permanents licenciés estimaient que les frais de cette rénovation étaient exorbitants et se faisaient au détriment des finances de la section de Bruxelles-Hal-Vilvorde déjà mal en point. C’est le sens de leur courriel envoyé le 1er septembre 2010, une semaine avant la réunion du comité exécutif du Setca BHV censé approuver ou non le fameux projet immobilier.

    Un licenciement expéditif

    Les responsables fédéraux du Syndicat des employés, des techniciens et des cadres ont alors décidé de licencier les cinq permanents récalcitrants. Ils devaient y mettre les formes. Car en principe seul le congrès est habilité à mettre ou démettre un permanent. Les patrons de la centrale ont dès lors convoqué une réunion du comité exécutif fédéral en toute hâte pour placer la section BHV du Setca sous tutelle statutaire, ce qui leur donnait le droit de licencier sans passer par la voie normale. Une fois le vote obtenu, tout va très vite. Le 2 septembre encore, dans la nuit, les cinq permanents ont reçu un SMS leur demandant de venir le lendemain pour que leur licenciement leur soit signifié. Le Setca fédéral n’y va pas par quatre chemins. Les serrures des bureaux des permanents sont changées, les GSM désactivés, des archives personnelles embarquées. Le véhicule de fonction d’une des permanentes a même été enlevé.

    L’arroseur arrosé

    Mais les cinq permanents ont refusé de se laisser faire. Et ils ont l’habitude des bras de fer contre les employeurs. Ils n’ont donc pas hésité à se retourner contre leur propre patron. Aujourd’hui, ils emportent la partie. Dans son jugement rendu mardi, le tribunal du travail qualifie en effet les licenciements d’irréguliers. Non seulement, le motif grave invoqué est jugé disproportionné. Mais en plus, pour le tribunal, la tutelle statutaire n’a pas été valablement décidée. Le Setca fédéral ne pouvait dès lors pas licencier les permanents. En conséquence de quoi, le Setca est condamné à réintégrer les deux permanents dans les quatre mois et à verser près de 300 000 euros aux héritiers du troisième plaignant.

    Contactés, les responsables du Setca ont dit vouloir "d’abord lire le jugement avant de se prononcer" . On peut penser qu’ils iront en appel de cette décision. Mais le jugement devait être confirmé, ils seraient mal pris. Car on voit mal comment un syndicat pourrait se soustraire à une injonction de remise au travail d’un travailleur licencié abusivement. Ou alors, ce serait vraiment le monde à l’envers.


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  • Un simple nom apposé sur un produit se révèle très prometteur quant à sa qualité. Prenez Aoste par exemple : cette vallée située dans le nord de l’Italie est connue dans le monde entier pour son jambon cru produit artisanalement. Sauf qu’un jambon Aoste n’a rien à voir avec un jambon d’Aoste…

    Le jambon de Bosses, le vrai jambon d’Aoste

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    Le vrai jambon d’Aoste, celui qui est fabriqué dans la vallée italienne du même nom, est protégé par une AOP Vallée d’Aoste Jambon de Bosses.

    Celui-ci est un jambon de montagne, fabriqué dans le petit village de Saint-Rhémy-en-Bosses, dans la vallée du Grand-Saint-Bernard.

    Ce jambon si particulier et si réputé est fabriqué depuis le Moyen Age. On a en effet trouvé des témoignages de sa production datant de 1397. Depuis des siècles, les techniques de fabrication ont certes un peu évolué, mais le jambon est toujours fabriqué de manière artisanale et donc en petites quantités.

    Des qualités gustatives remarquables

    La préparation d’un jambon de Bosses répond à un cahier des charges très précis. Les cuisses de porc qui servent à la fabrication du fameux jambon proviennent d’animaux nés, élevés et abattus dans des régions bien définies du nord de l’Italie : Vénétie, Emilie-Romagne, Lombardie, Piémont et Vallée d’Aoste.

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    La viande est en premier lieu massée, pour en faire sortir les résidus de sang.
    Les jambons frais sont ensuite salés à sec avec un mélange composé de sel marin, de poivre, d’épices et un assortiment d’herbes aromatiques – sauge, genévrier, thym, romarin et baies – provenant de la vallée d’Aoste. Bien entendu, aucun additif n’est autorisé dans la préparation.

    jambonBosses 

    Le jambon repose ensuite pendant 2 à 3 semaines, selon le taux d’humidité, dans une cellule dont on contrôle la température. Après ce temps de repos, le jambon est lavé, essuyé et entreposé dans les locaux d’affinage.

    L’affinage dure de 12 à 24 mois sur un lit de foin, dans un local frais et aéré reproduisant les conditions d’un raccard, une sorte de grenier en bois proche du chalet. On obtient ainsi un jambon pesant au moins 7 kg, au parfum délicat et aromatique.

    Aoste – une appellation protégée

    AOP

    Le jambon de Bosses bénéficie d’une AOP depuis 1996.

    3 critères ont été pris en compte :

    • les caractéristiques du territoire ; la zone dans laquelle est fabriqué le jambon d’Aoste depuis plusieurs générations d’affineurs réunit les conditions idéales qui ont fait la réputation du produit. C’est dans cette vallée qu’on récolte les herbes sélectionnées pour la recette, ainsi que le foin qui procure une fragrance spécifique lors de l’affinage. Le climat sec est lui aussi caractéristique avec des vents qui descendent des quatre cols autour de Saint Rhémy, garantissant températures et circulation de l’air idéales.
    • la matière première qui, comme vu plus haut, est constituée exclusivement de cuisses de porcs italiens, élevés dans le respect des conditions définies par les producteurs de jambons AOP ;
    • et le procédé artisanal de production.

    Le jambon Aoste, un jambon industriel fabriqué en Isère

    L’habit ne fait pas le moine, et la dénomination Aoste ne fait pas le jambon artisanal !

    Le jambon Aoste que l’on retrouve sous vide au rayon réfrigéré des supermarchés n’a jamais vu le ciel de l’Italie.

    Usine Aoste en Isère © Matthieu Riegler, CC-BY

    Usine Aoste en Isère © Matthieu Riegler, CC-BY

    Ce jambon est, il est vrai, fabriqué à Aoste, mais pas dans la vallée italienne ! Les usines du jambon Aoste sont situées dans la petite commune du même nom à quelques kilomètres de La Tour du Pin, en Isère.

    Leader de la charcuterie en France, le Groupe Aoste chapeaute d’autres marques telles que Justin Bridou, Cochonou ou encore Jean Caby. Avec ses 700 millions d’euros de chiffre d’affaires, le groupe est numéro 1 de la charcuterie en France avec 13% de part de marché(1). On est bien loin des quantités très limitées provenant des raccards d’affinage du jambon des Bosses !

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    Si le groupe vante les mérites d’un « savoir-faire qui se transmet de génération en génération », le procédé n’a rien de commun avec les gestes effectués par les affineurs de la Vallée d’Aoste depuis plus de 6 siècles. Le jambon du Groupe Aoste n’a rien d’artisanal. Contrairement au vrai jambon d’Aoste qui est un jambon cru, ce jambon industriel est un jambon mi-cuit. Il est fabriqué en partie à base de porcs français mais aussi de viande importée.

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    La marque a évidemment joué sur la confusion des lieux géographiques, et ce pendant des années !

    Le groupe Aoste a ainsi déposé la marque « Jambon Aoste » pour vendre son produit au nom équivoque.

    C’est la Commission Européenne qui a dû intervenir pour interdire l’utilisation de cette appellation en 2008, mettant en avant le fait que le nom pouvait – à juste titre ! – induire le consommateur en erreur.

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    La marque, depuis, utilise le nom Jambon Aoste, sans le d apostrophe qui fait toute la différence.

    (1 )source LSA. Image à la Une CC avlxyz


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  • Quand la découpe crée le profil, tout devient illusion !!!

    Extraordinaire illusion d'optique !!!!

    Source : http://cafardages.over-blog.com/

     


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