•  Un pompier sauve de justesse un ouvrier dans un immeuble en flamme (vidéo).

     

    Cette histoire aurait pu sortir de l'imagination fertile d'un producteur hollywoodien pour un film catastrophe sauf que là, c'est pour du vrai!!! Heureusement, l'histoire se termine bien mais, jusqu'à la dernière seconde, le suspens sera total.

    http://www.rtl.be/info/monde/international/1079001/miracle-a-houston-un-ouvrier-sauve-par-les-pompiers-juste-avant-qu-un-immeuble-en-feu-ne-s-effondre-video


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  •  Voici une nouvelle qui réjouira les amoureux des océans et tous ceux qui s’inquiètent de la prolifération incontrôlée du plastique, qui pollue l’environnement un peu partout. Voici le champignon mangeur de plastique.

    Un champignon dévoreur de plastique

    Des étudiants américains ont découvert un étonnant champignon de la forêt amazonienne, identifié dans la jungle d’Equateur, lors d’un voyage d’étude universitaire. Ce champignon a la remarquable propriété de pouvoir casser des chaînes de polyuréthane. Ces dernières se trouvent contenues dans le plastique. Autrement dit, ce champignon est un « bouffeur de plastoc »!

    champignon mangeur de plastique

    Alors que le plastique a envahi la planète http://www.consoglobe.com/invasion-plastique-loin-de-ralentir-cg et les océans, et qu’il met un temps fou à se décomposer naturellement, ce champignon est donc particulièrement prometteur : le Pestalotiopsis microspora, c’est son nom scientifique, peut se nourrir de polyuréthane, un polymère très utilisé pour fabriquer des adhésifs, des mousses de plastique, ou des tuyaux de jardin, des chaussures, des peintures.

    Le Pestalotiopsis Microspora est une espèce de champignons endophytes capable de décomposer et digérer le polyuréthane dans un milieu anaérobie.

    Ce champignon employé industriellement permettrait de considérablement renforcer la lutte contre le plastique « sauvage » par son recyclage massif.

    Vue au microscope du Pestalotiopsis microspora anti-plastique

    Vue au microscope du Pestalotiopsis microspora anti-plastique

    La durée de vie des déchets dans la nature

    http://www.consoglobe.com/duree-vie-dechets-nature-1386-cg

    Jeter les déchets dans la nature, ce n’est pas sans conséquence… ils y restent longtemps, parfois très, très longtemps. Un objet qu’on jette négligemment va polluer parfois bien longtemps  après qu’on ne soit plus de ce monde. Voici une sélection d’objets ou produits avec leur durée de vie « naturelle » : en combien de temps se dégrade-t-il sans intervention extérieure, dans la nature ?

    Les déchets, c’est une véritable marée qui va finir par nous noyer ; leur recyclage nous coûte 10 milliards € chaque année.

    Pestalotiopsis Microspora prospère et agit tout aussi bien dans des milieux privés d’oxygène comme des décharges publiques, des égouts, … des lieux, souvent enfouis sous terre et où le plastique s’accumule. http://www.encyclo-ecolo.com/Plastiques

    Le champignon-mangeur-de-plastique bientôt opérationnel ?

    La mise en oeuvre de cette découverte pourrait prendre 20 ans. Malgré ce délai, les perspectives font rêver les chercheurs.

    champignon-anti-plastiquesBernard Henrissat, directeur de recherche au CNRS,(université d’Aix-Marseille) explique : «C’est une découverte à première vue extraordinaire». Il souligne notamment que la caractéristique principale du Pestalotiopsis microspora est qu’il est «autonome» contrairement aux propriétés d’autres champignons utilisés pour réduire le temps de décomposition du plastique« .

    Il se pourrait fort qu’à l’avenir, on saupoudre les décharges de ce champignon qui se fera un festin nettoyeur…

    Source : consoglobe.com

     


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  • 1. La tasse violette tourne plus vite que toutes les autres.

    2. Des centaines de têtes de Mickey sont dissimulées dans les décors du parc et sont quasiment indétectables.

    3. Tous les arbustes et toutes les haies du parc sont soumis à des règles de taille stricte à l’exception de celles du Manoir Hanté qui sont volontairement délaissées.

    4. Aucun chewing-gum n’est vendu dans le parc pour éviter que les gens ne les jettent sur les trottoirs.

    5. Il existe bel et bien une chambre dans le château de La Belle au Bois Dormant dans laquelle il est possible de séjourner.

    6. Il y a une bague de fiançailles dans le béton de la file d’attente du Manoir Hanté.

    7. À l’époque, lorsque les visiteurs criaient « Andy arrive », les personnages de Disney devaient se coucher au sol, comme dans le film.

    8. Il y a un vrai squelette humain dans le décor de l’attraction Pirates des Caraïbe

    Source : sudinfo.be


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  • Décidément les choses bougent sur le front de l’obsolescence programmée. Après la Commission européenne qui va pouvoir imposer aux industriels un chargeur de téléphone standard en Europe, c’est en France que la loi Hamon vient d’apporter deux nouvelles pierres à la lutte contre le gaspillage électronique et informatique.

    La loi Hamon contre l’obsolescence programmée  

    La loi sur la consommation, dite « loi Hamon », publiée le 18 mars 2014, prévoit, entre autres, 2 dispositions phares qui faisaient partie de la proposition de loi sur l’obsolescence programmée de Jean-Vincent Placé.

    1 -La durée de la garantie légale étendue

    La durée de la garantie légale de conformité et de la garantie relative aux défauts de la chose vendue est ainsi portée à 2 ans.

    Cette limite vise à pousser les industriels et les marques à commercialiser des produits dont la durée de vie est plus longue. Cette obligation devrait mettre fin aux extensions de garantie coûteuses proposées notamment dans le secteur de l’informatique.

     

    2 -L’information sur les réparations et pièces détachées

    iPhoneConcernant l’allongement de la durée de vie des produits, l’information des consommateurs des possibilités des réparations ultérieures possibles est désormais fixée par la loi.

    Les industriels et fabricants devront dorénavant communiquer aux consommateurs la durée pendant laquelle les pièces détachées nécessaires aux réparations seront disponibles. Cette information doit être accessible sur le lieu de vente des produits.

    Cette information sur les réparations potentielles doit être délivrée avant la conclusion du contrat. Elle doit figurer par écrit sur le document nouant la transaction.

    De plus, le fabricant ou importateur devra fournir ces pièces détachées, dans un délai de 2 mois, aux vendeurs professionnels ou aux réparateurs, agréés ou non, qui le demandent. Les modalités et conditions d’application seront alors précisées par décret.

    Dommage qu’il ait fallu recourir au législateur pour arriver à des pratiques commerciales plus raisonnables…

    L’obsolescence programmée ou planifiée est le processus par lequel un bien devient obsolète pour un utilisateur donné, parce que l’objet en question n’est plus à la mode ou qu’il n’est plus utilisable.

    En clair, certains produits sont prévus pour ne plus fonctionner ou être passés de mode après un certain temps d’utilisation afin de forcer le consommateur à les remplacer. Cette technique est particulièrement utilisée par les constructeurs d’appareils électroniques (ordinateurs, téléphones, consoles, etc.) et électroménagers.

    Sa signification ? Une stratégie planifiée dès la conception du produit qui consiste à diminuer sa durée de vie ou d’attractivité, en créant en permanence chez le consommateur le besoin de le remplacer par un nouveau… Effrayant.

    Obsolescence programmée : la panne qui tombe à pic…

    Les plus jeunes n’en ont peut-être pas conscience mais nos appareils High Tech et électroménagers ont en moyenne unedurée de vie de plus en plus courte, soit parce qu’ils ont rendu l’âme sans crier gare, soit parce qu’ils ne sont plus tendance, mis ainsi à la « retraite » prématurément pour être remplacés par de nouvelles innovations.

    Pour être plus clair, vos appareils seraient fabriqués pour ne plus fonctionner ou être passés de mode après un certain temps d’utilisation. C’est ce que l’on appelle l’obsolescence programmée, pour ne pas dire la condamnation à mort de vos produits…

    La durée de vie de vos appareils

    Selon Que Choisir, la durée de vie moyenne des appareils électroménagers courants serait aujourd’hui en moyenne de 6 à 8 ou 9 ans contre 10 à 12 ans auparavant. Par exemple* :

    • un ordinateur portable aurait une durée de vie comprise entre 5 et 8 ans,
    • une télévision de 8 ans,
    • un téléphone portable de 4 ans,
    • un réfrigérateur de 10 ans

    D’autres produits sont connus pour faire l’objet d’une conception prévoyant leur obsolescence programmée : les bas nylons inventés en 1940, les imprimantes qu’il vaut mieux jeter aujourd’hui plutôt que réparer, et bien sûr les iPod, iPhone et iPad qui ne durent jamais 10 ans ….* Source United nations environment programme (UNEP), 2009.

     

    Quelques autres chiffres sur l’obsolescence programmée

    La durée des appareils est artificiellement maintenue très bas :
    - Les ordinateurs portables ont de 2 ans et demi à cinq ans au maximum de durée de vie.Il est impossible de les ouvrir car des marques comme Apple créent des vis nouvelles pour chaque appareil : impossible de les ouvrir !
    - Les écrans plats ne durent pas plus longtemps et connaissent un taux de panne qui peut atteindre 34% au bout de 4 ans pour certains modèles !
    - Les imprimantes destinées au grand public on atteint à peine 3 ansLes batteries de smartphones et de tablettes seraient conçues pour ne pas dépasser de 300 à 400 cycles de charge, ce qui représente à peine de deux à trois ans d’utilisation.

    Les réparations
    - Les dépenses de réparation ont chuté de 40 % de 1997 à 2007 et seules 44 % des appareils tombés en panne seraient réparés.
    Autrefois, il était relativement aisé de  changer les roulements du tambour d’un lave-linge . mais de nos jours, les cuves sont fabriquées avec des roulements sertis : s’ils cassent, il faut changer tout l’appareil.

    De quand date l’obsolescence programmée ?

    Des années 1920 et de la grande crise de 1929.
    Fin 1924 à Gèneve un cartel, Pheobus SA, a été fondé par les grands fabricants d’ampoules des pays industrialisés, dont Philips, General Electric et Osram.

    Leur but : contenir la durée de vie des ampoules à incandescence à 1.000 heures. Le cartel avait agrégé les statistiques de durée de vie moyenne des ampoules et décidé d’infliger des amendes aux industriels dont les ampoules avaient une durée de vie de plus de 1.500 heures. Leur stratégie fut très efficace car la durée de vie moyenne des ampoules qui était 2.500 heures en 1924, était tombé à moins de 1.500 heures 2 ans plus tard avant d’atteindre 1.000 heures.

    En 1942, l’alliance pour l’obsolescence est découverte : General Electric et d’autres fabricants sont traînés en justice sur le motif d’entente sur les prix, de concurrence déloyale et de  limitation de la durée des ampoules.

    En 1953, General Electric et ses complices sont condamnés à lever ces restrictions. Dans les faits rien ne bouge et la durée de vie des ampoules ne remonte pas. Pourtant, dans les années qui suivirent, plusieurs brevets visant à créer des ampoules d’une durée « à vie » furent déposé, dont un filament longue durée capable de durer 100.000 heures. Il n’a jamais été commercialisé.

    Lors de la Grande Dépression de 29, aux États-Unis, Bernard London dans un livre intitulé « La Nouvelle prospérité » fit une proposition visant à donner plus de débouchés aux industriels : limiter légalement la durée de vie des biens de consommation. L’« d’obsolescence programmée » était née.

    Source : consoglobe.com


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  • Cette célèbre photo de Nick Ut, un jeune photographe de guerre, a contribué à la fin de la guerre du Vietnam.


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    Kim Phuc, la petite fille de 9 ans, brûlée par le napalm est devenue depuis maman et porte parole pour la paix.


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    Quarante deux ans séparent ces deux clichés. Comme le dit Madame Phùc : "j'ai beaucoup souffert, mais j'ai eu beaucoup de chance, je vis toujours. 

    Il y a quarante deux ans, Kim Phùc était atrocement brûlée par des bombes au napalm lancées par erreur par l'aviation sud-vietnamienne (soutenue par les USA) sur ses propres troupes. Sa photo a fait le tour du monde et a contribué à mettre fin à la guerre. Madame Phùc, ambassadrice de bonne volonté de l'Unicef, a accordé une interview exclusive pour la presse francophone. Voici quelques extraits :

    Est-ce que le bruit d'un avion qui passe vous rappelle de mauvais souvenirs ? J'avais 9 ans à l'époque et je me rappelle très bien ce qui s'est passé ce jour-là. Je fuyais et j'ai vu arrivé ces énormes avions qui faisaient tellement de bruit et passaient très bas. J'ai vu quatre bombes tomber lentement. Tout à coup, j'ai vu du feu partout autour de moi. Mes vêtement étaient brûlés. J'ai utilisé mon bras droit pour éteindre mon bras gauche qui brûlait. Mon dos faisait atrocement mal....

    Qu'est-ce-que cela vous fait de revoir cette photo ?                                           Quand j'ai découvert cette photo pour la première fois, quatorze mois plus tard, j'étais très embarrassée de me voir nue car j'étais une fille. Après, j'ai découvert que cette photo était en fait un cadeau d'une puissance inestimable pour moi. Chaque fois qu'on la montre, elle m'aide à montrer à quel point la guerre peut être horrible.

    Des armes chimiques ont été utilisées récemment en Syrie. Inadmissible ?     Trop c'est trop, il faut arrêter avec ça. Qui souffre le plus avec ce genre d'armes ? Des innocents, des enfants, des femmes... Pourquoi ? Quand je vois ça, ça me brise le coeur et je pleure.

    Que diriez-vous aux pays qui menacent la paix dans le monde ?                       En ce qui me concerne, je fais de mon mieux de mon côté. J'envoie des messages de paix. Et je garde toujours l'espoir que les négociations l'emporteront. Combattre, envahir et menacer, ce n'est pas une solution. Je ne crois pas à la guerre. De toute façon, après chaque guerre, il y a la paix !!!! Vous et moi avons une grande responsabilité pour propager ce message. Il faut réveiller ces gens, qu'ils arrêtent. Il faut les aider à comprendre.

    Croyez-vous toujours à vos messages de paix ?                                                 Bien sûr, il ne faut jamais perdre espoir. Il y a tellement de gens bien dans ce monde. Ils doivent comprendre que la guerre est horrible... Je suis un symbole de la paix, de l'amour et du pardon. Nous devons défendre nos enfants contre le mal. Et les conscientiser aussi. Je n'abandonnerai jamais.

    Vous êtes ambassadrice de l'Unicef, vous avez votre propre Fondation. Comment en êtes-vous arrivée là ?                                                                            A cause de mon passé, évidemmentJe me bats pour les enfants victimes de la guerre. Je suis aussi la mère de deux garçons. Nous pouvons tous contribuer à la paix, pas besoin d'être président, avocat ou ambassadrice de l'Unicef. Aujourd'hui, je vis dans un pays libre comme le vôtre, le Canada.

    C'était quoi votre rêve ?                                                                                              Je voulais devenir médecin puisque je suis rentrée quatorze mois à l'hôpital. Je voulais aider les autres. Mais le gouvernement vietnamien m'a retrouvée en 1982 et j'ai dû interrompre mes études. Maintenant, je poursuis mon rêve avec ma fondation qui se focalise sur les écoles et les hôpitaux.

    Qu'est-ce-qui a changé votre vie ?                                                                             A 19 ans, j'ai commencé à lire la Bible. Et j'ai décidé de me convertir au christianisme. Je voulais avoir un but dans ma vie. Mais parents se sont également convertis au christianisme. Après cette catastrophe, nous avons pu nous reconstruire une nouvelle vie. J'ai été opérée 17 fois, ma peau est en mauvais état, mais mon coeur est toujours intact.

    Source : Le Soir - Philippe De Boeck

    La vidéo : 

    http://www.dailymotion.com/video/xdn73g_vietnam-napalm-phan-thi-kim-phuc_news

     

     


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  • Les endroits abandonnés réservent parfois de belles surprises et des images étonnantes. C'est le cas de ce cinéma en plein air découvert dans la désert du Sinaï. Certes l'écran ne s'y trouve plus mais les fauteuils en bois décorés y sont toujours ainsi que l'infrastructure réservée aux moyens techniques.

      Un cinéma abandonné dans le désert égyptienPour la petite histoire, c’est le photographe Kaupo Kikkas qui en a fait la découverte. Après quelques recherches, il semblerait que ce cinéma ait été le fruit d’un caprice datant du début du XXème siècle d’un homme d’affaires riche et français.

    Ce dernier aurait acquis les sièges du cinéma du Caire et les auraient fait implanter dans le désert, il aurait également fait monter un écran démontable pour l’occasion. Cependant, les autorités locales n’auraient pas apprécié cette idée extravagante et il semblerait qu’aucun film n’ait jamais été projeté dans ce cinéma en plein air. Le générateur électrique aurait été saboté le jour de l’inauguration.

    Source : RTL.be


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  •   Journée de la femme : Ces 10 inventions géniales que l'on doit à des femmes1951 : Bette Nesmith Graham, une secrétaire  commerciale, a trouvé la solution imparable contre les coquilles et fautes de frappe ou d'écriture en tout genre en inventant, en 1951, le fluide correcteur dans sa cuisine.

    1964 : On doit beaucoup à Stephanie Kwolek, une chimiste américano-polonaise, qui a inventé le poly-phénylène téréphtalamide. Le quoi, demandez-vous ? Commercialisé sous le nom de Kevlar, cette fibre d'aramides est aujourd'hui utilisée dans la production de pneus de vélo ou encore de vestes pare-balle. Les soldats qui ont depuis survécu à des tirs grâce à ces vestes lui doivent la vie.

    1903 : La pluie et la neige seraient un bien plus grand problème pour les automobilistes si Mary Anderson n'avait pas existé ! L'américaine, originaire de l'Alabama, a créé ce système d'essuie-glaces qui améliore la visibilité des automobilistes lors de mauvaises conditions météo.

    1813 : La scie circulaire a beau nous rappeler les plus horrifiants des films d'horreur, il ne faut pas oublier que cet objet qui nous fait grincer des dents est avant tout un outil très utile pour toutes sortes de travaux manuels. C'est à l'américaine Tabitha Babbitt que l'on doit cette invention, à l'origine pensé comme un outil devant faciliter le travail des artisans de l'industrie du bois.

    1946 : Marion Donovan (une entrepreneuse américaine) a trouvé le saint-graal que recherche tout parent : un produit d'hygiène permettant de garder les vêtements de bébé propres même lorsqu'il fait ses besoins. Il s'agit de la couche jetable, bien entendu ! Les parents du monde entier lui disent merci.

    1940 : Hedy Lamarr n'était pas seulement une sex-symbol d'Hollywood, c'était aussi une scientifique hors pair ! Plus connue pour ses rôles controversés au cinéma, Hedy a aussi inventé avec un ami un système de torpilles télécommandées ne pouvant pas être détournées par l'ennemi. Cette technologie a ensuite été la référence de base pour la création d'autres objets tels que les téléphones portables et l'internet sans fil.

    1886 : Josephine Cochrane, une socialite américaine, a inventé la première machine à laver la vaisselle, transformant une tâche ménagère en un miracle technologique.

    1859 : C'est en travaillant sur un projet non terminé de son mari décédé que l'américaine Martha Coston a inventé la fusée de détresse pour la Navy américaine. Aujourd'hui, ce mode de communication est utilisé dans l'armée, mais pas seulement.

    1887 : Très répandu aux Etats-Unis, on doit l'escalier de sécurité extérieur à Anna Connelly qui, en 1887, a inventé ce système pour échapper aux incendies.

    1930 : Une invention à ne pas sous-estimer ! Ruth Wakefield, une américaine propriétaire d'un gite touristique, a inventé par hasard la recette du cookie, que le monde entier a maintenant adopté.

     


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  • La recherche sur la mortalité animale causée par les transports est un sujet peu traité et pourtant le phénomène le mérite. Partout dans le monde, les animaux meurent heurtés par des véhicules. Et pas seulement les lièvres ou les sangliers, mais aussi les oiseaux. Des chercheurs américains ont apporté un nouvel éclairage sur cette hécatombe.

    Les oiseaux et les voitures

    Les oiseaux qui se tuent en heurtant des voitures, ce n’est pas du tout une légende. Les oiseaux ne se tuent pas uniquement sur les immeubles ou victimes des chats.  On estime que 80 millions d’oiseaux se  tuent sur des pare-brises uniquement aux États-Unis.

    De telles collisions entre les oiseaux et les voitures sont également dangereuses pour les conducteurs et elles menacent sérieusement certaines espèces d’oiseaux. C’est pourquoi des chercheurs américains aimeraient mieux comprendre comment ces accidents mortels se produisent et ont ouvert un projet de recherche. piloté par Travis DeVault du National Wildlife Research Center dans l’Ohio.

     

    Pour cela les scientifiques doivent rassembler des informations sur les collisions. Ils le font en conduisant un pick-up Ford à 90 km/h en visant volontairement les oiseaux

     Pourquoi les oiseaux se tuent sur les pare-brises

    présents sur la route. Le but est bien entendu de les éviter au dernier moment et non de les tuer. Pour l’instant ils ont réussi à ne tuer aucun oiseau.

    Les approches ont eu lieu dans un lieu isolé qui appartient à la Nasa et qui a pu être fermé à la circulation d’autres véhicules. Les oiseaux concernés sont d’une espèce de vautours très communs dans cette partie des USA. Pour les attirer, des carcasses de ratons laveurs bien alléchantes ont été placées en plein milieu de la route.

    Les vautours testés avaient été élevés de manière a adorer se nourrir de ce type de carcasses.

    L’influence de la vitesse sur les collisions.

     Il s’agissait de savoir à quel moment les oiseaux commencent à décoller et s’envolent : à combien de mètres de distance et combien de seconde avant l’impact possible ?

    Une étude similaire a déjà été faite mais avec des pigeons et avec une vitesse de 27 km/h, insuffisante pour tester le danger représenté par des voitures (2).

    L’étude a montré qu’à 30 et 60 km/h les vautours ont réagi de manière cohérente et comparable en partant tous à peu près au même moment et à la même distance pour éviter la collision. Mais à 90 km/h, c’est un peu comme s’ils réagissaient un peu au hasard, certains quand la voiture était encore à 300 mètres et d’autres à seulement 20 mètres. Leur capacité innée à estimer le danger ayant l’air paralysée.

    Les oiseaux disposent de neurones spéciaux à la base de leur comportement de survie : ils sont capables d’estimer à partir de la vitesse à laquelle un objet diminue de taille, à quelle vitesse celui ci se rapproche, et d’en déterminer le bon moment pour s’envoler.

    Ce qui en ressort c’est qu’il faudrait abaisser les limites de vitesses mais cela risque peu de se produire. On voit mal en effet, la vitesse réduite à moins de 90 sur les autoroutes pour sauvegarder des oiseaux. En revanche, on pourrait le faire dans des zones particulières comme les forêts, les réserves naturelles ou les parcs ornithologiques.

    On n’est pas certain que le comportement des vautours américains représente celui des autres espèces d’oiseaux. En revanche, on suspecte d’avoir mis en évidence un mécanisme de « surcharge cognitive » (comme le lapin paralysé dans les phares des voitures) qui explique pourquoi autant d’animaux meurent sur les routes dans le monde entier y compris en Europe.

    Il est prévu de continuer à étudier les collisions oiseaux / voitures, mais cette fois, non plus en en provoquant sur la route mais en étudiant le temps de réponse des oiseaux à partir de vidéos montrant des véhicules les approchant.


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