• Ce panneau serait le même aujourd'hui mais en couleur

     

    La pancarte dit : "Je suis spécialisé dans 3 domaines différents, je parle 3 langues, j'ai combattu pendant 3 ans, j'ai 3 enfants et je suis sans emploi depuis 3 mois. Mais je veux juste UN SEUL travail."


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  • Affaire"Cecil le lion à la crinière noire" : la Belgique prend des mesures préventives


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  • Vous achetez un Coca que vous prenez du frigo? Dans ce magasin Carrefour, vous payerez une taxe de 5 centimes par boisson.

    Quand "Carrefour" vous facture un "supplément frigo" pour le soda froidLe client d’un magasin Carrefour de Gand en Belgique n’en revient pas. Il a acheté quatre bouteilles de Coca qu’il a prises dans un frigo afin qu’elles soient froides directement. Il s’est aperçu en lisant son ticket de caisse qu’il avait payé un « supplément frigo ».

    Après son passage à la caisse, ce client a constaté qu’un « supplément frigo » de 5 centimes par bouteille lui avait été compté, peut-on lire dans le Nieuwsblad.

    Interrogé, le responsable du Carrefour en question a expliqué que cette taxe était indispensable car le magasin ne fait déjà pas beaucoup de marge bénéficiaire sur les boissons. «  Or le fait que ce soit refroidi représente un coût supplémentaire pour nous  », dit-il. Il ajoute que le client a le choix de prendre des boissons dans les rayons plutôt que dans le frigo et ainsi payer 5 centimes en moins la bouteille.

    Source : http://www.sudinfo.be/1343318/article/2015-07-30/vous-achetez-un-coca-que-vous-prenez-du-frigo-dans-ce-magasin-carrefour-vous-pay


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  • New York restaure ses «pavés belges»

    Les «belgian blocks» sont les pavés historiques qui couvraient les rues de New York au XIXe siècle. Des pans entiers de Brooklyn, restaurés et branchés, en font aujourd’hui une fierté. L’ARAU y voit un exemple à suivre à Bruxelles.

    Les «belgian blocks» sont les pavés historiques qui couvraient les rues de New York au XIXe siècle. Des pans entiers de Brooklyn, restaurés et branchés, en font aujourd’hui une fierté. L’ARAU y voit un exemple à suivre à Bruxelles.

    «Il est évident que les anciens pavés et rails de tram qui y sont entremêlés confèrent au quartier de DUMBO un cachet patrimonial(photo ci-contre) qui n’est pas sans rappeler un autre quartier industriel bruxellois (sans prétendre à une analogie parfaite entre l’East river et le canal)», plaide l’ARAU dans une riche analyse basée sur les chantiers de Brooklyn. La mégapole américaine de son côté en fait déjà une fierté puisque la ville propose même un parcours à vélo dans ses rues pavées à l’ancienne, «pour expérimenter un New York à la Paris-Roubaix».

    New York restaure ses «pavés belges»

    «Les pavés sciés sont comme des jeans délavés artificiellement»

    Selon les urbanistes bruxellois, qui ont mené l’enquête auprès des autorités new-yorkaises en charge des travaux, les pavés historiques ont la cote auprès des riverains. Leur choix s’est fait au détriment des «pavés sciés» plus lisses et vieillis artificiellement, que le New York Times compare à des jeans délavés en usine. Il est l’aboutissement d’un processus participatif dans les quartiers, au cours duquel plusieurs configurations pavées ont pu être testées par les piétons et les cyclistes sur des maquettes grandeur nature.

    Car opter pour un revêtement «Tour des Flandres», même pour préserver le patrimoine, n’était pas évident. Conscient que le vélo est de plus en plus plébiscité dans ses quartiers gentrifiés comme celui du Brooklyn Bridge Park, pullulant d’entrepôts de «brownstone» restaurés, l’idée première était de faire cohabiter vieux «belgian blocks» et nouveaux pavés sciés plus cyclables. Mais après un essai dans Washington Street, pétitionnaires, riverains et protecteurs du patrimoine ont qualifié cette solution de «Disneyland».

    Et pour les vélos?

    «Protéger les rues pavées de belgian blocks de l’asphalte est difficile. Et les rendre cyclables l’est encore plus», assure à l’ARAU le Directeur du développement et des opérations de DUMBO Improvement District. Mais nous estimons que restaurer les belgian blocks tout en apposant une bande cyclable de granit maintient l’intégrité historique des rues tout en les rendant sûres aux usages modernes». 

    Il n’en faut pas plus à l’ARAU pour interpeller la Région bruxelloise dans le dossier épineux de l’avenue du Port. «Nous invitons Rudi Vervoot et Pascal Smet à préserver les belgian blocks de l’asphalte, à conserver et à reposer de manière plane les 1.500.000 pavés de l’avenue du Port, de Sainctelette à Claessens, d’autant qu’une solution a déjà été trouvée pour les cyclistes sur les trottoirs».

    «Tempérer la vitesse du trafic»

    Et l’ARAU d’enfoncer le clou grâce à son interlocuteur à Brooklyn: «Il y a longtemps que plus personne à New York ne suggère d’asphalter les pierres historiques pour le confort des véhicules motorisés. Au contraire: dans la tendance actuelle cherchant à tempérer l’impact du trafic, les rues pavées peuvent aider à réduire la vitesse des voitures. Je suis donc déçu d’apprendre les plans pour l’avenue du Port à Bruxelles», déplore le Directeur du développement et des opérations de DUMBO Improvement District.

    On le sait: à Bruxelles, l’enfer piéton, cycliste et motorisé est souvent pavé de bonnes intentions

    New York restaure ses «pavés belges»

    Mais pourquoi le pavé new-yorkais est-il surnommé «belgian block»? À en croire l’ARAU, l’origine du terme est absolument historique.

    Au XIXe siècle en effet, les navires quittaient le port d’Anvers à la recherche de nouvelles marchandises à commercialiser sur le Vieux Continent. Ils partaient donc les calles vides. Ce qui les rendait trop légers pour affronter les vents de l’Atlantique. On les gonflait donc de pavés de porphyre belge pour les maintenir en équilibre: le ballast. Arrivé à New York, ce ballast était balancé dans le port pour faire place à la cargaison.

    Comme rien ne se perdait au Nouveau Monde, on réutilisa cette pierre pour remplacer les «cobblestones», de gros galets polis par l’eau que l’on ramassait dans le lit des rivières. Plus petits, le dos arrondi, ils étaient moins confortables que les pavés venus de Belgique. Le «belgian block» fit donc son nid. Et devint finalement, par métonymie, le terme générique pour désigner tout pavé aux USA.

    Source : Julien RENSONNET - L'Avenir

    http://www.lavenir.net/cnt/DMF20150730_00682139?pid=2344379

    Vidéo RTL TVI : 

    http://www.rtl.be/info/monde/international/des-paves-belges-dans-les-rues-de-new-york-decouvrez-comment-ils-sont-devenus-celebres-de-l-autre-cote-de-l-atlantique-739749.aspx

    Mais aussi... Le pavé de la honte et du sang

    L'un des pavés le plus vendu sur le marché belge, le "Kandla Grey", provient de Budhpura, en Inde, où le travail des enfants est monnaie courante, écrit De Standaard vendredi.

    De nombreux importateurs belges achètent ce type de produits à Budhpura, selon une enquête du journal. Ils ne le font pas directement mais passent par des fournisseurs indiens qui s'approvisionnent chez des commerçants locaux, qui eux-mêmes achètent les pavés auprès des familles et enfants.

    La plupart des pavés "Kandla Grey" que les Belges achètent, proviennent dès lors probablement de Budhpura. Outre les terrasses et allées des particuliers, de tels pavés ornent aussi notamment la Oude Markt à Louvain, la place de l'église à Merelbeke et les trottoirs de nombreuses villes.

    New York restaure... ses «pavés belges»

    "Je ne dirai pas que tous les 'Kandla Grey' viennent de Budhpura, mais au moins 80%", explique Herwig Callewier, gérant de Beltrami et président de la fédération des grossistes belges en pierre naturelle. "En fait, nous suspectons depuis longtemps que des enfants travaillent à Budhpura. Mais nous n'avons jamais agi au sein du secteur."

    A Budhpura, 40% des familles sont monoparentales. Les pères décèdent souvent vers l'âge de 40 ans des suites d'une silicose ou de pneumoconiose, qui touchent les tailleurs de pierre.

    Source : http://www.levif.be/ - Belga


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  • Dans les sous-sols de la Maison Blanche le 11 septembre (PHOTOS)

    Les archives nationales américaines ont diffusé une large série de clichés inédits, pris par le photographe du staff de Dick Cheney (alors vice-président) lors de la fameuse journée du 11 septembre 2001. Des photographies mises en exergue par USA Today, dont voici une sélection.
    Dans le centre d'opérations d'urgence présidentiel, enfoui dans les sous-sols de la Maison Blanche, on peut découvrir les mines graves du président George W. Bush, de son vice-président Cheney, mais aussi du secrétaire d'État Colin Powell et de Condoleezza Rice, alors conseillère à la sécurité nationale.

    Dans les sous-sols de la Maison Blanche le 11 septembre (PHOTOS)

    Dans les sous-sols de la Maison Blanche le 11 septembre (PHOTOS)

     

    Toutes les photos (356) en cliquant sur ce lien : 

    https://www.flickr.com/photos/usnationalarchives/sets/72157656213196901


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  • La Grande barrière de corail déclassée du ‘patrimoine en péril’

     
    Dans un communiqué, l’ONG WWF salue la décision de l’Unesco qui invite fortement l’Australie à rendre des comptes réguliers sur sa politique de protection de la Grande barrière de corail.

     La Grande barrière de corail menacée depuis de nombreuses années

    La Grande barrière de corail subit depuis de nombreuses années de nombreuses menaces environnementales. Les coraux souffrent de maladies dont les principales causes sont la pollution et le réchauffement climatique actuel. Plusieurs espèces de coraux de la Grande barrière vivent actuellement à leur limite supérieure de tolérance à la température, on l’a d’ailleurs remarqué lors des étés 1998 et 2002.

    Sous l’effet des eaux qui restent trop chaudes pendant trop longtemps, les coraux expulsent leur zooxanthelles responsables de la photosynthèse et perdent leurs couleurs, exposant leurs squelettes blancs et meurent peu après.

    Depuis le 1er juillet 2004, la pêche est interdite dans un tiers de la Grande barrière de corail. Auparavant, seul 4 % de la superficie était concernés par l’interdiction de pêche.

    WWF, qui a plusieurs fois invité les autorités australiennes à plus de vigilance, est cette fois allée plus loin. En effet, l’Australie aura le devoir de fournir un premier rapport sur les actions mises en place et les progrès enregistrés en décembre 2016, puis tous les 12 mois pendant les 3 années qui suivront. Les ONG environnementales se sont déclarées satisfaites de la pression que l’Unesco maintient sur l’Australie dans ce dossier.

    image: http://www.consostatic.com/wp-content/uploads/2015/07/grande-barri%C3%A8re-corail-australie.gif

    grande-barrière-corail-australie

    560.000 kilomètres carrés de la mer de corail australienne, soit plus du double de la surface actuelle, seront mieux protégés désormais contre la pêche et le trafic maritime, a annoncé le gouvernement fédéral australien le dimanche 17 mai.

    L’Australie regorge de matières premières, surtout du charbon, exporté principalement vers l’Asie. La Grande barrière de corail souffre essentiellement du changement climatique et de la détérioration de la qualité de ses eaux, liée en partie aux activités agricoles. Pour être plus précis, en trente ans, la Grande barrière de corail a perdu plus de la moitié de ses coraux.

    En février dernier, WWF a lancé une campagne The Great Barrier Reef Under Threat, pour demander aux décideurs de défendre le site des destructions liées à l’industrialisation sauvage. Aujourd’hui, plus de 540.000 personnes ont signées la pétition.

    En parallèle de cette pétition, WWF a diffusé une vidéo présentant la Grande barrière de corail à dos de tortue, ce qui nous prouve bien la nécessité de préserver le plus grand récif corallien du monde.

    Le corail en danger : une annonce qui tombe à point

    L’Unesco s’apprêtait le mois prochain à mettre la grande barrière de corail sur la liste des sites « en danger ». Ce serait une réelle cause d’embarras pour le gouvernement autraslien. Le ministre des infrastructures australien déclare à son sujet : « La mer de corail est l’un des écosystèmes marins les plus particuliers et non modifié. Il est de notre responsabilité de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour protéger l’une des plus grandes ressources naturelles. »

    grande-barrière-corail-poissons

    Les mesures prises avaient été proposées par le gouvernement australien en 2014. L’Organisation Maritime Internationale les a acceptées début juillet à Londres. Les navires commerciaux empruntant les lignes les plus fréquentées dans la mer de corail seront désormais obligés de recourir à un « pilote de barrière ». A terme, certaines zones seront interdites de trafic.

    La décision intervient notamment après un accident impliquant un navire chinois transportant du carbon, en 2010, qui avait alerté l’opinion publique internationale.

    Depuis le 1er juillet, la Grande barrière de corail n’est cependant plus placée sur la liste du patrimoine en péril, décision prise lors d’une réunion de Bonn, en Allemagne, regroupant les représentants des 21 pays membres du Comité du patrimoine mondial de l’Unesco. La décision était pour le moins attendue à Canberra.

    image: http://www.consostatic.com/wp-content/uploads/2015/07/grande-barri%C3%A8re-corail-wwf-unesco.gif

    grande-barrière-corail-wwf-unesco

    Un revirement de situation qui prête au questionnement. Comment expliquer la décision de l’Unesco, qui s’est montré très critique en 2014 ?

    L’année dernière encore, nous ne savions pas clairement si nous allions obtenir une réponse à l’échelle du problème de la part de l’Australie.
    Fanny Douvere - Responsable du programme maritime au Centre du patrimoine mondial de l'Unesco

    Le pays a su être persuasif, en présentant en mars 2015 un plan à long terme, qui promet de réduire de 80 % d’ici à 2025 la pollution de l’eau provenant des terres agricoles. L’investissement total pour la Grande barrière de corail devrait s’élever à 2 milliards de dollars. Une réponse jugée très sérieuse par les membres du Centre du patrimoine mondial de l’Unesco.

    Malgré cette décision, Canberra restera sous la surveillance de l’Unesco et devra rendre son premier rapport le 1er décembre 2016 et présenter son bilan des actions réalisées en 2020.

    Vidéo WWF Ausrtralia :New conservation project reveals amazing turtle's eye-view of the Great Barrier Reef

    https://www.youtube.com/watch?v=2I6hDqCrI9o

    Source : http://www.consoglobe.com/grande-barriere-de-corail-patrimoine-en-peril-cg?

     

     


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  • Les vidéos sur le grand piétonnier bruxellois (le plus grand d'Europe) se multiplient sur la toile depuis sa mise en œuvre le 29 juin dernier. La dernière à circuler sur les réseaux sociaux est celle de Gary Ducran, un Youtubeur jettois excédé de devoir mettre plus d’une heure pour désormais rejoindre le centre-ville depuis le nord-ouest.

    Il se moque du roi et menace le bourgmestre de Bruxelles sur YOUTUBELe Youtubeur jettois Gary Ducran n’en peut plus du piétonnier. Selon lui, le dispositif crée des embouteillages interminables sur son trajet quotidien. D’habitude confidentiel, il atteint aujourd’hui près de 15.000 internautes avec ses menaces humoristiques envers le Bourgmestre Yvan Mayeur.

    «Écoute bien Philippe, je sais que t’as rien à dire. Tu es le roi des Belges mais tu es juste le roi de rien du tout. (...) Ecoute: il faut foutre Yvan Mayeur dehors, il faut le foutre à la porte, mon vieux».

    C’est ainsi que Gary Ducran, «youtubeur» de Jette, commence son adresse au roi. Dans le viseur de ce polémiste jusqu’ici confidentiel: le piétonnier de la Ville de Bruxelles. Selon le Jettois, le trajet depuis Jette vers Madou a été multiplié par sept. «J’ai mis 1h15. D’habitude je mets 10 minutes», vocifère-t-il dans un blog vidéo visionné plus de 13.000 fois depuis le 9 juillet.

    «Les gens bouffent leur volant»

    «Y a quand même un problème quelque part, il faut s’en rendre compte», continue cet automobiliste remonté. «Mayeur, lui, ne s’en rend pas compte: y a pas d’élection pour le moment donc qu’est-ce qu’il s’en fout qu’il y ait un piétonnier, que c’est l’apocalypse, que les gens sont occupés à bouffer leur volant».

    Et l’homme d’inviter Yvan Mayeur à une petite expédition motorisée de Jette à Madou. «Vous allez venir avec moi. On va le faire à 14h si vous voulez. Si on met plus de 10 minutes, à chaque minute, un p’tit coup de taser», menace-t-il, d’un humour très pince-sans-rire. «Et là, tu vas te rendre compte de ce que t’as foutu, mon vieux: enlève ce piétonnier et t’éviteras de te faire taser».

    Il se moque du roi et menace le bourgmestre de Bruxelles sur YOUTUBE

    Vidéo : 

    https://www.youtube.com/watch?v=E2OlIG3rtzs

     

     


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  • Les tongs, c’est le petit plus que l’on porte en vacances, synonyme de soleil et de farniente. Pourtant, la sandale en plastique est de plus en plus décriée par les professionnels de la santé. On vous explique pourquoi.

    Vacances : La tong, petite chaussure légère lourde de conséquencesQu’on l’appelle claquette, flip flop ou tong, la sandale estivale existe depuis la nuit des temps, ou presque, et rappelle la zori, la claquette japonaise en paille de riz. C’est en 1962 que la société brésilienne Alpargatas conçoit les premières Havaianas. Elles sont d’un minimalisme déconcertant : une lanière découpée en Y passe entre les deux premiers orteils et rejoint une semelle robuste. C’est notamment cette bride en forme de lettre qui accuse les griefs du corps médical. Selon le podologue britannique Tariq Khan, les orteils, pour rester accrochés à la semelle, se contractent, se déforment avec, à terme, le risque de développer des oignons disgracieux. En outre, la cheville n’est absolument pas maintenue, les tendons s’enflamment et les os fatiguent. Le pied n’étant pas suffisamment soutenu, la démarche est des plus hasardeuses, pouvant provoquer des douleurs au niveau des genoux, des hanches et du dos. Sans parler du risque d’ampoules dues au frottement des lanières sur la peau. La marche régulière avec des tongs aux pieds risque également d’engendrer des fractures de fatigue ainsi qu’une inflammation de la voûte plantaire. Les médecins craignent par ailleurs que le port de la tong entraîne un risque accru de mélanome. Constamment exposé au soleil, le pied peut cacher une tumeur cancéreuse qui sera peut-être difficile à déceler, surtout si elle se loge entre les orteils.

    MOINS, C’EST MIEUX

    Déjà en 2009, une étude réalisée par l’université de Miami avait pointé la chaussure légère, lui reprochant d’abriter jusqu’à 18.000 bactéries après quatre jours de promenade à New York, dont le redoutable staphylocoque doré ainsi que d’autres provenant de matières fécales !

    Si malgré ces critiques, vous restez un(e) inconditionnel(le) des tongs, choisissez-les au moins correctement. Préférez donc le cuir et le caoutchouc naturel au plastique. Lavez-les sans compter avec un spray anti-mycoses. Ne faites pas non plus de la claquette votre chaussure quotidienne de l’été, afin d’éviter au maximum les problèmes susmentionnés.

    Source : http://plusmagazine.levif.be/fr/011-11753-La-tong-petite-chaussure-legere-lourde-de-consequences.html


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