L’image fait sourire à Bruxelles : comment remettre en place un feu de signalisation décroché de son poteau ? Quelqu’un a une idée ? Avec un simple ruban adhésif, semble-t-il, dans le centre de Bruxelles, à deux pas de la Gare Centrale. Une méthode qui donne lieu à une scène plutôt cocasse… On vous laisse apprécier.
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"Dans le cadre d'un projet de géographie, nous aimerions voir jusqu'où peut aller une photo partagée sur un réseau social.
Nous surveillerons au jour le jour avec les élèves le voyage de notre image. Nous vous remercions par avance de participer en partageant cette photo et en indiquant le lieu d'où vous la partagez."Voici l'idée géniale de cette classe qui a voulu savoir qui partagerait son projet de "le voyage de notre image".
A l'heure où j'écris cet article, 591.509 internautes ont partagé ce dessin fédérateur et plus de 108.000 internautes (USA, Martinique, Russie, Australie, Mexique, Sénégal, Canada, Thailande, Angleterre, Cameroun...) ont écrit un commentaire
Si vous voulez, vous aussi, contribuer au déjà succès sympathique de cette classe française, cliquez sur :
https://www.facebook.com/La-classe-dAngie-261518814291663/?hc_ref=PAGES_TIMELINE&fref=nf
à la date/publication du 9 mars
Je voulais remercier tous ceux qui ont déjà participé j'ai lu le plus de commentaires possibles pour voir la portée du message et pouvoir l'exploiter dès lundi en classe. J'ai tous les éléments en main pour montrer aux enfants qu'un message posté sur un réseau social peut aller loin mais aussi qu'on ne peut pas forcément le contrôler.
Je viens également de constater qu'une personne avait copié toutes mes images pour recréer la même page et j'en parlerai aux élèves pour leur expliquer qu'une image postée peut facilement se retrouver partout sur la toile.
Encore merci à tous ceux qui ont participé je partagerai avec vous l'exploitation faite en classe.
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Garages, entrées de garage, portes cochères: quelles sont les règles auxquelles les automobilistes doivent se soumettre ? La réponse en 8 points.
1. Stationnement interdit
Le code de la route est sans équivoque. Il stipule qu’il est interdit de mettre un véhicule en stationnement devant les accès carrossables des propriétés, à l'exception des véhicules dont le signe d'immatriculation est reproduit lisiblement sur ces accès; (25.1 paragraphe 3)
Autrement dit, il est interdit de stationner votre véhicule devant un garage, une entrée de garage ou une voie carrossable, à moins qu’un panneau ne mentionne clairement votre plaque d’immatriculation.
2. Je risque donc une amende?
Tout à fait. Ce genre d’infraction constitue une infraction de 1ère catégorie. Vous pouvez donc faire l’objet d’un procès-verbal. Vous recevrez ensuite une proposition de perception immédiate de 55 euros!
3. Même si le propriétaire n’appelle pas la police?
Une des missions des agents de police est de constater les infractions au Code de la route et de dresser procès-verbal. Si une patrouille constate que votre véhicule est stationné devant un garage, elle peut donc décider de verbaliser. En pratique, cependant, cela arrive presque toujours à la demande du propriétaire du garage.
4. Et la dépanneuse?
En théorie, le propriétaire du garage peut effectivement demander à la police de faire enlever le véhicule qui l’empêche d’entrer ou de sortir du garage. Mais la police n’est pas obligée de s’exécuter. Tout dépendra de la situation, ainsi que des instructions que la police a reçues.
Mais ne vous croyez pas à l’abri pour autant. Si votre comportement incivique cause un préjudice au propriétaire du garage, il pourrait vous intenter un procès et réclamer des dommages et intérêts. Un exemple? Si l’automobiliste est obligé de prendre un taxi pour se rendre à l’aéroport ou à un rendez-vous d’affaires, il pourra vous réclamer le montant déboursé. Et les frais de justice seront à votre charge! Et si la police est venue constater l’infraction, vous aurez en outre une amende à acquitter.
5. Arrêt autorisé?
Par contre, le Code de la route fait une différence entre l’arrêt et le stationnement. S’arrêter signifie immobiliser son véhicule pendant le temps requis pour l'embarquement ou le débarquement de personnes ou de choses. Et puisque l’article 25.1 stipule clairement que c’est la stationnement qui est interdit, s’arrêter devant un garage ne l’est pas.
6. À quelle distance?
Le Code de la route est muet sur le sujet. En principe, vous avez donc le droit de vous garer tout contre le garage. Mais s’il est clair que cela empêchera l’entrée ou la sortie du garage (par exemple dans une ruelle étroite ou parce que l’entrée elle-même est étroite), il vaut mieux prévoir un peu de distance.
7. Oui, mais une porte cochère ou un parking privé, alors?
À partir du moment où il est possible à un véhicule de passer de la voie publique à une propriété privée, l’entrée ou la porte cochère représente un accès carrossable. Mieux vaut donc éviter de vous y garer. Même avec l’autorisation du propriétaire (à moins qu’il n’ait mentionné votre numéro de plaque devant cet accès).
8. Et si ce garage n’est pas ou plus utilisé ?
Si le garage est temporairement hors d’usage, par exemple parce que son propriétaire n’a pas de voiture ou utilise son garage comme espace de stockage, l’interdiction de stationner reste d’application. En effet, le propriétaire peut décider à tout moment d’utiliser à nouveau son garage pour y garer son véhicule ou celui d’un ami ou d’un proche.
Si le garage est définitivement hors d’usage et qu’il n’est plus possible d’y stationner une voiture, alors il ne s’agit plus d’un accès carrossable, et il n’y a donc plus d’interdiction de stationnement. C’est par exemple le cas si le propriétaire y a fait installer une chaudière, ou qu’il a construit un mur ou un escalier derrière la porte d’accès.
Source : https://www.touring.be/fr/articles/stationnement-le-point-sur-les-garages-et-les-entrees-de-garage
Lien utile : https://www.permisdeconduire-online.be/parkerenwet4.htm
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C’est principalement le sel marin de fabrication artisanale qui contient des micro particules de plastique. C’est ce qu’il ressort d’une étude réalisée par le SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement, en partenariat avec l’Instituut voor Landbouw, Visserij en Voedingsonderzoek (ILVO). Ces micro-plastiques présents dans l’alimentation constituent un phénomène assez nouveau. A l’heure actuelle, il n’existe encore aucune norme pour fixer des seuils acceptables de micro-plastiques dans le sel marin. Ces dernières années, les autorités belges ont pris diverses mesures pour diminuer les déchets plastiques en mer. Beaucoup d’actions nouvelles sont également en préparation.
Plusieurs études ont déjà montré la présence de micro-plastiques dans les moules, les crevettes, … Les chercheurs belges ont maintenant passé le sel marin à la loupe. Dans 15 échantillons de sel achetés dans des magasins belges et provenant de régions différentes, des micro-plastiques ont été trouvés.
Les micro-plastiques sont de très petites particules. Leur taille varie : elles peuvent être invisibles à l’oeil nu ou mesurer jusqu’à 5 mm. On les trouve dans les dentifrices, cosmétiques et détergents. Ils peuvent aussi provenir de l’usure ou de la dégradation dans la nature des pneus en caoutchouc, des emballages et des bouteilles en plastique ou encore des lessives. Via les rivières, ils sont transportés jusqu’à nos mers et océans. Ces particules de plastiques ne peuvent se désagréger et contiennent des substances toxiques (des agents plastifiants ou des colorants) qui se libèrent au contact de l’eau. De plus, ils absorbent facilement les polluants présents dans l’eau.
LES RÉSULTATS DE L’ÉTUDE
Le sel standard de nos magasins contient très peu de micro-plastiques. Ce sel est lavé et filtré plusieurs fois ; éliminant ainsi quasiment toutes particules de plastique. Dans les sels de fabrication artisanale, comme la fleur de sel, qui sont récoltés de manière manuelle et conditionnés sans être lavés, la quantité de micro-plastiques varie fortement (de quasi aucune particule jusqu’à des niveaux élevés).
Vraisemblablement, la pollution locale du lieu d’extraction joue également un rôle. D’après les échantillons, ce sont les sels marins de la mer Méditerranée - particulièrement polluée par les plastiques - qui présentent les plus mauvais résultats.
LES RISQUES POUR LA SANTÉ PUBLIQUE
Quel que soit le procédé de fabrication, artisanal ou industriel, tous les fabricants de sel doivent respecter des normes relatives aux impuretés dans le sel marin. Les quantités de micro-plastiques observées dans l’étude ne semblent pas contrevenir à ces normes (ni pour le sel artisanal ni pour le sel industriel).
Il n’existe encore aucune norme spécifique pour les micro-plastiques. Récemment, l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments a déclaré que, vu le peu de recherche scientifique menée sur le sujet, on ne pouvait tirer aucune conclusion concernant le danger pour la sécurité alimentaire et la santé publique. Elle a également appelé les Etats Membres à lancer davantage de recherches sur les micro-plastiques dans l’alimentation. C’est pourquoi le SPF a fait des propositions à ses partenaires afin d’inclure ce thème dans son prochain programme de recherche.
L’IMPACT DES MICRO-PLASTIQUES SUR L’ENVIRONNEMENT
Les déchets plastiques peuvent être dangereux pour les animaux marins: les mammifères marins et les oiseaux peuvent s’y empêtrer, s’y emmêler ou encore en avaler de grands morceaux. Les parties plus petites sont tout aussi dangereuses notamment pour les organismes marins tels que les poissons, crustacés de petite taille et crevettes, … Les morceaux ingurgités donnent rapidement une sensation de satiété ; les animaux mangent donc moins, s’affaiblissent allant jusqu’à mourir de faim. Même les plus petits organismes de la chaîne alimentaire (comme le plancton ou les algues) absorbent ces particules ; impactant l’ensemble de l’écosystème des mers et des océans. Ainsi, la pollution par les plastiques se retrouve jusque dans notre assiette.
QUE FAIT NOTRE PAYS CONTRE LES MICRO-PLASTIQUES ?
Tout d’abord, notre pays prépare un Plan d’action national contre les déchets marins qui comporte tant des actions ciblées sur les macro-plastiques que sur les micro-plastiques. Grâce à la collaboration intensive de tous les secteurs actifs en mer du Nord, la Belgique va pouvoir lutter contre la pollution plastique en mer.
La Belgique participe également à la campagne CleanSeas des Nations-Unies (UNEP) qui appelle à prendre des mesures pour diminuer les quantités de plastique. Cette campagne veut limiter ou interdire l’utilisation de tous les produits en plastique à usage unique ou qui ne peuvent être recyclés. L’industrie sera encouragée à chercher activement des solutions ; un échange des bonnes pratiques est prévu. Des actions de formation des pêcheurs et de sensibilisation du grand public (nettoyage des plages, campagne dans les communes de la côte) seront également menées.
Cette année, un accord sectoriel sera conclu avec les producteurs de produits de soins afin de diminuer le recours aux micro-plastiques. Les fabricants ajoutent des micro-plastiques dans leurs produits pour diverses raisons. Dans les cosmétiques, ils assurent une meilleure adhérence avec la peau ; rendent les rides du visage moins visibles ; sont utilisés dans les scrubs et dentifrices comme agents de gommage ou de blanchiment. Pour la plupart de ces applications, des alternatives plus respectueuses de l’environnement, fabriquées avec des ingrédients naturels, sont disponibles.
Les autres secteurs sont également encouragés à utiliser les micro-plastiques avec plus de précautions. Il s’agit notamment des fabricants d’objets en plastique, de l’industrie des produits chimiques et pharmaceutiques, des entreprises de recyclage ou d’entretien qui utilisent des micro-plastiques pour leur action de sablage. Les autorités fédérales ont également édité un manuel destiné à différents secteurs industriels dans le but d’éviter que les micro-plastiques ne se retrouvent dans le milieu naturel. La promotion de ce manuel va débuter prochainement.
ET MOI, QUE PUIS-JE FAIRE ?
- Je ne jette aucun déchet, sac et bouteille en plastique dans la nature et j’utilise un sac à provision réutilisable, une gourde ou encore une boîte à tartines ;
- J’évite de laisser les ballons en plastique s’envoler ;
- Je ne jette pas de lingette dans les toilettes ;
- J’évite d’acheter des dentifrices, des scrubs et d’autres produits de soins qui contiennent des micro-plastiques.
Découvrez ces gestes et d’autres encore dans la rubrique Mer du Nord et océans
Pour plus d’infos, consultez l’étude : La présence de micro-plastiques dans le sel marin : screening des échantillons (uniquement en NL)
Lien utile : http://www.micro-plastic.net/francais.htm
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