• La Noël dans tous ses états

      La Noël dans tous ses états

      La Noël dans tous ses états

       

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  • Elles sont jolies, colorées et chaleureuses, mais certaines plantes de Noël sont toxiques pour nos chats, comme pour nos chiens. 

    Certaines plantes de Noël représentent un réel danger pour la santé de votre chat ou votre chien. Véritables poisons, elles peuvent - si elles sont ingérées en grande quantité - entraîner la mort de l'animal.

    Voici quelques unes des plantes de Noël qui sont dangereuses pour les chats et les chiens !

    Ces 5 plantes de Noël sont dangereuses pour vos animaux

    Le gui, l'ennemi du chat

    Si vous souhaitez embrasser vos proches sous le gui, assurez-vous qu'il soit bien hors de portée de vos compagnons à 4 pattes. Car le gui est une plante de Noël très toxique, surtout pour le chat. Toute la plante l'est, mais les baies sont encore plus dangereuses. Soyez donc très vigilent quand elles tombent car votre animal pourrait jouer avec et les ingérer.

    Une salivation excessive, des troubles digestifs, une dilatation des pupilles, une démarche anormale ou encore des convulsions sont les symptômes les plus courants d'une telle intoxication qui en cas d'ingestion massive peut engendrer la mort de l'animal.

    Ces 5 plantes de Noël sont dangereuses pour vos animaux

    Le houx

    Le houx est également une plante de Noël dangereuse pour les chats et les chiens. Comme le gui, ce sont surtout les baies de la plante qui sont dangereuses, mais les feuilles sont toxiques elles aussi.

    Les symptômes d'un empoisonnement sont les mêmes : salivation importante et sérieux troubles digestifs. Mais le taux de mortalité est très faible.

    Ces 5 plantes de Noël sont dangereuses pour vos animaux

    La Rose de Noël

    L'étoile de Noël, ou Poinsettia

    L'Hellébore noire, ou Rose de Noël est malheureusement aussi jolie que toxique pour les animaux, qu'il s'agisse de sa fleur, sa tige ou ses feuilles.

    Elle peut entraîner chez le chat ou le chien une salivation importante, des vomissements et diarrhées et des troubles nerveux (dilatation des pupilles, excitation, paralysies).

    Si joli sur les tables de réveillons, le poinsettia fait partie lui aussi des plantes de Noël toxiques pour les chats, même s'il est moins dangereux que le gui et le houx.

    Ne laissez pas votre chien ou votre chat s'en approcher car une ingestion pourrait lui irriter la gueule et l'estomac !

    Ces 5 plantes de Noël sont dangereuses pour vos animaux

     

    Ces 5 plantes de Noël sont dangereuses pour vos animaux

    La bruyère, une plante de Noël à éloigner des chats à tout prix !

    La bruyère peut entraîner des troubles digestifs intenses chez nos animaux de compagnie, mais aussi des troubles nerveux et cardiaques.

    Là encore, assurez-vous que la plante soit hors de portée de vos compagnons à 4 pattes ! Et profitez bien des fêtes aux côtés de vos chats et chiens !

    Ces 5 plantes de Noël sont dangereuses pour vos animaux

    Mon animal a ingéré une plante toxique, que faire ? L'avis du véto

    Si vous prenez votre animal sur le fait, éloignez immédiatement votre animal de la plante.
    S'il vient de l'ingérer, vous pouvez essayer de faire vomir votre chat ou votre chien en lui donnant une cuillère à soupe de sel diluée dans un demi-verre d’eau : ce remède fonctionne rarement mais si un haut-de-coeur provoque un vomissement, cela limite tout risque d'intoxication.

    Si vous ne savez pas quand votre animal a ingéré la plante, ou s'il manifeste déjà des signes d'intoxication : il est vivement recommandé de se rendre chez le vétérinaire, en urgence. Il est important de réagir le plus rapidement possible,entre 30 minutes et deux heures après l'ingestion : c'est le temps de passage d'un aliment dans l'estomac. Dans tous les cas, l'animal sera probablement hospitalisé pour surveillance et élimination du toxique.

    En cas de doute, vous pouvez contacter le centre antipoison animal situé à Nantes, le CAPA Ouest qui saura vous dire si oui ou non l'aliment ingéré par votre animal et sa quantité risque de l'empoisonner.

    Dr Stéphane Tardif

    Source : https://wamiz.com/chats/conseil/tres-prisees-a-noel-ces-plantes-sont-dangereuses-pour-vos-animaux-5843.html


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  • Joyeux Noël aux enfants, adultes et... animaux de compagnie


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  • A Bruxelles trois compagnies se disputent le marché du vélo électrique à partager. Billy Bike, Uber Jump et depuis peu, les eVillo. Alors maintenant, lequel choisir ? Pour ça, nous prenons en compte 3 facteurs. D’abord, le coût : le prix à la minute ou au mois. Ensuite la zone de déploiement et l’accessibilité, c’est-à-dire le nombre de vélos disponibles. Et finalement, l’empreinte écologique.

    Vélos électriques à partager : lequel choisir ?

    eVillo, le petit nouveau

    Commençons par le petit nouveau, eVillo. Pour pouvoir rouler avec les vélos, vous payez un abonnement annuel classique de 34,7 euros/an, plus 4,15 euros pour l’option vélo électrique. Ce qui équivaut à environ 7 euros par mois. Lors de l’utilisation, la première demi-heure est gratuite et puis 0,50€ s’ajoute pour la 2e demi-heure, la 3ème demi-heure est à 1€ et les demi-heures suivantes sont à 2€ chacunes. En terme d’accessibilité, il y a 1800 Villo électrique dispersés sur 360 stations dans tout Bruxelles. Les Villo sont construits et assemblés en Hollande. En cas de casse, les pièces défectueuses sont recyclées. Le vélo réparé est ensuite remis en circuit. La durée de vie d’un Villo est de 5 à 10 ans.

    Billy Bike, le précurseur

    Ensuite il y a Billy Bike, le premier à être arrivé sur le marché. Pour rouler avec le vélo électrique, cela vous coûtera 0,18/min, ou bien le pack de 200 minutes à 30 euros (0,15/min). Billy est aujourd’hui présent dans 14 communes à Bruxelles (Bruxelles-Ville, Laeken, Schaerbeek, Etterbeek, Ixelles, Saint-Gilles, Molenbeek-Saint-Jean, Watermael-Boitsfort, Auderghem, Woluwe-Saint-Pierre, Woluwe-Saint-Lambert, Forest, Saint-Josse-Ten-Noode et Uccle) avec 600 vélos déployés. Les vélos sont construits majoritairement à Taïwan et ensuite assemblés à Bruxelles, la batterie étant, elle, construite en Allemagne. Les vélos sont cependant durables et ont pour objectif de tenir 4 ans. Pour l’instant, c’est pratiquement le cas, car en deux ans, seulement 1 Billy Bike a dû être jeté à la suite d’un accident grave.

    Jump, le célèbre vélo rouge

    Et le troisième, c’est le géant Uber avec ses vélos électriques JUMP. Pour le vélo rouge, il faut débourser 1 euro pour débloquer le vélo, et ensuite 0,15/min. A Bruxelles, on compte 500 vélos à disposition dans 11 communes : Bruxelles ville, Ixelles, Saint-Gilles, Etterbeek, Saint Josse Ten Node, Schaerbeek, Uccle, Watermael-Boitsfort, Auderghem et les deux Woluwe. Les vélos sont produits, selon Uber, à partir d’un réseau de différents fournisseurs du monde entier et ils sont ensuite assemblés en Europe. JUMP vient aussi de signer un contrat avec la multinationale française Veolia pour le recyclage des pièces des vélos. A noter que le caoutchouc n’est pas recyclable.

    Bref

    Récapitulons,

    • En termes de coût, tout dépend de votre usage. Pour une utilisation occasionnelle et pour des petits trajets, c’est Billy Bike qui l’emporte. Une course de vingt minutes vous coûtera 3,60. Pour une utilisation quotidienne, il est intéressant d’aller voir chez eVillo où vous payez un tarif d’environ 7 euro par mois et les 30 premières minutes gratuite à chaque fois que vous prenez un eVillo.
    • Pour l’accessibilité, c’est eVillo qui détient le plus de vélos électriques à Bruxelles. Avec ses 1800 vélos dispersés dans Bruxelles, eVillo est loin devant Billy Bike (600 vélos) et JUMP (500 vélos). eVillo détient aussi la zone la plus large dans Bruxelles. Le gros bémol, c’est qu’il faut compter sur les stations pour pouvoir prendre ou déposer son vélo.
    • Pour l’empreinte écologique, difficile de désigner un seul vainqueur. Billy Bike importe des pièces de Taïwan. Néanmoins, jusqu’à présent, presque jamais un vélo n’a dû être jeté. eVillo, lui, construit ses vélos plus près, en Hollande. En cas de casse, les vélos sont aussi réparés et remis en circuit. Enfin, difficile d’avoir plus d’information sur les vélos rouges JUMP : nous savons uniquement que les vélos sont construits à partir d’un réseau de différents fournisseurs du monde entier et ensuite assemblés en Europe. Les vélos cassés sont en grande partie recyclés.

    Kamiel Hammenecker

    Photo : Belga / Eric Lalmand

    Source : 

    https://bx1.be/bruxelles-ville/velos-electriques-a-partager-lequel-choisir/


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