• Les animaux ont évolué lentement au fil des millions d’années, ce qui a entravé leur adaptation aux changements soudains qui ont lieu dans leur environnement.

    L’un des changements les plus mortels est la présence massive d’objets métalliques – nos voitures – à des vitesses allant jusqu’à 100 km / h sur des routes goudronnées qui s’entrecroisent soudainement avec leurs anciens habitats. Il n’est pas aussi surprenant que des millions d’animaux soient tués dans des accidents de voiture chaque année à travers le monde.

    Hélas, ces accidents ôtent la vie à des millions d’humains également. Les humains, étant l’animal le plus adaptable, ont commencé à construire des ponts que les animaux peuvent utiliser afin de traverser nos autoroutes en toute sécurité. 

    Des ponts incroyables qui sauvent la vie des milliers d’animaux dont un en Belgique

    Ecoduc de Groenendael 

    Des ponts incroyables qui sauvent la vie des milliers d’animaux dont un en Belgique

    Ecoduc au Canada

    Des ponts incroyables qui sauvent la vie des milliers d’animaux dont un en Belgique

    Ecoduc en Allemagne 


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  • A force d'abuser, on finit par être sanctionné

    Voici ce qui se passe chez nos amis français et qui pourrait bien inspirer nos autorités locales

    Rouler en trottinette sur les trottoirs de Paris sera passible d'une amende de 135 euros.

    Le Conseil de Paris a voté une série de mesures destinée à réguler l'usage des trottinettes en libre-service dans la capitale.

    C'est désormais officiel: rouler en trottinette sur les trottoirs de Paris sera passible d'une amende de 135 euros. Le Conseil de Paris a adopté ce mercredi plusieurs mesures pour réguler leur usage. 

    Elle a ainsi décidé d'instaurer une redevance pour les opérateurs de trottinettes en libre-service, de verbaliser à hauteur de 135 euros la circulation sur les trottoirs et de punir d'une amende de 35 euros un stationnement gênant pour les piétons. La Ville s'est aussi engagée à créer 2.500 places de stationnement dédiées aux trottinettes.

    La circulation sur les trottoirs "est source d'insécurité"

    La circulation sur les trottoirs "est source d'insécurité pour les piétons, notamment les personnes âgées et les enfants. Leur stationnement, souvent anarchique, perturbe les déplacements des parents avec poussette et des personnes en situation de handicap", explique la mairie.

    La mairie de Paris a par ailleurs déploré le retard pris par la loi sur les mobilités qui doit notamment définir un cadre pour les trottinettes en libre-service. Voté mardi au Sénat, le texte doit être débattu à l'Assemblée nationale en juin, dans l'objectif d'une adoption définitive en juillet.

    Source et photo : https://www.bfmtv.com/planete/paris-le-conseil-de-paris-vote-l-interdiction-pour-les-trottinettes-de-circuler-sur-les-trottoirs-1665715.html?fbclid=IwAR1lruwTnD0dnDTkVN0cipmk4MyYCJxdZhkJJz_9cL2I4WdC2Gij0r038po

    Petit rappel utile :

    Jusqu'à environ 6 km/h (la vitesse d'un marcheur), l'usager de la trottinette électrique, aussi appelé "wheeler", est considéré comme un piéton, et peut donc emprunter le trottoir. Mais s'il dépasse cette limite, la loi belge le considère comme un cycliste. Il doit alors se cantonner aux voies réservées ou à défaut à la route.

    Liens utiles :

    http://et-notredevenir-il-est-ou.eklablog.com/les-trottinettes-de-location-enfin-a-l-amende-dans-la-region-bruxelloi-a158417810

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/des-trottinettes-electriques-en-location-a-wsl-quelle-est-la-reglement-a150524628


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  • Basic-Fit Woluwe-Saint-Lambert avenue Georges Henri

    Avis :

    Voilà une salle que je fréquente assidûment depuis son ouverture et dont je connais les qualités et les défauts. Quand on s'inscrit dans ce type de club de fitness "Low Cost", on doit bien se mettre à l'esprit qu'on n'y trouvera pas un service haut de gamme car, bien évidemment, Basic-Fit n'est pas la Rasante. Cela n'empêche que le personnel à l'accueil de cette salle est toujours chaleureux, prévenant, à l'écoute de la clientèle et des personnes venant s'informer quant aux services proposés au sein de la salle de l'avenue Georges Henri et cela doit être signalé car même dans des salles plus huppées, le personnel à l'accueil n'est pas toujours aussi sympathique.

    Pour ce qui est des installations mises à disposition de la clientèle, on peut dire que c'est mi-figue, mi-raisin. Dans l'ensemble, la salle est bien entretenue et le matériel d'entrainement "léger" bien rangé... en début de journée. Malheureusement, comme c'est souvent le cas dans ce type de salle où le service à la clientèle est réduit à sa plus simple expression, certains clients ne respectent pas ce matériel et l'abandonnent n'importe où et cela malgré des affiches demandant à cette même clientèle de remettre les instruments en place après leur entrainement. Le personnel n'ayant pas pour vocation de courir derrière chaque "contrevenant", certains soirs la salle ressemble à une vraie chambre d'ado.

    Les tapis du sol auraient aussi besoin d'être rénovés car ils sont un peu fatigués à certains endroits et les murs des vestiaires auraient besoin d'un petit rafraîchissement car de plus en plus "barbouillés", par des abonnés peu respectueux de l'endroit mis à leur disposition.

    Pour ce qui est de l'hygiène des toilettes et des vestiaires si, en début de journée, ceux-ci sont dans l'ensemble nickel, il n'en est pas de même dans le courant de la journée mais là, encore une fois, la responsabilité de ce laisser-aller en incombe à la clientèle qui semble considérer le local vestiaire et les "commodités" comme un "pis-aller".

    Venons-en maintenant au matériel "lourd" de type Leg press et assimilés !

    Ceux-ci sont de très bonne qualité (Matrix)... quand ils ne tombent pas en panne, souvent à cause d'une utilisation disproportionnée de certains "athlètes" hyper-protéinés qui se croient dans une salle de culture physique.

    Depuis quelques semaines, de nombreux membres du club de l'avenue Georges-Henri se plaignent, à juste titre, de l'indisponibilité de plusieurs de ces machines. Cela fait des semaines que ce matériel est à l'arrêt et dans l'attente de la visite d'un technicien agréé. Cela est d'autant plus navrant que, par le passé, la venue du technicien de MATRIX se faisait dans un délai maximum de deux semaines. L'une de ces machines est à l'arrêt depuis plusieurs mois (mise à l'arrêt volontaire de la machine pour des raisons de sécurité) et d'autres depuis 9 semaines comme le Leg Press mais aussi le Rotary Torso.

    Quant aux coachs privés, certains fulminent car ils ne peuvent pas donner leurs cours dans les règles de l'art tant que ces trop nombreuses machines seront en panne. 

    Basic-Fit est bien conscient du problème qu'il promet de résoudre dans "les meilleur délais". Déjà en février, sur leur page Facebook, ils répondaient que "le problème était pris en charge". Début mars, la réponse était "votre plainte est entendue et connue". Dans l'une de ses réponses, Basic-Fit reconnait cependant que "si nos prestataires pouvaient être plus rapides, les machines auraient évidemment été changées depuis bien longtemps". Basic-Fit se permet même une petite note d'humour, parfois discutable, sous forme de "Peut-être est-ce à cause des impayés de certains membres que nous ne parvenons pas à changer les machines " ou "il vient un moment ou même la plus belle des femme ne pourrait donner plus que ce qu'elle a".

    Sur le site officiel de Basic-Fit, on peut lire ceci : 

    Basic-Fit a pour ambition de rendre le fitness accessible à tout le monde. À cet effet, nous avons mis sur pied une organisation efficace et efficiente. Il va sans dire que cela ne va pas au détriment de la qualité des zones d'entraînement et des équipements, qui sont de premier ordre.

    Basic-Fit Georges Henri et ses machines malades

     


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  • Ce Bruxelles oublié

    Ce Bruxelles oublié

    Ce Bruxelles oublié

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    Ce Bruxelles oublié

    Ce Bruxelles oublié

    Ce Bruxelles oublié

    Ce Bruxelles oublié

    Ce Bruxelles oublié

    Ce Bruxelles oublié


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  • Manneken Pis trop gros consommateur d'eau

    Pourquoi Manneken-Pis n'urine plus d'eau potable ?

    Manneken-Pis est enfin respectueux de l'environnement. C'est mieux dans le contexte actuel de défense du climat tous azimuts.

    Pour la première fois depuis 400 ans, le petit bonhomme le plus célèbre de Bruxelles n'urine plus d'eau potable. Pendant toutes ces années, c'est une quantité d'eau invraisemblable qui a été perdue. Entre 1000 et 1500 litres d'eau potable par jour, soit l'équivalent de la consommation de 4 ménages bruxellois par jour. Cela fait mal à la planète, et ça fait mal à la facture aussi.

    Les équipes de la Ville de Bruxelles s'en sont rendues compte il y a quelques mois. Le Manneken-Pis fuite depuis 400 ans alors que tout le monde pensait que la fontaine tournait en circuit fermé. Une solution temporaire a été mise en place pour justement ramener l'eau. Tout ça en attendant une solution définitive. Et la Ville va maintenant faire vérifier toutes les fontaines pour faire en sorte que l'histoire ne se répète pas.

    Manneken Pis trop gros consommateur d'eau potable


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  • Une célèbre youtubeuse influenceuse Vegan avoue, après la publication d'une vidéo la surprenant en train de manger du poisson, que le régime vegan était à l'origine de grosses carences en vitamine :

    Yovana Mendoza Ayres, 29 ans,  est partie en vacances à Bali avec des copines. La végane aux 1,3 million d'abonnés a mangé du poisson durant son séjour. Malheureusement pour la tricheuse, une de ses amies a filmé la scène par accident. Les images se sont retrouvées sur les réseaux sociaux, décrédibilisant totalement l'influençeuse qui prétend ne manger que des fruits et légumes.

    Plusieurs followers ont exprimé leur déception après la publication des images du "flagrant délit". La femme sponsorisée par de nombreuses marques a demandé pardon à toute sa communauté.

    La célèbre influenceuse Vegan mangeait du poisson

    La femme, également très active sur Youtube et Twitter, a expliqué avoir mangé du poisson (sans en informer ses abonnés) à cause de grosses carences. Elle avoue aussi consommer des œufs de temps en temps pour sa santé. Pendant deux ans, ses règles se sont même arrêtées. « J’ai même pensé que c’était une bonne chose à l’époque. Mais j’ai appris que ne pas avoir ses règles n’était vraiment pas sain. » Yovana a en effet découvert que ses « hormones étaient hors de contrôle » lors de sa visite chez le médecin. Ce dernier l’a d’ailleurs informée que son corps était « préménopausé ».

    La célèbre influenceuse Vegan mangeait du poisson

    Pour lutter contre les symptômes préménopausiques, Yovana a incorporé plus de graisses dans son alimentation et a abandonné son régime végétalien cru en mangeant des aliments cuits. Mais ce n’était pas encore assez.

    En 2017, les médecins lui ont conseillé de manger des œufs parce qu’elle était « fondamentalement anémique », mais elle a refusé.

    Et les problèmes de santé ne firent qu’empirer. Yovana a commencé à développer une candidose vaginale et a découvert qu’elle avait une prolifération bactérienne intestinale (SIBO) en 2018. « Je commençais à être désespérée. C’est à ce moment-là que j’ai pensé à la possibilité d’ajouter des produits d’origine animale à mon alimentation. »

    Cette SIBO empêchait en effet Yovana d’avoir une alimentation riche en fibres, ce qui constitue l’essentiel de l’alimentation végétalienne.

    « Voir cela comme quelque chose qui pourrait me guérir était vraiment difficile à accepter. » Finalement, elle a décidé d’incorporer de nouveau du poisson et des œufs dans son alimentation afin de surmonter ses problèmes de santé.

    Yovana a toutefois répété à ses fidèles qu’elle croyait toujours aux avantages du végétalisme cru, mais qu’elle devait prendre des « mesures d’urgence » pour aider son corps.

    Ses excuses semblent avoir été efficaces car son nombre d'abonnés n'a pas changé malgré cette "trahison".

    Article RTL et vidéo "compromettante" :  

    https://www.rtl.be/people/buzz/une-celebre-instagrameuse-vegane-pincee-en-train-de-manger-du-poisson-les-images-du-flagrant-delit-ont-fuite-video--1110389.aspx


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  • Avis aux manifestants pour le climat : Surfer sur internet, c'est aussi polluer

    Faire une recherche sur Google, envoyer un e-mail, liker une photo, télécharger une vidéo, partager un article. Internet fait désormais partie de notre quotidien. Que ce soit sur ordinateur, tablette ou smartphone, le numérique est omniprésent dans nos vies. A la maison, au boulot, dans le métro, dans la file du supermarché, on se connecte pour consulter notre courriel, vérifier la météo, regarder notre fil d’actualité Facebook.

    Internet pollue autant que les avions

    Si ces comportements sont virtuels, leur impact environnemental est bien réel. C’est une pollution invisible à laquelle on participe tous les jours sans en avoir conscience. On appelle cela la "pollution numérique". Si la toile parait virtuelle, en réalité, elle ne l’est pas du tout. On estime qu’Internet pollue autant que le secteur aérien.

    Chaque e-mail parcourt 15 000 km

    Ainsi, le courriel envoyé à votre voisin de bureau parcourt des milliers de kilomètres avant d’atterrir dans sa boite de réception. On estime qu’un mail parcourt en moyenne 15 000 km. Une fois que vous cliquez sur " envoyer ", votre e-mail emprunte un câble en cuivre pour rejoindre un serveur. De là, il est envoyé dans un data center, un centre de données qui va l’analyser. Ensuite, il traverse l’Atlantique pour se rendre dans le data center de l’hébergeur de votre messagerie. Hébergeur (Gmail, Hotmail, Yahoo) qui se trouve généralement aux Etats-Unis. Une fois que votre e-mail aura été traité, il refera le chemin inverse pour atterrir dans la boite de réception de votre voisin de bureau.

    Pendant son périple de 15 000 km, votre e-mail aura engendré une demande en énergie équivalente à celle d’une ampoule électrique allumée pendant … deux heures!

    Les data centers sont très gourmands en énergie

    En cause : les data centers. Il s’agit d’énormes centres qui traitent et qui stockent vos données de manière presque éternelle. Les albums photos que vous avez sur Facebook, les mails qui se trouvent dans votre boite, toutes ces données sont stockées quelque part dans un data center.

    Concrètement, un data center ressemble à une énorme usine remplie de serveurs. Ces appareils sont très gourmands en électricité. De l’électricité, il en faut aussi beaucoup pour refroidir ces serveurs qui tournent en continu. De plus, ces centres de données sont des lieux très sensibles. En termes de fiabilité, ils ont des exigences équivalentes à celles des hôpitaux. Ils sont donc équipés de groupes électrogènes pour prendre le relai en cas de panne.

    Facebook, Apple et Google sur la voie du renouvelable

    Pour diminuer notre emprunte numérique, l’organisation Greenpeace plaide pour des énergies 100% renouvelables pour alimenter les centres de données et autres infrastructures numériques. Les géants du net Facebook, Apple et Google sont les premiers à s’être engagés pour un Internet plus respectueux de l’environnement.

    Netflix, Amazon et Twitter à la traine

    Mais d’autres grands acteurs du web peinent à s’engager pour une toile moins polluante. Toujours selon Greenpeace, Netflix a toujours recours à des " énergies sales ". Le géant américain alimente essentiellement notre streaming vidéo avec du charbon. Autre mauvais élève : Amazon, qui n’utilise que 17% d’énergie issue de source renouvelable. Greenpeace pointe aussi Twitter et Pinterest.

    Comment surfer plus vert?

    Enfin, les internautes que nous sommes peuvent aussi agir en faveur d’un Internet plus respectueux de la planète. Quelques bonnes habitudes à prendre :

    • Regarder les séries en streaming en basse définition
    • Éviter d’envoyer des e-mails avec de trop grosses pièces jointes
    • Éviter les réponses à des destinataires multiples quand ce n’est pas indispensable
    • Vider régulièrement sa corbeille
    • Se désinscrire des nombreuses newsletter qu’on ne lit jamais

    Source et vidéo

    https://www.rtbf.be/info/societe/onpdp/detail_surfer-sur-internet-c-est-aussi-polluer?id=9586281


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  • Petit rappel utile : durée de vie des déchets


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    Publicité des années 80 

     


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  • Cinq étangs de la Région de Bruxelles-Capitale devraient être ouverts à la baignade cet étéSe baigner en plein air dans les eaux bruxelloises, un rêve pour certains habitants et une possible réalité pour l'été 2019. Cinq étangs de la Région ont été sélectionnés, sur base d'une étude réalisée par Bruxelles-Environnement, pour débuter une phase de "test".

    L'objectif étant d'évaluer l’attractivité des étangs et de "tester en conditions réelles la manière dont la biodiversité va réagir et va permettre de maintenir la qualité des eaux avec la présence des baigneurs", explique Céline Frémault. 

    Tous possèdent une qualité bactériologique suffisante pour y autoriser les baignades: 

    • Étangs des Pêcheries à Watermael-Boitsfort
    • Étang du Rouge-Cloître (au-delà de la maison du prieur)
    • Étang de la Pede à Anderlecht
    • Étang du Bois de la Cambre
    • Canal à hauteur du campus du Ceria à Anderlecht

    Vérifier la qualité bactériologique de l'eau

    Des analyses ont été réalisées pour s'assurer qu'il n'existe aucun risque sanitaire.

    Selon l’arrêté de 2009, qui régit les normes de qualité sanitaire que doivent respecter les étangs dédiés à la baignade, les eaux doivent faire l’objet d’une surveillance régulière, par des analyses bactériologiques. 

    L'été dernier, du 16 juin au 16 septembre, Bruxelles-Environnement a évalué la qualité bactériologique de vingt sites différents afin de savoir s'ils pouvaient accueillir la baignade, considérée comme activité récréative au même titre que la pêche, le navimodélisme ou encore le canotage.

    L'eau de dix huit étangs, ainsi que de la Senne et du Canal, ont été analysées.

    La carte des zones de baignade. La carte des zones de baignade. - © Bruxelles-Environnement

    Le Parc Roi Baudouin Phase I, les étangs des Pêcheries Royales, la fontaine Square Marie-Louise, le Parc du Bempt, l'étang du Bois de la Cambre, l'étang long - Parc de Woluwe, l'étang Parc Ten Reuken, Parc Josaphat - l'étang aux pigeons, le parc Marie-Jose, l'étang Parc Malou, le Rouge-Cloître- Etang 3, l'étang Parc Tercoigne, l'étang du Linkebeek, l'étang de la Pède - le Grand Etang, l'étang de la Pede, l'étang Parc Astrid, le Petit étang Mellaerts, l'étang d'Ixelles, Senne Buda, Bollinckx, le Canal Vergote, CERIA, le Canal Buda, Biestebroeck.

    Comme l'explique le rapport de l'étude, cette évaluation s’est faite sur base de la quantité de bactéries fécales présentes dans un échantillon de 100mL d’eau. Chaque étang a été échantillonné 6 fois.

    Cette phase de "test" demande encore l'étude de certains aspects, comme "la faisabilité technique et juridique sur les étangs et le canal sélectionnés, les assurances, l’organisation, la communication, le gardiennage, l’impact environnemantal, le risque de blessure, l’opportunité ou l’obligation de réaliser un nettoyage du fond préalable, les infrastructures à mettre en place, le budget", insiste la ministre.

    Elle précise aussi que des contacts sont encore en cours avec la Ville, les Communes et le Port concernés. 

    Source : https://www.rtbf.be/info/regions/detail_les-bruxellois-devraient-pouvoir-se-baigner-dans-six-etangs-de-la-region-cet-ete?id=10158392&fbclid=IwAR0ud830DXWOTjM0i2qmkxAdt_lXiwied_z9nj0u--ucKKi1Os2uv8fz9vw


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  • La petite commune bruxelloise s’apprête à interdire le stationnement des deux-roues électriques sur la quasi-totalité de ses voiries. 

     

    Trottinettes garées n’importe où: Saint-Josse sort l’artillerie lourde

    Les habitants des plus grandes villes du pays, principalement ceux de la capitale, les voient partout depuis plusieurs mois. Les trottinettes électriques partagées connaissent un véritable boom. Leur spécificité: les utilisateurs peuvent les laisser partout dans l’espace public une fois qu’ils en ont fini. Une liberté qui ne manque pas de créer de plus en plus de problèmes pour les autres usagers, en premier lieu les piétons. Ceux-ci sont parfois obligés de quitter le trottoir pour éviter une trottinette à l’arrêt. Plusieurs entités de la capitale comme Uccle et Ixelles ont déjà exprimé ces dernières semaines leur agacement par rapport à ce nouveau type de nuisance. Mais sans pour autant en interdire drastiquement le stationnement sur leurs voiries. Une décision que vient de prendre la petite commune de Saint-Josse. A l’exception de quatre sites bien délimités géographiquement, le stationnement des trottinettes y sera bientôt interdit sur l’ensemble des trottoirs. Avec une amende salée pour les contrevenants : 175 euros pour un mineur et 350 euros pour un adulte.

    Trottoirs étroits et PMR en danger 

    "Il faut mettre un terme à un déploiement qui est aujourd’hui anarchique. Il faut penser aux usagers les plus faibles, notamment les PMR et donc règlementer. Saint-Josse a une situation spécifique. On a un territoire très petit, une population très jeune et les trottoirs y sont particulièrement étroits. On est la commune de tous les superlatifs en ce sens. L’étroitesse des trottoirs ne permet pas le stationnement de ces trottinettes n’importe où. Le collège a donc décidé de l’interdire partout sauf sur quatre sites bien définis géographiquement : l’esplanade Madou, la place Rogier, la place Rogier et les abords de la station Botanique", explique son bourgmestre Emir Kir (PS).

    L’interdiction entrera en vigueur après l’approbation du règlement par le conseil communal du 13 mars prochain. Pour le maïeur tennoodois, l’essor de ces deux-roues électriques, pose aussi plus fondamentalement des questions sur le plan des conditions de travail : "Ce n’est pas l’objet du règlement, mais il est clair qu’il faudra à un moment donné se poser des questions sur tous ces modes de transport partagés. On voit des travailleurs venir les chercher en plein nuit pour les emmener on ne sait pas où."

    Les autres communes ne suivent pas

    Uccle, Ixelles et Bruxelles-Ville sont trois entités bruxelloises particulièrement concernées par le phénomène. Elles ont aussi en commun d’avoir chacune un mandataire Ecolo-Groen comme échevin de la Mobilité. Ceux-ci ne comptent pas prendre de décision aussi drastique que Saint-Josse dans les semaines à venir. Mais la réflexion sur la meilleure manière de gérer le phénomène est en cours. "On réfléchit à un règlement, mais ça se fera en collaboration avec la Région", explique le cabinet de l’échevin bruxellois de la Mobilité Bart Dhondt.

    "On va interdire le stationnement dans quelques rues très étroites et avec un flux important de piétons. Ce sera le cas de la rue Xavier De Bue. Mais le stationnement restera possible dans la majeure partie du territoire", indique l’échevin ucclois de la Mobilité Thibaud Wyngaard. Du côté d’Ixelles, on planche même sur… la création d’aires de stationnement partout sur le territoire communal. "On a une population plutôt jeune et friande de ce type de transports alternatifs", explique l’échevin compétent Yves Rouyet.

    Un mode de transport qui pose question 

    Les villes d’Anvers et de Liège, mais aussi l’ensemble des communes bruxelloises devront en tout cas prendre position dans les mois à venir sur ce nouveau mode de transport alternatif. Il n’est en tout cas pas anormal que nos élus locaux n’aient pas encore légiféré. Le phénomène est encore récent. Le principal opérateur actuel, la start-up californienne Lime, a seulement lancé en novembre dernier ses 500 premières trottinettes électriques dans la capitale. "On est favorable à Ixelles aux nouveaux modes de transports alternatifs et à tout ce qui peut offrir une alternative à la voiture. Le système pose néanmoins des questions environnementales et sociales. Il faut que des automobilistes aillent les rechercher pendant la nuit, ce qui n’est pas rien en bilan carbone. Et puis les gens qui le font travaillent dans le système Uber. Et je ne suis pas certain que les utilisateurs les prennent pour remplacer des trajets en voiture. Je trouve aussi le système à titre personnel assez cher. Raison pour laquelle je ne les ai jamais utilisées jusqu’à présent", indique Yves Rouyet. Du côté de Saint-Josse, la question a en tout cas été tranchée.

    Source : https://moustique.be/23228/trottinettes-garees-n-importe-ou-saint-josse-sort-artillerie-lourde


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  • "Non diagnostiqué à temps, le décès est fréquent": l’échinococcose, maladie parasitaire due au ténia, se répand en France... et peut-être bientôt chez nous

    Le renard serait porteur d'une maladie potentiellement mortelle

    Autrefois limitée à la Franche-Comté, l’echinoccocose alvéolaire, une maladie parasitaire provoquée par le ténia, est désormais recensée dans toutes les régions de France. À Cappelle-en-Pévèle, dans le Nord, des habitants alertent sur les dangers de la maladie, sous-diagnostiquée.

    La France est de plus en plus menacée par l'echinoccocose alvéolaire. Si le nom n’évoque rien pour vous, parlons du ténia : plus familier de notre langage, ce ver vient se loger dans le foie, provoquer la maladie et entraîner la mort. Promeneurs, chasseurs, jardiniers, enfants qui jouent dans les bacs à sable ou les pelouses souillées par les renards, l'échinococcose guette tout le monde. Autrefois limitée à la Franche-Comté, avec l'augmentation de la population de renards, le ténia s'étend et on le recense désormais dans toutes les régions de France.

    "Je demande aux enfants de ne pas prendre les fruits trouvés au sol"

    Le renard serait porteur d'une maladie potentiellement mortelle

    Nous sommes à Cappelle-en-Pévèle, dans les Hauts-de-France, dans le jardin de Jean-Jacques De Keyser. Il pointe le verger qui borde sa clôture. "Il y a une tanière, là-bas… On a même vu des renardeaux !" Pour ramasser les framboises, groseilles et cassis du jardin. Jean-Jacques de Keyser a établi des règles strictes avec ses enfants : "C’est moi qui prélève les fruits, et en hauteur. Ils sont sensibilisés sur le sujet et je leur demande de ne pas prendre de fruits trouvés au sol."

    Les premiers cas sont apparus il y a trois ans dans les Hauts-de-France. À l'origine, des campagnols contaminés, puis mangés par les renards. "Le renard attrape un ver qui s’appelle le ténia, explique Philippe Wartelle, président de l'association de soutien et de défense des personnes contaminées par l'échinococcose alvéolaire. Un renard contaminé lâche environ deux cent œufs tous les dix jours (1).

    Le renard serait porteur d'une maladie potentiellement mortelle

     

    Ces oeufs contaminent l'homme lorsqu'après avoir été, directement ou indirectement en contact avec ceux-ci, il met les mains à la bouche. C'est ce qu'on appelle, la maladie des mains sales.

     (1) : Des centaines, voire des milliers d’échinocoques adultes (de 2 à 3 mm de long) se développent dans l’intestin grêle du renard, du chien ou du chat que l’on qualifie de porteurs sains car la maladie n’a pas d’incidence sur leur santé. Le ver, au bout de quelques semaines, lâche des sacs bourrés de 200 œufs environ qui se retrouveront dans les excréments... Pour la suite, cliquez sur le lien en bas de page. 

    Source : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/non-diagnostique-a-temps-le-deces-est-frequent-lechinococcose-maladie-parasitaire-provoquee-par-le-tenia-a-envahi-lhexagone_3190397.html?fbclid=IwAR0UDzYXkNdb-lleRsujoYWGlpVd0sZFdf4sb4uJbC5BTqyefOjh4GcLmAU

    Lien Très utile si cette maladie vous inquiète 

    http://asso.nordnet.fr/blancfour/maladierenard.htm

     


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  • "60 Millions de consommateurs" révèle que les roses vendues dans le commerce recèlent quantité de substances chimiques. Si les roses éco-responsables existent, elles sont difficiles à trouver. 

    Roses et Saint-Valentin : un inquiétant cocktail de pesticidesOffrir une rose rouge à l’occasion de la Saint-Valentin comme preuve de son amour est un grand classique. Pourtant, le geste perd toute sa poésie à la lecture des résultats édifiants d’une enquête publiée par "60 millions de consommateurs",.

    Le mensuel a passé au banc d’essai les bouquets de roses de dix grandes enseignes : les fleurs que nous avons plaisir à offrir et à recevoir, voyagent le plus souvent en avion et regorgent aussi de substances chimiques, parfois interdites en France et dangereuses pour l’environnement.

    La chose est loin d’être anecdotique quand on sait que chaque année, les Français achètent 22 millions de bouquets de roses et 9 millions de rosiers, l’autre grosse période de vente, après la fête des amoureux étant la fête des mères.

    Premier constat : n’en déplaise aux défenseurs du "Made in France", difficile de trouver unerose française sur les étals des fleuristes et dans les jardineries de l’Hexagone. Soumise à une rude concurrence internationale, l’horticulture tricolore est à la peine face aux producteurs de pays comme le Kenya qui s’en est fait une spécialité, l’Equateur, la Colombie ou encore les Pays-Bas. A titre de comparaison, une ferme africaine produit, en effet, trois à quatre fois plus de roses par an que n’en traite dans le même temps tout le marché aux fleurs d’Hyères, dans le Var.

    L’impact carbone des roses

    Or, lorsque nous achetons des fleurs qui arrivent de l’hémisphère sud, elles ont voyagé par avion dans 85% des cas. Aussi, le plaisir de humer le délicat parfum exhalé par leurs pétales coûte-t-il cher à la planète et au climat, avec un impact de 570 à 1 580 g de CO2 émis par tonne de roses et par kilomètre.

    49 substances chimiques

    A l’issue des analyses effectuées en laboratoire sur les roses vendues par Aquarelle, Florajet, 123 fleurs, Rapid’Interflora, Carrément Fleurs, Le Jardin des Fleurs, Monceau Fleurs, Happy et Au Nom de la Rose, le mensuel a identifié au total pas moins de 49 molécules différentes.

    Dont certaines très persistantes dans l’environnement. Mais aussi des produits réputés dangereux pour les abeilles (chlorothalonil, acétamipride, méthamidophos…) et des pesticides interdits en France, comme le dodémorphe, un fongicide utilisé pour lutter contre l'oïdium – un champignon qui blanchit les feuilles -, l’acéphate (insecticide interdit en Europe et en France) ou encore  la carbendazime (fongicide interdit depuis 2008).

    Quels sont les bouquets de roses les plus verts ?

    Le bouquet le plus vertueux, selon le classement établi par la revue, est "Rouge velours", commercialisé par Aquarelle. Il contient toutefois quatre substances contestables et du dodémorphe. Engagée dans le commerce équitable avec l’ONG  Max Havellar, l’enseigne Aquarelle impose par ailleurs des règles sociales et environnementales à ses fournisseurs.

    Viennent ensuite les bouquets "Love", de Florajet et "Bouquet de roses", de 123 Fleurs. Ils contiennent toutefois cinq substances, du dodémorphe pour Florajet et trois produits interdits en France pour 123 Fleurs (acéphate et carbendazime). Le bouquet le plus mal noté par le mensuel est "Botte de roses", commercialisé par Au nom de la rose,avec 25 substances repérés et neuf interdites… Les enseignes HappyMonceau fleurs et Le Jardin des fleurs  s’en tirent un peu mieux, mais leurs bouquets contiennent 15 substances, et entre trois à cinq produits prohibés en France.

    Mais pourquoi tant de produits chimiques ?

    Que l’on retrouve autant de substances interdites dans l’Hexagone tient essentiellement à deux raisons : pour les fleurs coupées non comestibles, les pouvoirs publics, considérant que, dans l’état actuel des connaissances, le risque d’exposition est inexistant, la réglementation actuelle n’impose pas de limites de résidus. Par ailleurs, à l’instar du dodémorphe, explique "60 millions de consommateurs", certaines substances interdites en France ne le sont pas dans d’autres pays du monde ou en Europe. C’est le cas notamment aux Pays-Bas, par où transitent le plus souvent les fleurs importées en France.

    Toutefois, si la présence de pesticides dans les roses ne constitue pas, a prori, un problème de santé publique pour les consommateurs, il n’en va pas de même pour les ouvriers agricoles, les plus exposés, mais aussi les fleuristes et bien sûr l’environnement. De nombreuses études scientifiques pointent l’impact sur la santé humaine de la persistance des produits phytosanitaires dans la nature, après épandages, notamment dans l’eau : cancers, problèmes de développement pour l’enfant, baisse de la fertilité…

    Des roses bio ou équitables, c’est  possible… Mais pas facile à trouver et bien plus cher

    La bonne nouvelle, pour les amoureux en quête d’éthique et désireux de prendre soin de la planète, c’est que les fleurs écoresponsables, en France, ça existe. Produites par plus de 400 horticulteurs, on peut en acheter chez 200 fleuristes et 100 jardineries, sous le tout récent label Fleurs de France. Créé en 2015, ce label valorise les fleurs produites en France et issues d’une culture certifiée "écoresponsable ou de qualité". Il recouvre la certification environnementale "Plante bleue", le Label Rouge pour les végétaux et le label Agriculture biologique.

    La mauvaise nouvelle, souligne "60 millions de consommateurs", c’est que, pour la rose, il est pratiquement impossible de trouver ce label vert, tant la production française se réduit au fil des ans…

    Rose équitable

    Reste la rose équitable, qui peut contenir des pesticides, mais dont la production et le commerce sont au moins régis par des règles sociales et environnementales, notamment celles de l’ONG Max Havellar et de son certificat Flo International qui compte 55 fermes dans le monde, pour 49 000 travailleurs. Les ouvriers qui doivent, entre autres, toucher au moins le salaire minimum prévu dans leur pays, doivent aussi porter des équipements de protection lors des épandages de pesticides et ne peuvent pas retourner dans une zone traitée dans les quatre à vingt-quatre heures après épandage.

    Entre 1,50 et 4 euros la rose

    S’il est vrai que l’amour n’a pas de prix,la maxime vaut aussi pour la planète… et les roses. Quand nous achetons entre 0,70 et 1,50 euros la fleur produite au Kenya, elle a été vendue par la ferme africaine 0,08 euros au grossiste de Nairobi. A titre de comparaison, la rose équitable d’Equateur, plus grosse, coûte entre 1,50 et 4 euros la tige…

    Source : https://www.sudouest.fr/2017/02/14/roses-et-saint-valentin-un-inquietant-cocktail-de-pesticides-3193444-706.php

     


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  • Oups, Monsieur Pascal Smet, les trottinettes sont toujours sur la Grand-Place de BruxellesLe véritable défi pour Bruxelles et sa Région sera de réguler les ambitions des entreprises privées présentes sur ce marché nouveau de la trottinette électrique de partage. Une ordonnance a été votée il y a quelques semaines par le Parlement bruxellois. Objectif, dès janvier : mettre en place un permis d'exploitation pour encadrer ce business en plein boom.

    Parmi les mesures retenues : l'interdiction de stationner des trottinettes sur certains lieux emblématiques, comme la Grand-Place par exemple, et l'obligation de retirer les véhicules gênants. En cas de non-respect des règles, les entreprises concernées risquent "des amendes ou un retrait de permis d'exploitation", précise Pascal Smet.

    Toutes les entreprises interrogées se disent prêtes à obtenir le permis d'exploitation. Une licence qui existe d'ailleurs déjà en Flandre. "L'ambition de Bird est de travailler main dans la main avec les villes. Nous avons déjà obtenu des permis dans d'autres endroits, comme par exemple à Anvers. Nous n'avons donc aucun problème avec la régulation, pour autant que cette régulation soit juste", déclare ainsi Jonatan de Boer, General Manager Belgique pour Bird.

    Oups, Monsieur Pascal Smet, les trottinettes sont toujours sur la Grand-Place de Bruxelles

     Dans les zones de concentration, il y aura un nombre maximum de véhicules en cyclopartage à respecter. Une redevance régionale pour l’enlèvement des véhicules en cyclopartage est fixée à 100 euros pour un cyclomoteur; 300 euros pour une moto; 50 euros pour un vélo et pour les autres véhicules en cyclopartage.

    Oups, Monsieur Pascal Smet, les trottinettes sont toujours sur la Grand-Place de Bruxelles


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    Sachez que si vous louez une maison ou un appartement,** vous devrez vous occuper du déneigement de votre trottoir.** Selon votre commune, il vous faudra soit déneiger complètement votre trottoir, soit laisser un passage dont la largeur est définie dans le règlement communal. C’est en effet souvent l’occupant des lieux, et non le propriétaire, qui est responsable. Encore une fois, cette règle est établie par la commune et peut donc varier d’une commune à l’autre.

    Rappel utile : Vous êtes responsable du déneigement de votre trottoir

    Vous habitez dans une maison

    Si vous habitez dans une maison, vous avez normalement un trottoir devant chez vous. Si vous êtes sur un coin de rue, vous en avez peut-être même deux. Dans tous les cas, vous devez déneiger devant chez vous. Et ce qui compte, c'est la largeur de votre terrain, pas celle de votre maison. Autrement dit, si votre jardin est plus large que votre façade, c’est la largeur du jardin qui compte… 

    Attention: beaucoup de communes ont inscrit des amendes dans leur règlement communal. Autrement dit, il peut arriver que des agents communaux passent dans les rues pour vérifier que chaque habitant a bien rendu son trottoir "non glissant". Si vous dérogez à la règle, vous risquez jusqu’à 350 euros d’amende dans certaines communes. Le montant exact de l’amende peut figurer dans le règlement communal.

    Vous habitez dans un appartement

    Votre logement est à l’étage? A priori, pas de problème pour vous, vous ne serez pas tenu responsable si un passant fait une mauvaise chute, et vous ne recevrez pas d’amende. En revanche, si vous habitez au rez-de-chaussée, vous devez déneiger ou dégivrer le trottoir devant votre immeuble. S'il y a un concierge dans l’immeuble, ce sera à lui de déblayer. Cependant, faites attention au règlement communal en vigueur. Certaines communes imposent aux locataires de déneiger, sans distinction de l’étage où vous habitez.

    Rappel utile : Vous êtes responsable du déneigement de votre trottoir

    Comment dégager votre trottoir?

    Ce n’est pas bien compliqué. La solution la plus simple est d’utiliser du sel, mais ce n’est pas idéal pour l’environnement ni pour les animaux domestiques. En effet, le sel est légèrement irritant, et les chiens en promenade risquent d’en pâtir. Si vous voulez faire plaisir à l’environnement ou à nos compagnons à quatre pattes, il existe d’autres méthodes:

    les copeaux de bois ou le sable: ils favorisent la fonte de la neige, mais il faudra les balayer ensuite!
    la pelle à neige: toujours efficace pour déblayer en cas de grosse chute de neige. Mais vous devrez terminer à la brosse. 
    la brosse de rue: efficace avec ses poils bien durs, elle permet de dégager les résidus de neige compacts. 

    Rappel utile : Vous êtes responsable du déneigement de votre trottoir

    Et si quelqu’un tombe?

    Si un passant chute en s’aventurant sur un trottoir non dégagé, il peut se retourner contre vous pour obtenir une indemnisation totale. En revanche, il peut arriver que le passant soit lui-même déclaré responsable. Si, par exemple, il marche sur une partie non dégagée du trottoir. En effet, certaines communes acceptent que seul un passage soit dégagé, et non tout le trottoir. Renseignez-vous donc avant de ne déneiger qu’une partie de votre trottoir! 

    Bonne nouvelle: si vous avez souscrit à une assurance RC familiale, cette indemnisation sera couverte, moins le montant de la franchise de votre assurance. Par contre, elle n’interviendra pas pour les éventuelles amendes communales.

    Enfin, si une personne chute avant que vous ayez eu l’occasion de déneiger, par exemple parce qu’il a neigé pendant que vous étiez au travail, vous ne serez pas automatiquement tenu responsable. En effet, l’obligation de dégager votre trottoir est une obligation "de moyen" et non "de résultat". Vous devez mettre en œuvre tous les moyens possibles pour déneiger, pas avoir un trottoir exempt du moindre flocon à tout moment.

    Lien utile... rétro mais toujours d'application 

    https://www.rtbf.be/auvio/detail_deneiger-son-trottoir-est-une-obligation?id=2451447


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  • Avec l'hiver, le sel de déneigement fait donc son apparition sur les sols des routes, trottoirs et abords des maisons. Ce sel qui permet de faire fondre la neige et le verglas est très irritant pour les coussinets de nos compagnons à quatre pattes, de plus, il est très toxique en cas d'ingestion.

    Le sel de déneigement provoque des irritations

    Le sel de déneigement : produit toxique pour les chiens et les chats

    Le contact avec le mélange eau-sel peut provoquer des irritations locales de la peau

    Il provoque des irritations au niveau des coussinets et entre les doigts et peut inciter votre animal de compagnie à se lécher à cet endroit aggravant ainsi les lésions. De plus, en se léchant, votre compagnon va aggraver ses blessures et risque aussi d'ingérer ce sel.

    Le contact avec le mélange eau-sel sur un coussinet atteint de coupures dues à la neige ou à la glace, va pénétrer dans ces plaies, déshydrater les couches cornées des coussinets et va aggraver les lésions rendant très douloureux l’appui.

    Un contact entre les yeux et les grains de sel peut provoquer une irritation temporaire des yeux et/ou une blessure superficielle.

    Pour protéger les pattes de votre animal de compagnie

    • Au retour des sorties, rincez les pattes de votre chien (ou votre chat) soigneusement à l’eau claire et tiède (pas chaude) avant qu’ils ne se lèchent les pattes.
    • Vérifiez bien qu’il n’y a aucune irritation ou blessure pouvant s’infecter.
    • Essuyez les pattes avec une serviette.
    • Vous pouvez utiliser des lotions tannantes qui rendent les coussinets plus résistants, plus souples et permettent de les imperméabiliser le temps de la balade.
    • Vous pouvez badigeonner les coussinets et l’espace interdigital de vos chiens d’une pommade surgrasse et ainsi éviter également la formation de glaçons entre les coussinets qui peuvent gêner ou blesser. Mettez-lui avant de partir afin que l’animal ne se lèche pas.
    • Il existe également des chaussons de protection pour les pattes que vous pourriez lui mettre pour les promenades.

    Le sel de déneigement : produit toxique pour les chiens et les chatsEn cas d’ingestion, attention au risque d'intoxication

    Le sel de déneigement peut aussi être une source d’intoxication pour votre animal de compagnie.

    Si votre animal ingère du sel de déneigement, il peut s’intoxiquer entrainants vomissements et diarrhées suivis de douleurs abdominales et une soif intense.

    De plus, ce sel peut provoquer des brûlures au niveau de la langue et dans la gueule.

    En cas d’ingestion assez importante ou de manière répétée, consultez votre vétérinaire, car les lésions peuvent être graves (lésions au niveau des reins et du pancréas...).

    Pour éviter toute intoxication due au sel

    Stockez les produits en hauteur vos sacs de sel dans des endroits sécurisés afin que votre chien ou votre chat ne puisse pas y accéder et en ingérer.

    Le sel de déneigement : produit toxique pour les chiens et les chatsLes alternatives au sel de déneigement 

    Lorsque vous déneigez vos espaces privés (cour, entrée de garage, trottoirs, …), oubliez le sel de déneigement et privilégiez d’autres techniques comme :

    • le déneigement mécaniquement,
    • les graviers que vous pourrez balayer par la suite, 
    • le sable qui disparaîtra des chaussées avec le temps,
    • des cendres qui vont se dissiper avec la fonte de la neige,
    • ou bien étendre des copeaux de bois ou de la sciure de bois .

     

    Source : https://www.animo-petfood.com/blog/sel-de-deneigement-toxique-pour-chiens-chats-n26

     

    Lien utile : 

    ttps://fr.yummypets.com/mag/2017/12/22/109765/attention-sel-de-deneigement-pattes-de-chien

    Mais aussi : 

    Le sel de déneigement : produit toxique pour les chiens et les chats


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  • Les trottinettes de location enfin à l'amende dans la région bruxelloise.

    La Région Bruxelloise s'organise contre le parking anarchique des trottinettes de location ainsi la commune d'Uccle verbalisera systématiquement l'entreprise américaine si la situation ne s'améliore pas dans les quinze jours. Ixelles va suivr

    Vous l'aurez certainement remarqué, les trottinettes partagées ont massivement fait leur apparition en Région bruxelloise. Mais revers de la médaille, ces modes de transport empiètent de plus en plus sur l'espace public.

    C'est notamment le cas dans la commune d'Uccle, où le bourgmestre Boris Dilliès (MR) a pris les devants afin d'enrayer le phénomène : il a envoyé une lettre de mise en demeure à la société Lime le 11 janvier dernier afin que cette dernière veille à ce que les trottinettes n'obstruent plus le passage.

    "Les trottinettes de location enfin à l'amende dans la région bruxelloise.Nous félicitons et encourageons ce type de mode de transport et tout ce qui a trait à la mobilité douce. Néanmoins, nous devons déplorer de la part des utilisateurs un manque de respect des normes de sécurité. Un article du règlement général de police permet de verbaliser et de donner une sanction administrative à une personne qui empêche la bonne circulation des piétons. Le problème est que les trottinettes ne sont pas immatriculées, donc nous enverrons la note à Lime, et à charge de la société de retrouver le dernier utilisateur qui aurait mal garé la trottinette", explique Boris Dilliès.

    "On a pris bonne note de l'intention de Lime d'engager des patrouilleurs pour vérifier que les trottinettes sont bien placées, mais sans amélioration dans la quinzaine, nous nous verrons dans l'obligation de demander à nos agents constatateurs de dresser, systématiquement, un procès-verbal. Il serait en effet contre-productif pour votre société ainsi que pour la mobilité à Bruxelles que les piétons voient d'un mauvais oeil le dépôt anarchique de ces trottinettes sur nos trottoirs, voire parfois au milieu d'une voie publique", peut-on lire dans le courrier dont nous avons pu prendre connaissance."Nous osons espérer que nous ne devrons pas en arriver là et que vous parviendrez à conscientiser les utilisateurs de vos trottinettes."

    Par ailleurs, en accord avec l'échevin de la Mobilité Thibaud Wyngaard (Ecolo), la commune va identifier de nombreuses zones de dépôt pour les véhicules en free-floating (Lime, Scooty, Billy Bike, etc.). "Nous allons donner des plans aux différentes sociétés avec des adresses où on leur conseille de déposer les véhicules. Par exemple, il n'est pas normal de retrouver trois trottinettes alignées devant un commerce de la rue Xavier De Bue, alors que le parvis Saint-Pierre, beaucoup plus vaste, se trouve juste à côté. De nombreuses zones de dépôt vont ainsi être identifiées pour éviter les dépôts anarchiques qui obstruent le passage des piétons et des personnes à mobilité réduite", poursuit Boris Dilliès.

    Les trottinettes de location enfin à l'amende dans la région bruxelloise.Une charte sur la gestion des véhicules en libre-service

    Par ailleurs, la commune d'Uccle a envoyé une charte (non contraignante) sur l'installation et la gestion d'une flotte de trottinettes en libre-service sur le territoire communal.

    Ainsi, la charte prévoit que:

    - Le futur opérateur doit informer le collège des bourgmestre et échevins de son intention à placer des trottinettes en libre-service sur le territoire de la commune;
    L’opérateur doit fournir une personne de contact à la commune afin d’avoir un interlocuteur pour la gestion de la flotte;
    - L’opérateur doit s’assurer que les trottinettes mises à disposition sont dans un bon état permettant une utilisation correcte et en toute sécurité du client. Si la trottinette n’est pas en état, celle-ci doit être retirée de l’espace public en vue d’être remplacée et/ou réparée ;
    - L’opérateur doit informer la commune de son système de vérification de l’état des trottinettes ;
    - L’opérateur doit s’assurer que le stationnement des trottinettes de sa flotte respecte les prescrit de l’utilisation de l’espace public, à savoir, notamment, l’obligation de laisser 1,50 m minimum de trottoir pour le cheminement des piétons, de laisser les accès carrossables et les accès aux portes d’entrée libres de ce stationnement, de laisser les quais des arrêts de transport en commun libre et de laisser les passages pour piétons libres.

    Par ailleurs, l’opérateur doit s’assurer d’une bonne rotation des trottinettes, c’est-à-dire qu’une trottinette ne peut pas stationner au même endroit plus d’une semaine.

    Les trottinettes de location enfin à l'amende dans la Région BruxelloiseDu côté de Forest, également, la problématique est prise à bras-le-corps : le bourgmestre Stéphane Roberti (Ecolo) a l'intention de convoquer les responsables de Lime afin d'ouvrir une discussion pour trouver des solutions pour empêcher que ces trottinettes soient déposées n'importe où et encombrent les voies pédestres.

    A Saint-Gilles, aussi, cette problématique est fortement ressentie. "Nous avons l'intention d'envoyer un courrier à Lime pour les rencontrer. On trouve souvent des trottinettes placées devant les stations de tram et c'est très problématique pour les usagers, notamment les personnes avec des poussettes. Mais cette problématique concerne l'ensemble de la Région bruxelloise et nous comptons contacter Bruxelles Mobilité pour voir les solutions proposées", confie Catherine Morenville (Ecolo), nouvelle échevine de la Mobilité.

    Christos Doulkeridis (Ecolo), bourgmestre d'Ixelles, va également envoyer un courrier de mise en demeure à la société Lime.

    Emir Kir (PS), bourgmestre de Saint-Josse, dit comprendre l'attitude de Boris Dilliès. "Nous sommes dans une forme de capitalisme débridé qui arrive sur nos voiries. Nous prônons une fluidité de la mobilité mais pas de cette manière là. Je pense aux personnes malvoyantes pour qui nous avons fait des efforts considérables pour avoir des parcours dégagés, qui sont maintenant obstrués par les trottinettes. J'utiliserai les même moyens que monsieur Dilliès si je reçois des plaintes émanant de la population", a-t-il confié.

    Rien n'est prévu, pour le moment, du côté des communes d'Anderlecht, de Schaerbeek, de Woluwe-Saint-Pierre, Woluwe-Saint-Lambert, de Molenbeek, de Jette, d'Auderghem et de Berchem-Sainte-Agathe.

    Source : Arnaud Farr dhnet.be

     

     

     


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  • Dès ce 1er janvier 2019, ce sont 13.031 voitures immatriculées à Bruxelles qui devront disparaître.

    Certains vieux véhicules essence aussi interdits dès ce 1er janvier 2019

    Le parc automobile belge, selon les chiffres 2016, c’est 5,67 millions de voitures. Celles-ci répondent à des classes environnementales allant d’Euro 0 à Euro 6 (b, c, dTEMP et d). Progressivement, les voitures répondant aux plus vieilles normes environnementales seront interdites d’accès à Bruxelles, sauf exceptions. Ce qui complique la donne, c’est que les restrictions s’appliqueront principalement aux véhicules diesels. Les véhicules essence Euro 1 et Euro 0 seront certes interdits dès 2019 et les Euro 2 essence dès 2025, mais il ne s’agit pas là d’une grosse partie du parc. Beaucoup d’Euro 2 essence auront disparu naturellement d’ici 2025.

    Euro 0 et 1 essence et diesels confondus ne représentent que 1,1% du parc. C’est marginal. Il s’agit en effet de 62.000 véhicules sur toute la Belgique ayant été immatriculés avant le 1er janvier 1997. A noter d’ailleurs que la mesure ne tient pas compte des "oldtimers" qui sont exemptés.

    13.000 véhicules bruxellois concernés dès 2019

    Si on prend les chiffres du parc bruxellois diesel, on rentre dans le concret. Dès 2019, ce sont 13.031 voitures immatriculées à Bruxelles qui devront disparaître de la capitale. (mis à part l'un ou l'autre rare ancêtre diesel) 

    La question sera donc de savoir que faire de ces voitures qui deviendront difficiles à revendre. L’exportation sera une solution, la vendre à la campagne ou la mettre à la casse une autre. On peut imaginer que certains Bruxellois sortent leur voiture de la capitale pour la parquer ailleurs à la campagne.

    Dès 2020, 36.216 diesels supplémentaires devront avoir disparus des rues bruxelloises. Certes certains vont disparaître naturellement de leur belle mort ou autre, mais la pression sur le marche d'occasion sera bien présente.

    À noter qu'il convient d 'ajouter à ces chiffres toutes les voitures en transit. 

    Votre véhicule concerné ?

    C’est donc clairement les véhicules diesels qui seront visés. Car ici, cela ira beaucoup plus vite. Les Euro 2 diesel seront bannis dès 2019, les Euro 3 dès 2020, etc. 

    Il convient de noter que si les normes Euro correspondent à des dates d’immatriculation, certains véhicules ont obtenu des normes Euro plus tôt que l’échéance prévue par le législateur. En général, la norme est indiquée sur la carte grise, sinon c’est la date d’immatriculation qui la définit. Tous les véhicules interdits pourront encore exceptionnellement rouler en ville, huit jours par an maximum pour 35 euros par jour. Quelques exemples pour y voir plus clair.

    Mercedes W202 essence

    Une Mercedes essence immatriculée avant le 1er janvier 1997 ne pourra plus rouler dans Bruxelles, sauf dérogation, dès 2019. C’est à peu près la seule contrainte pour l’essence. Les véhicules essence Euro 2 immatriculés entre 1997 et 2000 pourront encore rouler à Bruxelles jusqu’au 31 décembre 2024.

    Peugeot 306 diesel de 1995

    Une Peugeot 306 diesel première du nom de norme Euro 1 est interdite à Bruxelles depuis 2018. 

    Renault Clio II diesel

    Une Renault Clio II diesel de 1998, un best-seller de l’époque, sera interdite en ville dès 2019.

    Golf V diesel de 2005

    Le diesel est dans le viseur du législateur. Une Golf diesel de 2005 ne pourra plus rouler dans Bruxelles sauf dérogation dès 2020. Il en ira de même pour tous les véhicules diesels Euro 3 et en dessous, soit tous les diesels d’avant 2006.

    Renault Mégane III de 2010

    Une Renault Mégane diesel de 10 ans ne pourra plus rouler dans Bruxelles sauf dérogation dès 2022. Soit un véhicule âgé de 12 ans. Tous les véhicules diesels d’avant 2011 seront bannis à Bruxelles dès 2022.

    BMW X3 II diesel de 2014

    Un véhicule relativement récent comme une BMW X3 de norme Euro 5 sera interdit dès 2025. Il en ira de même pour un véhicule Euro 5, immatriculé avant août 2015, soit après 10 ans de vie. Une mesure susceptible d’influer négativement sur les valeurs résiduelles des diesels vendus récemment et de toucher l’activité leasing. "Le recul prononcé de la valeur résiduelle d’un véhicule au diesel ne sera pas sans conséquences pour les particuliers, entreprises et activités de leasing", indiquait à ce titre Traxio, la Fédération du secteur automobile et des secteurs connexes dans son analyse économique annuelle du marché il y a deux semaines. Traxio qui demande d’ailleurs la concertation afin d’obtenir des mesures d’accompagnement. Un diesel Euro 6 pourra par contre encore rouler longtemps dans la capitale. Aucune restriction n’est pour le moment prévue pour ceux-ci. La Wallonie a indiqué de son côté vouloir en finir avec le diesel en 2030.

    Source :  , L'Echo 

     


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  • Mon chien est "juste un chien"


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  • La pollution des voitures repart à la hausse à cause des véhicules neufs à... essence

    Les nouveaux véhicules diesel n'émettront plus de particules fine et donc ne pollueront plus.

    1 litre d'essence consomme moins d'énergie qu'1 litre de diesel. Dès lors, il faut d'avantage d'essence pour faire le même nombre de kilomètres qu'avec le diesel et, donc, puisqu'il y a de plus en plus de véhicules essence , dont les très polluants SUV, au détriment du diesel, le niveau de CO2 est en hausse.

    Il faut savoir aussi que ce sont les vieux véhicules diesel qui émettent des particules fines très polluantes. Ce parc automobile polluant sera bientôt obsolète. Les véhicules diesel actuels polluent 95% de moins que les anciens diesels et les nouveaux véhicules diesel qui vont arriver sur le marché en 2019 vont émettre zéro particule fine, contrairement à l'essence qui continuera à émettre du CO2.

    Source : Serge Istas sur RTL Info du 04/01/19

    Vidéo RTL Info : https://www.rtl.be/info/video/693622.aspx


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