• Messieurs qui  nous gouvernez, prenez-en de la graine


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  • L'artiste belge a publié en début de semaine la vidéo illustrant sa chanson Quand c'est?, déjà visionnée par plus de 6 millions d'internautes, dans laquelle il partage une vision très sombre du cancer. Les principaux concernés réagissent.

                            Stromae: son nouveau clip jugé par les malades du cancer

    https://www.youtube.com/watch?t=99&v=8aJw4chksqM

    C'est un texte fort et une mise en scène glaçante que nous livre Stromae avec son dernier clip, Quand c'est?. En trois jours, la vidéo a déjà été visionnée par près de 6 millions d'internautes. Sur les réseaux sociaux, le chanteur fait l'unanimité. Ce n'est pourtant pas chose aisée avec un sujet aussi délicat que la maladie et, en particulier, le cancer.

    Aujourd'hui, ce sont les victimes qui prennent la parole. Ils ont côtoyé ce mal, l'ont pour certains affronté et pour d'autres, vécu à travers un proche.

    «J'ai vu le clip et je dois avouer que je le trouve particulièrement lugubre et triste. Il est assez fataliste face à la maladie. Personnellement, ce qui m'aidait beaucoup était l'espoir de la guérison plutôt que de me dire que je vais finir par en mourir, comme le raconte Stromae...», explique Gaëtan, 28 ans, ému par les souvenirs que font remonter à la surface cette chanson.

    «Les questions et les angoisses que l'on a pendant ce combat»

    Âgée de 38 ans, Vanessa, quant à elle, se bat toujours contre le cancer. Pour cette maman, c'est un combat de longue haleine qu'elle mène douloureusement et dont elle partage parfois les difficultés et les craintes sur les réseaux sociaux.

    «Quand j'ai regardé le clip, j'ai complètement schématisé le mal. Celui que j'ai eu une première fois et qui aujourd'hui attaque de nouveau ailleurs. Les pattes représentent autant le crabe que la peur, les questions et les angoisses que l'on a pendant ce combat», confie-t-elle, bouleversée par la vidéo de Stromae.

    Et d'ajouter: «Le malaise en regardant ces images est similaire à celui que provoque le mot quand il est prononcé. Quoiqu'il arrive et quelque soit le nombre de personnes qui nous entoure pendant ce combat face au cancer, nous sommes seuls et nous le restons. On sait également que si l'on ne gagne pas, c'est lui qui gagnera... et cela, même si on se sera battu avant».

    Stromae: son nouveau clip jugé par les malades du cancer

    Des réactions sur les réseaux sociaux

    Sur Twitter, de nombreux internautes ont fait part de leurs réflexions sur la maladie à l'écoute deQuand c'est?. Océane, par exemple, raconte son histoire intime. «Dans ma famille, j'ai perdu des proches, décédés du cancer. Cette maladie me hante et comme dans la chanson de Stromae, je me demande qui est le prochain. C'est vraiment terrifiant», écrit-elle.

    Isabelle a décidé de s'adresser directement à Stromae sur Twitter. Elle témoigne sobrement: «Papa vient de mourir d'un cancer du poumon, maman aussi. Votre texte est déchirant».

    Enfin, Mélyne a également fait le choix d'exprimer ses appréhensions via le réseau social. «Le cancer a déjà gagné dans le clip. Pas comme je l'aurais voulu», regrette la jeune femme de 22 ans.

    Source : http://www.lefigaro.fr/

    Lien utile : 

    http://www.ouest-france.fr/stromae-beaucoup-de-malades-du-cancer-lui-disent-merci-pour-son-clip-3697305


    Stromae: son nouveau clip jugé par les malades du cancer

     

    Paroles : 

    Mais oui on se connait bien
    T'as même voulu te faire ma mère hein ?
    T'as commencé par ses seins
    Et puis du poumon à mon père, tu t'en souviens ?

    [Refrain]
    Cancer, cancer
    Dis-moi quand c'est
    Cancer, cancer
    Qui est le prochain ?
    Cancer, cancer
    Dis-moi quand c'est
    Cancer, cancer
    Qui est le prochain ?

    Et tu aimes les petits enfants
    Décidément rien ne t'arrête toi
    Mais arrêtes de faire ton innocent
    Sur les paquets de cigarettes
    "Fumer tue", tu m'étonnes
    Mais tu m'aides.

    [Refrain]
    Cancer, cancer
    Dis-moi quand c'est
    Cancer, cancer
    Qui est le prochain ?
    Cancer, cancer
    Dis-moi quand c'est
    Cancer, cancer
    Oh cancer...

    Quand c'est ? Quand c'est ?
    Que tu cesses tes avances ?
    Quand c'est ? Quand c'est ?
    Que tu pars en vacances ? Quand c'est ?
    Quand c'est ? Quand c'est ?
    Quand est-ce que tu y penses ?
    Quand c'est ? Quand c'est ?
    Ça nous f'ra des vacances.

    [Refrain]
    Cancer, cancer
    Dis-moi quand c'est
    Cancer, cancer
    Qui est le prochain ?
    Cancer, cancer
    Dis-moi quand c'est
    Cancer, cancer
    Qui est le prochain ?

    Qui est le prochain ? (x10)



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  • Un collectif de célèbres violonistes a choisi Bruxelles pour rejouer la bande originale de la saga «Mission: Impossible».

    Frissons garantis!

                          Des virtuoses du violon rejouent «Mission: Impossible» à Bruxelles

    https://www.youtube.com/watch?t=170&v=JIlxyOXFkAs

    Composé depuis 2011 par Hrachya Avanesyan, Lorenzo Gatto et Yossif Ivanov, trois anciens participants au Concours Reine Élisabeth, «Violin Trilogy» rejoue des airs connus au violon afin de rendre la musique classique plus abordable.

    Après «Pulp Fiction», le trio a repris le thème original de la saga «Mission Impossible» dans les galeries royales Saint-Hubert, à Bruxelles.

    Et le moins que l’on puisse écrire, c’est que l’initiative a rencontré un certain succès auprès des passants.

    Bref, rendre la musique classique plus excitante n’est donc pas... mission impossible.

    Mais aussi :  "Pulp Fiction"

    Des virtuoses du violon rejouent «Mission: Impossible» à Bruxelles

    https://www.youtube.com/watch?t=179&v=JB_ghvfZ3ao

    Source : http://www.lavenir.net/

     


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    Loin de moi l'idée de vouloir polémiquer sur ces migrants qui s'entassent au parc Maximilien et qui ne sont pas, pour l'heure, le sujet de cet article "coup de colère".  

    On ne dort pas dehors en Belgique ! Là, Alexandre De Croo vient de m'énerver

     

    C'est aujourd'hui aux deux JT francophones de 13h qu'Alexandre De Croo, Vice-Premier ministre et ministre de la coopération, ose ce commentaire qui me choque à un point tel que je me dois de m'exprimer sur mon blog bruxellois.

    On ne dort pas dehors en Belgique ! Là, Alexandre Decroo vient de m'énerver"On ne dort pas dehors en Belgique. On ne veut pas que des gens dorment dehors à Bruxelles. Cela s'applique pour les belges et cela s'applique pour tout le monde", ose-t-il dire en regardant droit dans les yeux la journaliste Julie Morelle au JT de la RTBF qui l'interroge sur les migrants du parc Maximilien de Bruxelles mais aussi à la journaliste du JT RTL-TVI, Caroline Fontenoy.

    Dans quelle tour d'argent habite donc ce très cher Alexandre "le bien heureux" pour sortir de telles inepties ? Cette phrase maladroite sortie dans un contexte particulier - celui des migrants - et prononcée dans les deux JT doit faire sortir de leur gong toutes les personnes qui n'ont pas la chance de vivre entre quatre murs car oui, il y a des gens qui dorment dehors en Belgique. J'invite Monsieur De Croo a plus d'humilité, à ne pas détourner son regard de la réalité du trottoir et à ne pas se cantonner au parc Maximilien. Dans le pays qui est le sien, assurément pas notre Royaume, les malheureux qui dorment dans la rue n'existent peut-être pas mais dans mon pays, la Belgique, et ma ville, Bruxelles, cette misère se "ramasse à la pelle" jusqu'à la croiser dans la forêt de Soignes aux portes de notre capitale mais aussi dans les belles étendues boisées de ma commune WSL  ou dans les bois de l'abbaye du Rouge-Cloître à Auderghem où dorment des SDF, pour les uns trop alcoolisés que pour pouvoir être acceptés dans des centres d'accueil, pour les autres, interdits de ces mêmes structures d'accueil car accompagnés d'un animal, pour les troisièmes, allergiques à la promiscuité parfois agressive d'autres sans-abris dans ces centres d'accueil, et pour les derniers, refoulés de ces mêmes centres car il n'y a plus de place pour les héberger.

    Monsieur De Croo sait-il (il le sait) que des SDF meurent de froid dans les rues de Bruxelles et d'ailleurs !?! Le parc Maximilien est problématique mais certains trottoirs et recoins de notre capitale, la nuit tombée, le sont aussi et depuis beaucoup trop de décennies puisque des "sans domicile fixe" y meurent tous les ans, ce qui n'est heureusement plus le cas des migrants du parc Maximilien qui après avoir traversé mille dangers trouvent sur nos terres un peu d'espoir, de réconfort et de sécurité.

    Maintenant, certains sympathisants de Monsieur De Croo doivent penser que l'auteur de cet article doit être une personne bien affligeante pour ne pas comprendre l'expression utilisée par le Ministre qui, selon eux, émettait le souhait que personne ne dorme dans nos rues.

    A voir le nombre de "likes", il semblerait que nous soyons nombreux parmi les citoyens belges à ne pas avoir compris "l'expression utilisée".

    Ci-dessous, extrait d'un article publié par le journal "L'Avenir"                    

    Cérémonie d’hommage aux 46 SDF décédés en Région bruxelloise en 2014 

    Pour la dixième année consécutive, le collectif «Les morts de la rue» a organisé mercredi, à 11H30, une cérémonie d’hommage aux sans-abri décédés au cours de l’année écoulée en Région bruxelloise.

    Celle-ci s’est déroulée dans la salle gothique de l’hôtel de Ville de Bruxelles, en présence du prince Laurent. Elle a été suivie à 14H00 d’un recueillement autour de l’arbre en mémoire des morts de la rue, planté en 2010 place de l’Albertine, près de la gare centrale.

    En 10 ans, le collectif a été informé de 367 décès, parmi lesquels 86,5% d’Européens, dont 64% de Belges et 12,8% de Polonais. Environ un tiers des décès sont survenus à l’hôpital et un quart sur la voie publique.

    Sur les 46 décès recensés en 2014, 20 personnes sont décédées à l’hôpital et 12 en rue. Au moins 82% étaient européens, 63% étaient de nationalité belge et 26% étaient d’origine polonaise.

    On ne dort pas dehors en Belgique ! Là, Alexandre Decroo vient de m'énerverFlorence Servais, coordinatrice du Collectif «Les morts de la rue», recommande d’améliorer l’accès aux logements notamment en Région bruxelloise où les prix sont élevés et de moins focaliser la répartition des moyens destinés aux sans-abri sur les mois d’hiver. «Des personnes font souvent des allers-retours entre la rue, l’hébergement, le logement et l’hôpital. Leurs décès surviennent toute l’année. Il n’y a pas de pics durant les mois d’hiver. On a aussi appris 46 décès en 2013, contre seulement 23 en 2005, à la création du collectif. Cette différence peut être due à l’augmentation du nombre de sans-abri en 10 ans ou au fait qu’on nous informe plus systématiquement des décès maintenant qu’on est plus organisé et connu», explique-t-elle.

    La cérémonie a été ouverte à l’hôtel de Ville par l’échevin en charge des Cultes et de l’État-civil Alain Courtois. Des représentants des religions chrétienne, islamique, judaïque et de la pensée laïque ont rappelé l’importance de la charité. La Chorale «Bô Soley» du programme social «Un pont entre deux mondes» du théâtre royal de la Monnaie a ponctué les discours. Des travailleurs sociaux, un avocat, des amis de rue, et des proches des personnes décédés ont également témoigné.

    Après la lecture d’un poème écrit sur la symbolique de la lumière, l’énumération des victimes de la rue a été accompagnée d’un dépôt de CD avec leurs noms et âges devant le podium. Ils ont ensuite été accrochés dans l’arbre de la place de l’Albertine pour y refléter la lumière.

    Liens utiles : 

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/3007/Bruxelles/article/detail/2227261/2015/02/21/Un-sans-abri-retrouve-mort-dans-une-tente.dhtml

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/3007/Bruxelles/article/detail/2303271/2015/04/29/Au-moins-75-sans-abri-morts-dans-la-rue-en-2014.dhtml

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1764726/2013/12/27/Des-sans-abri-squattant-sous-un-pont-du-ring-bientot-expulses.dhtml

    http://www.rtl.be/info/regions/namur/namur-un-sans-abri-decede-apres-avoir-epuise-son-quota-a-l-abri-de-nuit-de-namur-707942.aspx

     

     


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  • Le souffle du diable : nouvelle arnaque pour cambrioler dans les appartementsVoici encore une nouvelle arnaque (de grande ampleur) imaginée par des voleurs pour abuser des personnes âgées… Les faits se sont déroulés à Paris. Deux femmes d’origine chinoise ont dérobé argent et bijoux à des ainés grâce au souffle du diable ! Explications.

    Pas une journée ne passe sans qu’un quotidien ne relate un fait divers sur des malfrats arnaquant des habitants et plus spécifiquement des personnes âgées… Cela fait déjà quelques années que ça dure et malheureusement, les choses ne vont pas en s’arrangeant. Ce phénomène prenant de l’ampleur les mois passant… Et en matière d’arnaques, les voleurs sont particulièrement imaginatifs et créatifs : faux policiers, faux employés du gaz, faux neveu, etc. Les exemples sont nombreux !
     
    Dernier en date ? Le souffle du diable. Non, il ne s’agit malheureusement d’une mauvaise blague, mais bel et bien d’une arnaque destinée à délester les personnes âgées de leurs biens et de leur argent. Du jamais vu jusqu’à maintenant… Cette information a été révélée récemment par le quotidien Le Parisien.
     
    Plus concrètement, ces deux Chinoises de 42 et 59 ans hypnotisaient leurs victimes en leur faisant inhaler une drogue (composition encore inconnue à ce jour à base de plantes chinoises). Elles s’attaquaient majoritairement à des personnes âgées et agissaient dans le 10ème arrondissement de Paris. Lorsque le mélange de plantes faisait son effet, les victimes perdaient alors toute volonté… Les voleuses se faisaient alors conduire chez ces ainés et leur dérobaient leur bien en toute tranquillité.  
     
    A ce jour, plusieurs dizaines de plaintes ont été déposées en France, mais également en Europe, au Mexique, en Chine et en Corée du sud. Il s’agit d’une bande extrêmement bien organisée, très mobile et agissant dans plusieurs pays. L’arnaque porterait sur des millions d’euros…
     
    Source : http://www.senioractu.com/
     
    Liens utiles : 
     
     
     
     

     


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    BHL a encore raté l'occasion de se taire surtout sur Twitter

    BHL a encore raté l'occasion de ne pas se faire remarquer

    Les photos postées sur Twitter par le philosophe français ont provoqué un ouragan de moqueries de la part des internautes.

    BHL a encore raté l'occasion de ne pas se faire remarquer

    Lundi, Bernard Henri-Lévy postait sur son compte Twitter des photos de lui en Irak, prenant la pose aux côtés des Peshmergas, ces combattants kurdes qui affrontent Daesh, ou encore, du côté de Mossoul, Erbil ou Kirkouk, dans le Kurdistan irakien, posant avec un général et avec des soldats, femmes et hommes « en première ligne » face au groupe jihadiste qui s'est emparé de vastes pans des territoires syrien et irakien depuis l'été 2014.

    BHL a encore raté l'occasion de ne pas se faire remarquer

    Des photos qui ont donc déclenché leur lot de réactions, les internautes s’en donnant à cœur joie, notamment quant à la tenue jugée peu adéquate de BHL.

    BHL a encore raté l'occasion de se taire surtout sur Twitter

    L’histoire ne s’arrête pas là. Le Community Manager (CM) de BHL y est lui aussi allé de sa réponse, taclant les internautes par ces mots : « BHL est sur les photos ? Oui. Mais il est aussi sur le terrain. Et vous, juste derrière votre ordi. L. Lazar ». Ou encore  : « La twittosphère s’amuse ? En attendant, là-bas, une vraie guerre fait rage. »

    BHL a encore raté l'occasion de se taire surtout sur Twitter

     


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