• Soutien à nos militaires agressés au centre ville ce vendredi soir et remerciement à eux pour leur prompt réaction qui a permis de neutraliser définitivement le terroriste agresseur qui est décédé des suites de ses blessures au thorax

    Soutien à nos militaires agressés au centre de Bruxelles


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  • La Travel and Vaccine Clinic du CHU Saint-Pierre de Bruxelles répond aux questions les plus fréquemment posées.

    Les 5 choses à savoir sur la maladie de Lyme

    - Comment attrape-t-on la maladie de Lyme?

    Par la morsure d’une tique du complexe Ixodes ricinus infectée par une des bactéries responsables de la borréliose de Lyme: essentiellement B. afzelii, B. garinii, B spielmanii, B. bavariensis et B. burgdorferi sensu stricto, cette dernière étant surtout rencontrée aux USA.

    - Dans quelles régions faut-il faire particulièrement attention?

    En Belgique, la maladie de Lyme est plus fréquente dans la province du Brabant Flamand, en Campine et dans les Ardennes.

    Quels sont les symptômes?

    Dans les 3 à 30 jours après la morsure: possibilité d’érythème migrant, c’est-à-dire une tâche rouge qui grandit de jour en jour, parfois avec un centre plus clair. A ne pas confondre avec la réaction à la morsure de tique, apparaissant en général dans les 2 jours après la morsure, faisant moins de 5 cm avec des bords mal délimités et ne grandissant pas.

    Dans 10-30% des cas, il y a aussi un peu de fièvre et des douleurs musculaires avec l’érythème migrant.

    Dans les semaines/mois qui suivent la morsure (<6 mois): maux de tête avec parfois de la fièvre, paralysie faciale ou d’un autre nerf du corps, douleurs nocturnes ou faiblesses localisées.

    Plus de trois mois après la morsure : douleur et gonflement articulaire persistante, le plus souvent d’un genou.

    Plus de 6 mois après la morsure: paralysies, surdité.

    Ces manifestations peuvent survenir isolément. Il ne s'agit pas d'une cascade de symptômes/signes cliniques qui vont se succéder implacablement.

    Les 5 choses à savoir sur la maladie de Lyme

    Attention, on ne peut pas considérer la fatigue et des plaintes de douleur isolées comme une manifestation de neuroborréliose tardive. En fonction des régions, jusque 20% de la population peut avoir une sérologie positive pour la borréliose, sans symptômes (et même jusqu’à 50% pour les métiers à risque comme garde-forestier, bûcheron).  Une sérologie positive en l'absence de symptômes caractéristiques décrits ci-dessus n'est pas indicative d’une infection active.  Un traitement antibiotique ne sera donc jamais proposé sur base d'une seule sérologie positive.

    Certains patients, pour lesquels un diagnostic de borréliose a été posé et qui ont été correctement traités, gardent néanmoins des symptômes après traitement. Dans un bon nombre de cas, il s’agit de plaintes aspécifiques telles que de la fatigue, des douleurs musculo-squelettiques, des troubles de concentration, des céphalées et des troubles mnésiques.

     Des études de bonne qualité ont été menées sur la place des antibiothérapies prolongées ou répétées dans ce tableau clinique: il n’y a aucune évidence démontrant le bénéfice de ce type de traitement, qui expose le patient à un risque de toxicité, d’effets secondaires et de sélection de bactéries résistantes.

    Devant ces situations cliniques, d'autres alternatives diagnostiques doivent toujours être évoquées afin de ne pas méconnaître une autre pathologie en attribuant erronément les symptômes aux "séquelles" d’infection à Borrelia

    Les 5 choses à savoir sur la maladie de Lyme

    - Comment diagnostique-t-on la maladie? 

    Le diagnostic sera basé sur la sérologie, qui est toujours positive quand elle est effectuée au moins 6-8 semaines après la morsure.

    Les méthodes utilisées mises sur le marché doivent répondre aux recommandations européennes de performance (EUCALB)

    - Quels sont les traitements à administrer?

    Pas de traitement pour une sérologie positive sans symptôme.

    Le traitement de prédilection est la Doxycycline, sauf chez la femme enceinte et l'enfant de moins de 8 ans. Dans une minorité de cas, un traitement par la ceftriaxone peut être indiqué. La durée maximale de l’antibiotique (dans certains cas) est de 28 jours.

    Aucune émergence de résistance aux antibiotiques n’a été décrite chez la Borrelia.

    La prolongation de la durée du traitement ou l'association d'antibiotiques n'est pas indiquée. Elle n'a pas démontré son efficacité, elle est potentiellement toxique et onéreuse pour le patient, l'exposant inutilement à des antibiotiques.

    (Source: Borréliose de Lyme (infection à Borrelia) 2016 – BAPCOC)

    https://www.stpierre-bru.be/fr/nos-actualites/les-5-choses-a-savoir-sur-la-maladie-de-lyme

    Les 5 choses à savoir sur la maladie de Lyme


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  • Au cours des prochaines semaines vous allez voir beaucoup d’ araignées à la maison: voici à quoi vous devez vous attendre

    Qui dit fin de l’été, dit baisse des températures. A cette époque de l’année, un phénomène qui effraie pas mal de monde pointe à l’horizon: l’invasion des araignées dans nos maisons. Pendant tout l’été, elles ont attendu ce moment avec impatience: la saison des amours. Eh oui, ces petites bestioles vont maintenant se reproduire dans nos chambres et dans nos salles de bains. Et certains gros spécimens pourraient pointer le bout de leur nez…

    Beaucoup d’araignées vivent pendant des mois voire toute leur vie dans nos maisons.

    Les prochaines semaines verront les araignées débarquer dans nos maisons. Si vous ne les avez pas vues durant le printemps ou l’été, c’est qu’elles se cachaient probablement sous votre plancher ou dans le grenier. Mais maintenant, il est temps pour elles de sortir de leur planque pour s’accoupler. Ce qui les met dans une position de faiblesse, à la portée de votre aspirateur ou de votre balai.

    Souvent on entend qu’un été doux peut faire apparaître des araignées de la taille d’une main. Et vu que l’été dernier fut très agréable, on peut se préparer à voir quelques grosses bestioles. Dans la presse britannique, certains témoignages, à Manchester par exemple, font état de sérieux exemplaires. Mais chez nous, qu’en est-il?

    Que peut-on faire?

    Les araignées ont de nombreux avantages, il suffit de compter les petites bestioles mortes prises dans leur toile et qui ne viendront plus vous déranger. Mais si vous voulez réduire le risque d’une rencontre avec votre pire ennemie, il y a quelques conseils à observer.

    Premièrement, vous pouvez brosser régulièrement et éliminer les traces de leur toile. Les araignées sont moins susceptibles de revenir avec leur progéniture si leur habitat a disparu. En outre, vous pouvez aussi essayer de colmater tous les petits trous dans les murs ou près des fenêtres pour empêcher les araignées de se glisser à l’intérieur de votre maison.

    Si vous en voyez apparaître quand même une, pas de panique. L’araignée est plus en danger que vous. Et si vous arrivez à identifier quelques spécimens, vous montrerez peut-être un peu plus de sympathie pour ces colocataires à huit pattes. Voici donc quelques beaux exemplaires que l’on peut retrouver dans nos contrées…

    Voir lien ci-dessous : 

    http://sain-et-naturel.com/allez-voir-beaucoup-araignees.html


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  • KKK : Pas très prometteur l'avenir de cet enfant

     Charlottesville USA 12/08/2017

    KKK : Pas très prometteur l'avenir de cet enfant

    Elle s'appelait Heather Heyer. Elle a été tuée par des nazis. Pas en 1943 mais en 2017, aux États-Unis

    KKK : Pas très prometteur l'avenir de cet enfant


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  • Brussels Airport: le bruit coûte 63 millions par an et des années "de vie en bonne santé"Article publié le mercredi 25 janvier 2017 par la RTBF et plus que jamais d'actualité.

    Le bruit fait partie du quotidien des habitants des grandes villes. Mais le bruit n’est pas neutre, d’un point de vue sanitaire : il y a des effets sur l’audition (acouphènes, perte temporaire de l’audition, fatigue auditive), mais aussi des effets "extra-auditifs" : troubles du sommeil, gênes diverses, troubles de l’apprentissage, etc. De quoi peser sur "l’espérance de vie en bonne santé" des habitants de grands centres urbains, comme Paris ou Bruxelles.

    "L’espérance de vie en bonne santé", une notion scientifique

    "DALY", "disability adjusted life years" ou "nombre d’années de vie en bonne santé perdues" ou encore "EVCI", "Espérance de vie corrigée de l’incapacité", c’est l’indicateur de l’impact sanitaire du bruit des moyens de transport, qu’ils soient sur rail, sur route ou dans les airs. C’est un indicateur utilisé par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Et c’est indicateur est utilisé dans une étude de Bruxelles Environnement qui évalue "les impacts sanitaire et économique du bruit des transports en région de Bruxelles-Capitale", que nous avons pu consulter. Deux aspects sont particulièrement étudiés : la gêne et les troubles du sommeil.

    Impact économique chiffré

    Ainsi, pour l’année 2011, le nombre d’années de vie en bonne santé perdues, tant en "gêne" qu’en "troubles du sommeil" sur le territoire bruxellois a été évalué à 5300. C’est le bruit routier qui est majoritairement en cause, à hauteur de 70% des nuisances recensées, largement devant le bruit aérien (24%) et le bruit ferroviaire (6%).

    Il y a un impact sanitaire, mais il y a aussi un impact économique, qui peut être calculé. On utilise les DALY qu’on multiplie par "la valeur statistique économique d’une année de vie" (VSLY en anglais). Comme l’explique le rapport, l’OMS retient le chiffre de 50 000€ pour une VSLY. Ainsi, en 2011, l’impact du bruit à Bruxelles a coûté 265 millions d’euros. Le trafic aérien seul a représenté plus de 63 millions. Rappelons qu’en 2011, la plan Wathelet n’était pas d’application.

    Comparaison avec Paris

    Brussels Airport: le bruit coûte 63 millions par an et des années "de vie en bonne santé"Bruxelles-Environnement a comparé la situation de Bruxelles et celle de Paris. Paris, une ville bien plus grande, mais qui dispose de deux aéroports. Dans la capitale française, l’on constate un impact moins important du trafic aérien : seuls 7% des DALY sont à mettre au passif des avions qui survolent le ville lumière. Et lorsqu’on analyse les chiffres concernant les troubles du sommeil, on remarque que les Parisiens sont à peine dérangés par les avions. Ainsi, comme l’indique le rapport de Bruxelles Environnement, la proportion du bruit aérien est 18 fois supérieure en région bruxelloise par rapport à Paris. Et ceci, rappelons-le, concerne l’année 2011, avant le plan Wathelet, le virage plus large à gauche et l’utilisation de la "route du Canal", deux trajectoires aujourd’hui bien moins utilisés par les avions décollant de Brussels Airport qu’en 2014-2015.

    Pour Céline Fremault, ces chiffres, c'est la confirmation que sa vision quant à la défense des Bruxellois est la bonne : "cette étude me conforte dans ma position et donne une valeur scientifique et objective à ce que vivent les Bruxellois ! On ne peut décemment pas nous demander que l’aéroport se développe à plan de vol équivalent et qu’on mette nos normes en sourdine. Aujourd’hui, la santé de plus d’un million de personnes pèse autant si pas plus que tous les arguments économiques et les chiffres dont on nous abreuve depuis des mois." Référence ici aux menaces de pertes d'emplois régulièrement proférées par Brussels Airport et la région flamande, une région qui a activé une procédure en conflit d'intérêt contre la décision bruxelloise de ne plus permettre de tolérance concernant les dépassements de bruit des avions qui survolent la capitale. "Quand l’aéroport, le Fédéral et la Flandre veulent faire parler les chiffres comme ils le font depuis des semaines, il faut qu’ils aient l’honnêteté de regarder l’ensemble des coûts que cela engendre y compris les coûts sanitaires. Or, ils ont tendance à les occulter. Les coûts présentés ici ne représentent d'ailleurs qu’une fourchette basse car, faute de données disponibles, nous n’avons pas encore pu prendre totalement en compte d’autres impacts du bruit ( les maladies cardiovasculaires, la dépréciation immobilière, …)"

    Source : RTBF


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  • Une carte des cafés «Allaitement bienvenu» à Bruxelles Allaiter n’est pas toujours facile dans l’espace public. En plus des contraintes pratiques, les regards sont parfois désapprobateurs. Une campagne est lancée à Bruxelles pour réunir des bars et cafés «Allaitements bienvenu».

    Selon les statistiques, 77% des mamans allaitent leur bébé juste après la naissance. Après six jours, 65% des bébés ne se nourrissent que par l’allaitement. Après trois mois, ce chiffre tombe à seulement 32,5%. Et après six mois, on descend à 9,6% des femmes qui allaitent uniquement.

    Les enquêtes montrent qu’une atmosphère de désapprobation ou des regards désapprobateurs en public poussent progressivement les mères à arrêter d’allaiter. Des soucis pratiques peuvent constituer un écueil pour des mères qui allaitent en dehors de chez elles. Des jeunes mères qui se promènent avec leur bébé ne savent pas toujours où elles sont les bienvenues et peuvent allaiter facilement, en toute tranquillité.

      
     

    Quelque chose de normal

    Ainsi, les mêmes enquêtes évaluent à 50 le pourcentage de mères qui osent allaiter dans les espaces publics. Ce, alors que 75% des mamans estiment que donner le sein à leur rejeton dans l’espace public, que ça soit en rue ou dans un lieu tel qu’un resto, un musée ou un café, devrait être considéré comme quelque chose de normal.

    Une carte des cafés «Allaitement bienvenu» à Bruxelles Ce sticker sera apposé sur les cafés qui accueillent l’allaitement. -Cabinet DebaetsC’est pourquoi le centre d’expertise « Kraamzorg Volle Maan » et la Membre du Collège de la Commission communautaire flamande (VGC) pour les Familles Bianca Debaets lancent la campagne «Allaitement bienvenu». Des établissements horeca bruxellois peuvent indiquer avec un simple sticker (ci-contre) apposé sur leur porte ou vitrine que les mères sont les bienvenues pour allaiter leurs enfants.

    4 bars de la capitale (Chicago Café, Kaffabar, Monk et Bar Recyclart) se sont déjà engagés et sont prêts à recevoir des jeunes parents et leurs bébés de la meilleure manière, mais d’autres lieux, comme le Muntpunt à la Monnaie, sont également repris sur la carte mise à jour par «Kraamzorg Volle Maan».

    Un coussin de change et un parking à poussettes

    «Il y a plus que 50.000 bébés entre 0 et 3 ans en Région bruxelloise. Et les mères ont souvent pas mal de boulot avec leur petit ket. Pour elles, c’est très agréable si des bars ou tavernes peuvent contribuer à faciliter l’allaitement. Ce n’est pas nécessaire de le graver dans la pierre, mais on veut inciter le plus d’établissements possible de faire le maximum pour les parents et leurs enfants».

    Le «Centre d’Expertise Kraamzorg Volle Maan» le voit aussi comme un signal sociétal: «l’allaitement est quelque chose de naturel et doit être accepté dans les espaces publics. À côté des stickers, la campagne offre aussi un coussin pour faciliter l’allaitement et des infos pratiques par rapport à «comment créer un petit coin où les mères peuvent changer des couches?».

    Quelques établissements, comme le Chicago Café, où la campagne a été lancée le 3 août, sont déjà «pionniers» de cette approche. «Une réception sympa, un verre d’eau offert, de l’aide pour garer la poussette, un petit moment de babysitting pendant que la mère se rend aux toilettes... Ce sont des petites choses, mais elles rendent les sorties avec un bébé tellement plus agréables!», estime le centre d’expertise.

    Selon la carte ci-dessous (cliquez sur le lien), un seul établissement dans notre commune aurait adhéré à cette charte : 

    Une carte des cafés «Allaitement bienvenu» à Bruxelles

                                                                  GC Op-Weule

                                          Rue Saint-Lambert, 91

    En pratique

    + Un aperçu des établissements qui adhèrent à la campagne, ainsi que des renseignements, peut être retrouvé sur le site de Volle Maan ou en cliquant sur le lien ci-dessous :                                http://expertisecentrum-vollemaan.be/?nieuwtjes=borstvoeding-buitenhuis

    + Les établissements qui souhaitent obtenir plus de renseignements pour adhérer au concept peuvent contacter le Centre ECK Volle Maan via info@expertisecentrum-vollemaan.be

    Source: lavenir.net

    Une carte des cafés «Allaitement bienvenu» à Bruxelles


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