• Nous sommes sans doute nombreux à nous demander ce que nos chats peuvent bien faire une fois qu’ils ont passé la chatière. Ils disparaissent souvent pendant des heures, et beaucoup la nuit, mais jusqu’à présent aucune étude n’avait été menée sur ce sujet. Oui mais voilà, les choses changent : afin de répondre à ces questions et en savoir plus sur le comportement de nos chats, une équipe de chercheurs s’est mise en tête de les… espionner. Si vous pensez que vous connaissez bien votre animal de compagnie, sa vie secrète est souvent plus surprenante que ce que vous avez pu imaginer…

     Que font nos matous quand on ne les voit pas ?

    Vidéo RTBF (visionnez à partir de 11:50) :

    Durée du reportage : 40 minutes

    https://www.rtbf.be/video/detail_matiere-grise?id=2084926

     


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  • Ces insectes – et poils de rat – qu’on mange sans le savoir

     

     Chaque personne mange près de 500 grammes d’insectes chaque année, par inadvertance.

    Selon une rumeur très populaire, chacun d’entre nous avalerait une moyenne de 6 araignées pendant la nuit. Pour le moment, il n’y a pas d’évidence scientifique prouvant ce fait, qui relève probablement plus du mythe urbain que de la réalité. Ce que nous savons moins, et que plusieurs experts, comme la spécialiste américaine Lisa Monachelli ou l’entomologiste et professeur à l’Université de Wageningen Marcel Dicke ont mis en évidence, c’est que chaque personne mange une moyenne de 500 grammes d’insectes chaque année, par inadvertance.

    Ce chiffre peut paraître étonnant, la légalisation des insectes pour son usage alimentaire étant encore en discussion au niveau de l’Europe. Mais si on recherche parmi les ingrédients des produits qu’on consomme au quotidien et les autorisations sanitaires, les dérivés d’insectes ou morceaux d’insectes sont plus communs que ce que l’on pense.

    Ces ingrédients à base d’insectes que vous consommez sans le savoir

    Pour obtenir la couleur rouge de certains bonbons, charcuteries, jus, etc. on n’utilise pas des produits chimiques mais un ingrédient beaucoup plus naturel : la cochenille. Dans les étiquettes d’ingrédients, on la retrouve sous différentes appellations : E120, carmine, cochineal, carminic acid.

    L’association de défense des droits des animaux Peta indique qu’il faut environ 70.000 cochenilles pour obtenir une livre (454 grammes) de colorant rouge. Ceci gêne les végans et végétariens, surtout lorsque les étiquettes ne disent pas les choses correctement, par exemple lorsque Starbucks affirmait récemment que des frappuccinos à la fraise étaient indiqués pour des végétaliens alors qu’ils contenaient de ce colorant.

    A noter que si l’on n’a pas de prévention particulière envers les cochenilles, ce type de colorant est considéré comme ne provoquant aucun risque pour la santé. Il serait même meilleur pour la santé que les colorants d’origine chimique.

    Le vernis des fruits : encore des insectes dans votre alimentation

    La cochenille est l’insecte le plus commun dans les ingrédients des produits alimentaires, mais il existe d’autres dérivés comme le shellac ou resinous glaze. Il s’agit d’une sécrétion produite par un insecte indien, la Kerria Lacca.

    Pour l’obtenir, il faut dans la plupart des cas tuer l’animal, lorsqu’il est fortement collé à sa résine. Ce qui fait aussi que dans cette résine on retrouve des morceaux de Kerria Lacca. On le trouve ainsi dans les jelly beans et dans les substances utilisées pour préserver et vernir les fruits, tels que pommes et agrumes.

    En plus des ingrédients derrière lesquels se « cachent » des insectes, il est prouvé que la plupart des produits alimentaires sont susceptibles de contenir des traces d’insectes, surtout les fruits et légumes. Leur élimination complète est pratiquement impossible et trop coûteuse et impliquerait une utilisation massive d’insecticides et d’autres produits chimiques mauvais pour la santé et l’environnement.

    L’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (FDA) affirme que « c’est économiquement impraticable de cultiver, récolter et traiter des aliments complètement libres d’insectes ». C’est pourquoi, aux États-Unis, le contenu d’insectes et d’autres « ingrédients » tels les poils de rats dans les produits alimentaires sont rendus publics régulièrement.

    Cette agence publique dépendant du Département de la Santé réalise en effet tous les trois ans une étude des « niveaux de défauts » dans laquelle ils évaluent près de 1.500 échantillons de produits achetés dans les commerces de 56 aires métropolitaines différentes.

    Vous reprendrez bien… un peu de poils de rat ?

    Le but est de fixer un seuil maximal de contamination ou « défauts » toléré dans la nourriture en dessous desquels on considère qu’il n’y a aucun risque pour la santé, les morceaux d’insectes ou poils de rats sont inévitables dans le processus de production.

    Depuis 1985, la FDA publie son rapport The Food Defect Action Levels : Levels of Natural or Unavoidable Defects in Foods That Present No Health Hazards for Humans. C’est un document très informatif, qui établie les pourcentages et indicateurs pour savoir quand l’État doit intervenir. Mais la FDA ne publie pas les niveaux moyens d’insectes ni d’autres défauts constatés. Cependant, les montants maximum tolérés nous donnent une indication sur la présence d’insectes dans notre alimentation constatée par l’administration américaine.

    100 grammes de chocolat, ce peut être jusqu’à 60 morceaux d’insectes

    Voici une liste des quantités d’insectes considérées comme inoffensives pour la santé, dans les produits les plus communs, selon le rapport de la FDA :

    • Épices moulues  : jusqu’à 29 fragments d’insectes par 10 grammes, en moyenne, et plus d’un poil de rongeur pour… pimenter le tout.
    • Curry en poudre  : un moyenne de moins de 100 fragments d’insectes par 25 grammes (et moins de 4 poils de rongeur).
    • Fruits rouges, en conserve ou surgelés : jusqu’à quatre larves par 500 grammes OU une moyenne de 10 insectes entiers par 500g (excluant pucerons et mites).
    • Brocoli surgelé  : on tolère jusqu’à 60 pucerons ou mites par 100 grammes.
    • Chocolat  : celui-ci est autorisé à la consommation avec un contenu maximal de 60 fragments d’insecte pour chaque 100 grammes.
    • Maïs doux en conserve  : on autorise moins de deux larves de 3 millimètres de longueur par boîte.
    • Pâtes  : jusqu’à 225 fragments d’insectes par 225 grammes de pâtes.
    • Champignons en conserve  : jusqu’à 20 asticots de n’importe quelle taille et jusqu’à 75 mites pour chaque 100 grammes de champignons séchés ou non.
    • Tomates en conserve  : on tolère jusqu’à 10 oeufs de mouche ou 2 larves de mouche par 500 grammes.
    • Purée de tomates  : pour celle-ci, on passe à 20 oeufs de mouche ou 2 larves par 100 grammes.
    • Farine de blé  : jusqu’à 75 morceaux d’insectes par 50 grammes… en plus d’un poil de rongeur.

    Vous voilà avertis : vous mangez déjà des insectes, sans le vouloir, mais en quantités négligeables. Pour les défenseurs de l’entomophagie - la consommation d’insectes -, il vaut mieux manger des insectes, riches en protéines et sans impact sur l’environnement, que d’avaler des pesticides et des herbicides.

    Paul Vontomme, un expert de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), affirme que c’est mieux d’éviter un excès de produits chimiques très préjudiciables à l’environnement et à la santé.

    Et lorsque que personne ne peut éviter de manger des dérivés d’insectes présents dans plein d’aliments, pourquoi ne pas oser manger des grillons ou des vers directement ?

    Alors, essaierez vous désormais de manger des insectes non plus à votre insu, mais délibérément, avec tous les avantages que cela comporte, mais aussi dangers ?

    31 500 tonnes. C’est la quantité d’insectes que nous mangeons chaque année en France, sans le savoir car incorporés à d’autres aliments. Cela représente quasiment un kilo d’insectes chaque seconde.
    En savoir plus sur :
    http://www.consoglobe.com/insectes-qu-on-mange-cg#03xkIw7jgphbOhj3.99

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  • Petit clin d'oeil aux valentins de tous âges

    Petit clin d'oeil aux valentins de tous âges


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  • Impressionnant ! En ce jour de tempête, la mer est presque paisible et puis, à l'approche de ce couple âgé, les vagues envahissent brusquement le chemin, comme si la mer voulait les happer et les punir pour leur trop grande hardiesse. Une personne essaye, précautionneusement, de les secourir mais elle risque elle aussi d'être avalée par la marée. Une quatrième personne intervient et... l'histoire se termine bien.

    Le couple, âgé de 75 et 76 ans, qui se promenait, ce lundi en fin d'après-midi, sur la plage de Porsguen, à Portsall, sur la commune de Ploudalmézeau, a été surpris par les vagues.

    Sur cette vidéo postée sur Youtube, on voit l'un d'eux être déséquilibré par une vague, l'autre tentant de le retenir. Et, très vite, on les voit emportés tous deux. Un témoin se lance à leur secours. A son tour, il est pris par une vague avant de pouvoir ramener le couple sur la côte. Un autre promeneur est par la suite venu leur prêter main-forte.

    Tous s'en sont sortis, même si la sexagénaire a été blessée dans cette mésaventure qui aurait pu avoir des conséquences bien plus graves. Ces images montrent avec quelle rapidité on peut être emporté par les flots déchaînés et ne peuvent qu'inciter à la prudence. 

     A partir de la deuxième minute de la vidéo

    https://www.youtube.com/watch?v=cSgSMZsMh4A

    Portsall : L'impressionnante vidéo du couple sauvé de la noyade

    "Il m'a fallu dix bonnes minutes pour ramener la dame. Nous étions traînés par les grosses vagues"... Ce lundi après-midi, alors que de fortes rafales balaient le littoral breton, la promenade d'Eric à Portsall s'est transformée en "opération de sauvetage". Avec un autre promeneur, ce garagiste de Lannilis a tiré hors de l'eau un couple de sexagénaires bretons.

    Portsall : L'impressionnante vidéo du couple sauvé de la noyade Ce lundi après-midi, alors que de grosses rafales balaient le littoral breton, la promenade d'Eric sur la rive de Porsguen à Portsall-Ploudalmezeau  en compagnie de son épouse s'est transformée en "opération de sauvetage".
    Alors qu'ils admiraient le spectacle de la mer déchaînée, l'attention d'Eric Roudaut et de son épouse a été attirée par une personne debout dans l'eau qui en tenait deux autres, un homme et une femme, portées par le ressac de puissantes vagues.

    http://www.dailymotion.com/video/x3r77md_portsall-29-emportes-par-les-vagues-il-raconte-comment-il-les-a-sauves_news
     

    D'autres témoins sont venus prêter main-forte                                                                                     "J'ai donné mon portable à ma femme pour qu'elle appelle les secours et je suis parti à l'eau rejoindre le trio. Quand je suis arrivé, une très grosse vague nous a tous remontés au sec. Nous tenions le monsieur, mais j'ai perdu la main de la femme. Comme il était debout, on a réussi à le hisser sur le rivage. Je me suis remis à l'eau", explique Eric, "et il m'a fallu dix bonnes minutes pour ramener la dame. Nous étions traînés par les grosses vagues. C'est l'une elles qui nous a sauvés : je m'accrochais à l'herbe pour ne pas être de nouveau entraîné et, heureusement, elle a été coincée entre deux cailloux à mes pieds. J'ai pu la raccrocher puis la remonter avec l'aide de cinq à six personnes venues nous aider." 

    On aurait pu se noyer tous les quatre !                                Cependant, Eric n'a pas été soulagé immédiatement après ces émotions fortes : "La dame était inconsciente et je pensais que c'était fini pour elle. Mais je l'ai vu cracher de l'eau et pousser des cris : elle avait mal et avait dû être blessée par les rochers. On aurait pu se noyer tous les quatre !"

    Les secours arrivés entre temps ont pu prendre en charge les deux personnes et les évacuer à l'hôpital de la Cavale Blanche à Brest. Ce mardi matin, Eric Roudaut revient sur l'accident : "Initialement, la femme a voulu se porter au secours de son mari et la mer les a emportés. Ils ont pris des risques en allant sur la cale, car les vagues se fracassent sur son côté".

    Un garagiste à l'âme de sauveteur 
    Après les longues et périlleuses minutes passées dans les flots tumultueux, Eric a froid et rejoint sa maison de Lampaul-Ploudalmezeau où il a pu se réchauffer.
    Le garagiste de Lannilis n'en était pas à son premier coup : il y a une quinzaine d'années, il avait sauté à l'eau, à Portsall aussi, après avoir vu un pêcheur tomber à la mer après un malaise dû à une hydrocution. Malheureusement les secours n'avaient pas pu le ranimer.
    Quand il était plus jeune, alors qu'il pratiquait la planche à voile, il a ramené au bord un collègue en difficulté. Eric Roudaut n'estime pas pour autant qu'il est un héros : ce pratiquant de chasse sous-marine a une bonne connaissance du milieu. C'est sans doute ce qui l'a amené à avoir les bons gestes et être efficace quand il fallait.

    Source : http://www.letelegramme.fr/finistere/ploudalmezeau/emportes-par-les-vagues-le-temoignage-d-un-des-sauveteurs-09-02-2016-10952394.php




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  • Donald Trump est coutumier des insultes. Il les distribue à chaque sortie télévisée. Mais quand on s’attaque à Bruxelles, il faut s’attendre à voir ses mots transformés par le légendaire second degré des Belges. Comme sur le nouveau site web hellhole.brussels, que retourne l’insulte en image de marque.

      L'insulte de Donald Trump retournée en label de l’art de vivre bruxellois

    Fin janvier, le candidat républicain à la présidence des USA Donald Trump comparait Bruxelles à un « trou à rats ».Une véritable giffle qui n’a plu à personne, en bord de canal comme ailleurs en Belgique. D’autant que le pays n’en a pas vraiment besoin. Aujourd’hui, un site internet rebondit sur l’insulte et la retourne à son avantage pour en faire un véritable label: hellhole.brussels.

    Dries Tack, vous lancez la plateforme hellhole.brussels en surfant sur les insultes de Donald Trump. Plutôt que de vous fâcher, vous transformez ce mépris en opportunité?

    Le monde entier en parle, ce gars tout seul vient nous titiller sur la notoriété de Bruxelles. Soit on pouvait s’emporter et dire qu’il est con, soit travailler cette sortie en notre faveur. Il faut réagir tous ensemble: c’est dans l’air du temps.

    Faire d’une insulte un label: voilà un second degré bien belge... Que vous illustrez avec ces peintures infernales de Bruegel, qui font partie de notre patrimoine.

    L’image de l’enfer ne va pas si mal à Bruxelles si on la prend au second degré, c’est vrai. On est un petit pays unique avec une structure unique. On doit donc tenir compte du monde entier pour régair, mais on peut aussi forcer des solutions grâce à notre sens du compromis. Ce n’est pas un hasard si tant de Belges occupent des postes haut placés dans les instances internationales.

    Il a fallu réagir rapidement après le buzz lancé par Trump?

    Dès le lendemain de sa sortie, j’ai vérifié que hellhole.brussels et hellhole.be étaient libres. C’était le cas alors j’ai sauté sur l’opportunité. Maintenant, il faudra 2 ou 3 semaines pour développer le site et remplacer la simple page déroulante qui l’occupe aujourd’hui.

    Concrètement, que pourra-t-on trouver sur le site?

    L’idée, c’est de mettre Bruxelles en avant. Le site va devenir un portfolio rassemblant les conseils et coups-de-coeur du monde artistique bruxellois sur sa ville. Via les images sur lesquelles vous cliquerez, vous ferez connaissance avec l’artiste, qui vous guidera dans ses magasins, ses bars, ses restos préférés. Mais aussi plus simplement en promenade dans les coins ou les quartiers qu’il aime ou trouve beau.

    Des artistes ont déjà embarqué?

    J’ai 25.000 artistes qui me contactent chaque jour: la réaction est énorme! On ne s’y attendait pas. Il y a des sculpteurs de 18 ans comme des figures reconnues de 50 ans qui trouvent que c’est là une bonne façon de répondre.

    On pourra aussi y trouver des produits typiquement bruxellois labellisés «hellhole»?

    Il n’y aura pas d’étiquette mais le site permettra de promouvoir des créations bruxelloises. On travaille ainsi avec des brasseurs pour produire une bière très sombre, une vraie «hellhole-beer». On veut proposer un chocolat tellement amer qu’il fera mal, mais délicieux quand même. On pense aussi à une cravache de cuir, des bijous, des pins...

    Bruxelles a besoin de cette campagne séduction?

    D’un côté, Trump n’a pas totalement tort. Je suis Gantois. Je vis à Bruxelles depuis 10 ans, à Forest. Je dois bien avouer qu’il m’a fallu 5 ans pour appréhender la capitale. C’est pas beau tout de suite: il faut trouver son chemin. Mais quand on approfondit, on découvre une ville formidable. J’en suis un grand défenseur parce qu’en Flandre, les gens la trouvent compliquée, trop grosse, sale... Les Flamands ne connaissent pas vraiment Bruxelles. Mais pour moi, elle est magique.

    Source : http://www.lavenir.net/


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