• "Le silence de Brussels Airport est intolérable. Non content de nous survoler bien plus que d’habitude, il s’abstient de toute communication qui pourrait nous rendre la vie moins pénible."

    Une opinion d'Yvan de Beauffort, conseiller communal à Schaerbeek (MR).

    Opinion tranchée d'un conseiller communal MR : Cet aéroport de Zaventem est détestable

     

    Ces derniers jours, les erreurs de communication de Brussels Airport ont été flagrantes et nombreuses. Tellement flagrantes et nombreuses, que c’est à se demander s’il aime que les Bruxellois le détestent. C’est à se demander s’il espère une solution. Ou s’il monte son dossier de négociation. Dans un cas comme dans l’autre, la stratégie de cet aéroport est déplorable. Et méprise les Bruxellois.

    Nous avons été très survolés au cours de cet été. Beaucoup plus que "normalement". Devant ce fait, répercuté logiquement par les habitants mécontents et dûment constaté par les appareils d’enregistrement, l’aéroport bruxellois en a communiqué les raisons. Il faut dire que les journalistes se faisaient pressants. Et donc, la raison de ce survol intense résulte apparemment d’un croisement malheureux entre des travaux sur certaines pistes et des vents plus forts, obligeant Brussels Airport à forcer ses clients à nous survoler. Dont acte.

    Le problème, c’est que c’est toujours à reculons, contraint, qu’on obtient des réponses. Comme si les Bruxellois, à la fois clients et victimes, étaient quantité négligeable. Comme s’il fallait qu’ils acceptent sans réagir une situation sur le fond inacceptable. Plus largement, d’ailleurs, Brussels Airport ne communique pas. Et, pire, n’apporte pas de solution. Pourtant, il pourrait s’engager à rendre nos vies - un peu - moins insupportables.

    Si je savais à l’avance que les premiers samedis du mois, mes chances d’être survolé sont élevées, je pourrais m’organiser pour oublier mon barbecue à ces dates-là. Si je savais que les lundis matins, le vol de 6h45 est un gros-porteur bruyant, j’enverrais mes enfants se coucher plus tôt le dimanche soir. Mais non, l’aéroport ne communique rien ! Je ne dis pas que ce serait la solution, mais cela contribuerait à nous le rendre - un peu - moins odieux, moins pénible.

    Brussels Airport bénéficie pourtant d’un avantage géographique colossal. Et donc, d’un levier phénoménal vis-à-vis de ses clients. Pourquoi ne nous explique-t-il pas, de lui-même, les mesures qu’il prend pour encourager ses clients (les compagnies) à réduire les nuisances ? Par une éducation des pilotes. Par l’adoption de nouveaux moteurs, moins bruyants. Par l’adoption de routes survolant moins de monde et à des heures respectables.

    Dans ce dossier complexe, chacun doit faire de sérieuses concessions. Au-delà des décisions que le ministre en charge devra prendre pour garantir la qualité de vie des Bruxellois et la pérennité éventuelle de cette infrastructure, il est temps qu’on entende la voix de l’aéroport.

    Si son plan est d’exploser le nombre de vols, de maintenir des plages d’opérations nous pourrissant nos nuits et celles de nos enfants, de jouer la carte politique et communautaire, de garantir le bien-être de ses actionnaires en oubliant ses clients finaux (ici, les passagers bruxellois), bref, de ne rien faire en faveur des Bruxellois, qu’il le dise ! Et qu’il ne s’étonne pas de la haine légitime que nous lui portons. Ni de notre envie de le voir s’expatrier loin, comme c’est le cas dans les autres pays d’Europe.

    On pourra me taxer de parti pris, puisque le ministre en charge du dossier est de ma couleur. Mais je suis avant tout schaerbeekois, survolé abondamment, et père de jeunes enfants. Et, comme conseiller communal, je suis mandaté par les habitants de Bruxelles pour proposer des solutions permettant à chacun de s’épanouir ou, à tout le moins, de vivre moins mal.

    La question de l’aéroport est fondamentale pour Bruxelles. Chacun doit y travailler. Mais si Brussels Airport veut survivre, il doit participer aux solutions. Maintenant. Sinon, il n’y aura pas d’autre choix que d’exiger son départ. Cela fera beaucoup de bruit, mais il l’aura mérité. Et pour une fois, ce bruit sera pour nous, Bruxellois, une berceuse.

    Source : http://www.lalibre.be/debats/opinions/cet-aeroport-de-bruxelles-est-detestable-57bf0f0835709a3105678dce

    Opinion tranchée d'un conseiller communal MR : Cet aéroport de Zaventem est détestableLien utile :

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/wolu1200-trop-de-vols-et-trop-de-bruit-au-dessus-de-la-commune-a126600646


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  • C’est bientôt la rentrée des classes pour nos enfants diabétiques.
    Pour ceux qui portent un capteur Freestyle Libre, il est important de sensibiliser leur entourage, petits et grands, à l’école et lors des loisirs, que le « Patch », n’est ni un pin’s, ni un magnet, ni un quelconque objet de scarification
    Dans la majorité des cas, il n’y a pas de problèmes, mais il est toujours utile de prévenir pour éviter que lors d’un jeu il soit arraché.

    Freestyle Libre: Attention dans les cours d’école

    N'hésitez pas à partager cet article pour informer votre entourage et éviter ainsi des maladresses pouvant mettre en danger nos enfants Did.                                                                                                                Ce dispositif est un lecteur de glycémie en continu, essentiel pour maitriser son diabète et préparer son apport en insuline.
    Il est accompagné d’un lecteur que l'enfant doit toujours conserver sur lui. Ce n’est ni un mobile, ni un Mp3, donc ce n'est pas un jouet que l’on peut confisquer (avis aux profs non informés par un PAI)
    Et si vous voyez un enfant manipuler cet appareil, ce n’est pas pour chasser les Pokemon mais pour relever son taux de sucre dans le sang.

    Cette mesure va lui permettre de savoir si il est en hyperglycémie ou en hypoglycémie et ainsi adapter son apport en insuline , son activité ou sa nourriture.
    De plus en plus d’enfants diabétiques ont également une pompe reliée en permanence à leur corps par un cathéter : Comme pour le lecteur, ce n’est pas un MP3….


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  • Toots Thielemans est parti rejoindre ses copains disparus. Dieu va swinguer

    L'harmoniciste et compositeur de jazz bruxellois Toots Thielemans s'est éteint ce lundi matin à l'âge de 94 ans, a indiqué sa manager Veerle Van de Poel. L'artiste est décédé à l'hôpital, où il avait été admis après une chute le mois dernier.

    "Toots Thielemans est décédé ce lundi matin dans son sommeil", a affirmé Mme Van de Poel. Il était hospitalisé depuis le mois dernier en raison d'une chute. "Il n'y a pas eu de complications. Il est mort de vieillesse, son corps était tout simplement épuisé", a-t-elle précisé.

    Un registre de condoléances sera probablement ouvert plus tard dans la journée à La Hulpe, où Toots Thielemans résidait.

    Toots Thielemans est parti rejoindre ses copains disparus. Dieu va swinguer



    Plongé dans la musique dès sa naissance
    Né le 29 avril 1922 dans les Marolles à Bruxelles, Toots -surnom qui lui vient du saxophoniste Toots Mondello et du compositeur Toots Camarata-, a été directement en contact avec le monde de la musique.

    Ses parents tenaient un café dans le plus vieux quartier de Bruxelles et y organisaient régulièrement des concerts d'accordéon.

    Une découverte qui changera sa vie
    Toots découvre l'harmonica en 1938. Agé de 16 ans, le jeune bruxellois s'imprègne de l'univers des films de Ray Ventura. Ce n'est que durant la guerre qu'il sera piqué par le virus du jazz. Toots joue alors de la guitare dans des music clubs et prend Django Reinhardt et son style jazz manouche comme exemple.

    Percée outre-Atlantique
    Si Toots joue un bon nombre de concerts en Belgique, c'est aux Etats Unis, où il émigrera en 1952, qu'il percera en jouant notamment avec l'un des virtuoses du saxophone alto: Charlie Parker. Ce sera cependant Benny Goodman, célèbre clarinettiste new-yorkais, qui lui offrira sa première percée internationale en le faisant participer à sa tournée européenne.

    En 1962 il compose "Bluesette", morceau auquel il doit en grande partie sa renommée internationale.

    Toots Thielemans est parti rejoindre ses copains disparus. Dieu va swinguer

     

    https://www.youtube.com/watch?v=yKnG_9q4crA

     

     

    Toots sera également soliste à l'harmonica pour certains films de cinéma comme "Midnight Cowboy" et "Jean de Florette".

    Toots Thielemans est parti rejoindre ses copains disparus. Dieu va swinguer

     

    https://www.youtube.com/watch?v=7PaNvpCVcVA .

     

    Le baron du jazz
    Devenu une référence à l'harmonica et un monument dans le monde du jazz, il jouera avec Charlie Parker, Ella Fitzgerald, Quincy Jones, Bill Evans, Frank Sinatra, Ray Charles, Larry Schneider, Oscar Peterson et bien d'autres encore.

    En 2001, il recevra les honneurs du roi Albert II de Belgique lorsque celui-ci lui conférera le titre de baron. En 2009, il recevra la plus grande distinction pour un jazzman américain: le jazz master award.

    Fin de carrière en 2014
    En mars 2014, l'harmoniciste nonagénaire décide de mettre un terme à sa carrière. L'artiste a expliqué qu'il ne se sentait plus suffisamment en forme pour assurer des concerts complets.

    Source : 7sur7


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  • Evi Van Acker, une athlète belge pratiquant la voile, a contracté il y a quelques semaines une sérieuse infection gastro-intestinale à Rio et n'a pas encore totalement récupéré. Son infection explique ses prestations en dents de scie aux Jeux Olympiques.

    JO : une athlète belge souffre d'une infection gastro-intestinale à cause des eaux polluées

    Elle représentait une chance majeure de médaille pour la Belgique. Evi Van Acker avait décroché le bronze aux Jeux de Londres en 2012, à la voile. Mais avec sa "dégringolade" à la dixième place du classement après six régates, le rêve olympique s'éloigne pour l'athlète originaire de Gand. Sa contre-performance s'explique, d'après son entraîneur, Wim van Bladepar, par des problèmes physiques. Selon le coach, interrogé par la chaîne flamande VTM, Evi Van Acker souffre en fait d'une infection bactérienne qui trouverait son origine dans "l'eau sale et contaminée de Rio". Il a aussi déclaré que son état nécessitait des examens complémentaires.

    Le Comité olympique et interfédéral belge (COIB) a confirmé que Van Acker souffrait des conséquences d'une grosse infection gastro-intestinale. "Ce qui complique le fait de servir de gros efforts pendant un temps prolongé", a-t-il écrit dans un communiqué, jeudi 11 août.

    "Un programme a été élaboré en accord avec le physiologue Peter Hespel afin d'amener Evi à récupérer le mieux possible pour les dernières 36 heures de compétition afin qu'elle puisse tirer le maximum des ressources d'énergie qui lui restent", continue le communiqué.

    Le cas de la sportive concrétise les craintes autour des eaux souillées de la baie de Rio. Fin juillet, une enquête américaine avait révélé que les eaux de Rio étaient polluées dans des proportions qui menaçaient la santé des athlètes en les exposant à des infections respiratoires et digestives. La faute à une absence de traitement des eaux usées.


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  • Voici une triste mais belle histoire. En effet, Jeni Stepien vient de se marier, mais à son bras, ce n’est pas son père (décédé) qui l’a accompagné, mais l’homme qui a reçu le cœur de son papa grâce au don d’organe. Une occasion de rappeler qu’il n’y a pas d’âge pour donner.

     Pour son mariage elle danse avec l'homme qui a reçu le coeur de son père Jeni Stepien est une jeune femme heureuse. Elle vient tout juste de se marier à l’homme qu’elle aime. Toutefois, son union fut célébrée d’une manière un peu particulière… De fait, Jeni a perdu son papa, Michael, il y a dix ans. L’homme a été tué d’une balle dans la tête lors du cambriolage de sa maison. Mais Mr. Stepien était un « donneur ». Ses organes ont donc servi à sauver des vies…
     
    Bien consciente de cela, sa fille a demandé à Arthur Thomas, l’homme qui avait reçu le cœur de son père de l’accompagner à l’autel le jour de son mariage. Cela fait dix ans que ce monsieur vit avec leur cœur du papa de Jeni. Difficile pour lui de refuser cette demande un peu spéciale…
     
    Il a bien évidemment accepté de remplir ce rôle pour le moins symbolique. C’est donc lui qui lui a donné le bras dans l’église et c’est lui qui a dansé le premier avec la jeune femme qui pouvait sentir le « pouls » de son père battre très fort pendant toute la cérémonie !
     
    Cette triste et belle histoire nous rappelle qu’il n’y a pas d’âge pour donner et pour sauver des vies. De nos jours, précisons que le prélèvement est possible à tout âge. S’il est vrai qu’un coeur est rarement prélevé après 60 ans, les reins, le foie ou les cornées peuvent l’être sur des personnes beaucoup plus âgées. En 2007, un tiers (32%) des donneurs avait plus de 60 ans et un quart des reins greffés provenait de donneurs de plus de 60 ans !
     
    La moyenne d’âge des donneurs prélevés est par ailleurs passée de 40 ans en 1999 à 50 ans en 2007 et 56 ans en 2013. Toujours en 2013, 29% des donneurs avaient de 50 à 64 ans et 37,5% plus de 65 ans. Ainsi, le nombre de donneurs de plus de 65 ans a presque triplé au cours des dix dernières années (notamment pour le foie et le rein).  


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  • Mais pourquoi Einstein tire-t-il la langue ?

    C'est sans aucun doute la photo de langue la plus célèbre du monde ! Sur le cliché, le Prix Nobel de physique Albert Einstein, 72 ans, tire la langue au photographe, dans un petit sourire. Depuis des décennies, la photo ne cesse d'être mise à l'honneur par des artistes.

    Devenue un véritable objet de "pop culture", la photo du Prix Nobel se retrouve aussi, évidemment, adaptée sur de nombreux t-shirts :

    Il faut dire qu'elle a tout pour plaire, cette photo : l'image du physicien y jure avec la représentation que l'on peut se faire d'un scientifique, souvent très - trop - sérieux, voire ennuyeux… Albert Einstein sait d'ailleurs très bien prendre la pose

    Mais d'où vient cette langue ? S'agit-il d'un montage ? Pas du tout ! Prise il y a plus de 65 ans, cette photo est parfaitement vraie.

    Mais alors, que signifie-t-elle ? Albert Einstein y joue-t-il volontairement le savant fou ? Ou s'amuse-t-il avec un enfant ? Est-ce une photo posée ? Une publicité ?

    Rien de tout cela. Cette photo mondialement connue… a été prise par hasard, sur le vif, par un photographe de l'agence de presse américaine UPI (United Press International), le 14 mars 1951.

    Un geste… de lassitude !

    Ce jour-là, comme le racontera "France Soir" en 2015, dans sa rubrique "C'était dans 'France Soir'", Albert Einstein fête ses 72 ans, près de l'Université de Princeton, dans le New Jersey, aux Etats-Unis. Suivi par plusieurs photographes tout au long de la journée, le Prix Nobel a retrouvé des amis pour la soirée, au Club de Princeton.

    En sortant, il doit traverser une foule de reporters avant de pouvoir prendre place, avec deux amis, le professeur Frank Aydelotte, ancien directeur de l'Institute for Advanced Study, et sa femme, dans une voiture. Suivi par les reporters, on remarque facilement, sur deux photos prises juste avant la photo culte, la lassitude du physicien.

    Un des journalistes présents, Arthur Sasse, photographe de l'agence de presse américaine UPI, insiste et lui demande un dernier sourire, face à l'objectif.

    Las, Albert Einstein, dans un geste d'impudence parfaitement spontané, préfère lui tirer la langue : une langue très pointue, accompagnée d'un air malicieux, tout en gardant les yeux grands ouverts. Arthur Sasse, qui espérait un sourire, parvient à capter ce geste insolite. C'est le seul photographe à y parvenir. Esthétiquement, la photo initiale est mal cadrée. Elle sera largement redécoupée ensuite...

    Mais pourquoi Einstein tire-t-il la langue ? La photo est mise à disposition par l'agence et comme de nombreux journaux dans le monde, "France-Soir" publie alors le cliché en Une, quatre jours après, supprimant les amis d'Einstein. Et avec ce titre : "Einstein tire la langue pour ses 72 ans"

    Quelques temps plus tard, Albert Einstein, qui milita au crépuscule de sa vie pour la paix, contre le maccarthysme et contre les discriminations raciales, confiera, à propos du fameux cliché :"Cette pose révèle bien mon comportement. J'ai toujours eu de la difficulté à accepter l'autorité et, ici, tirer la langue à un photographe qui s'attend sûrement à une pose plus solennelle, cela signifie que l'on refuse de se prêter au jeu de la représentation, que l'on se refuse à livrer une image de soi conforme aux règles du genre."

    Albert Einstein commandera d'ailleurs à titre personnel, neuf copies de la photo à Arthur Sasse. Il offrira l'une d'entre elles à un ami journaliste de la chaîne de télévision américaine ABC, Howard K. Smith, en 1953, avec cette dédicace en allemand : "Ce geste que vous aimerez, parce qu'il est destiné à toute l'humanité. Un civil peut se permettre de faire ce qu'aucun diplomate n'oserait. Votre auditeur loyal et reconnaissant, A. Einstein 1953."

    Ce fameux cliché dédicacé sera vendu aux enchères en 2009, atteignant le montant faramineux de 74.324 dollars (soit, au taux de l'époque, environ 53.000 euros) ! Ce qui en fait la photo d'Einstein la plus chère de l'histoire. 


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  • L'incroyable clip de promo d'une chaîne anglaise pour les Jeux paralympiquesA l'occasion des Jeux paralympiques 2016 de Rio, qui suivront les Jeux Olympiques, la chaîne britannique Channel 4 a réalisé un clip promotionnel hors norme. Publié le 14 juillet, ce clip de 3 minutes présente les disciplines handisport sous un regard neuf, mêlant humour et spectacle.

    Il n'y est d'ailleurs pas uniquement question de sport. Avec pour musique de fond un morceau dont le refrain dit en boucle "Yes I Can" ("Oui, je peux le faire"), des sportifs en fauteuil ou encore des non-voyants y enchaînent des exploits impressionnants. Jusqu'à ce qu'une personne dans un bureau refuse un boulot à un athlète paralympique, lui répondant : "No You Can't" ("Non, vous ne pouvez pas").

    "Nous sommes les superhumains"

    Et le plus impressionnant, c'est que ce clip n'exagère rien car les Jeux paralympiques, qui seront retransmis sur France Télévisions du 7 au 18 septembre prochain, se résument à un enchaînement d'exploits et de performances époustouflants. Rien d'étonnant donc, à ce que le titre du clip de Channel 4 soit "We're the Superhumans" ("Nous sommes les superhumains").

    Clip vidéo :

    https://www.youtube.com/watch?v=IocLkk3aYlk


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