• Même les chats supportent nos Diables


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  • Suspendre un drapeau belge à votre fenêtre pourrait vous coûter cher

    Comme en 2014 !?

    Vêtements, chapeaux, accessoires pour voiture, maquillage… Tous les moyens sont bons pour apporter son soutien à nos Diables Rouges lors de cette Coupe du Monde 2018. Mais si vous avez pendu un drapeau belge à la fenêtre de votre maison, prenez garde, cela pourrait s’avérer coûteux. 

    Non, suspendre un drapeau à sa fenêtre ou à son balcon n’est pas interdit. Mais si vous tenez à votre argent, veillez à choisir le bon drapeau. En effet, les drapeaux estampillés d’une marque sont considérés comme « objet publicitaire », et sont donc soumis à l’impôt.

    UNE TAXE POUR SUSPENDRE VOTRE DRAPEAU BELGE

    Votre administration communale pourrait donc vous demander de payer une taxe. Chaque commune peut décider elle-même d’appliquer cette taxe ou non. « Si un bourgmestre ne fait pas respecter la taxe alors qu’elle est d’application dans la commune, il serait dans l’illégalité », explique l’expert fiscal Michel Mause, lors d’une interview accordée à Radio 1. Pour éviter les mauvaises surprises, abstenez-vous d’afficher un drapeau sponsorisé sur votre façade.

    LES CHAUSSETTES POUR RÉTROVISEURS

    Mais les restrictions ne s’arrêtent pas là! Faites également attention à la façon dont vous décorez votre voiture. En effet, recouvrir vos rétroviseurs des fameuses « chaussettes » noir-jaune-rouge pourrait également vous coûter cher. Elles sont interdites sur les rétroviseurs qui disposent de clignotants et si elles empiètent sur le miroir et altèrent votre visibilité. Vous risquez une amende de 58 euros, comme le rappelle cette publication Facebook de la zone de Police Ouest Brabant Wallon.

    Source : https://www.femmesdaujourdhui.be/actu/attention-suspendre-un-drapeau-belge-votre-fenetre-pourrait-vous-couter-cher/

     

     


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  • Avion : Les personnels navigants surexposés à certains cancers

    Les personnels navigants des compagnies aériennes auraient, selon une étude publiée dans l'Environmental Hearth mardi, des taux plus élevés de certains cancers (thyroïdes, peau, sein) que la population générale. Personnel navigant, une profession à risque ? 

    "On a montré qui'l y avait plus de cas de cancers du sein, de la peau, du  col de l'utérus et certains types aussi de cancers digestifs", explique le professeur François Duhoux, oncologue médical aux cliniques universitaires Saint Luc, au micro de Benoît Duthoo et d'Eric Poncelet. 

    "On sait que les radiations ionisantes à forte dose peuvent augmenter le risque de cancers. Le fait de naviguer en altitude s'accompagne aussi d'autres facteurs de risque. L'un d'entre eux est aussi le jet lag, le fait que ce soit des personnes qui travaillent de nuit. Ce sont aussi des personnes qui vont probablement avoir une hygiène alimentaire moins bonne", éclaire le professeur.

    Hôtesse de l'air, steward... ces professions suscitent, encore aujourd'hui, d'intenses fantasmes. L'étude, publiée mardi dans le Environmental Healthmenée par une équipe de chercheurs de l'Université d'Harvard permet de relativiser. Selon elle, un peu plus de 15% des personnels navigants ont déclaré avoir déjà eu un diagnostic de cancer. 

    Le taux élevé de cancer des personnels navigants pourrait être lié, selon les auteurs de l'étude, au nombre d'années passées à travailler à bord d'un appareil. Plus de 80 % des équipages dont les données ont été analysées dans l'étude étaient des femmes dans la profession depuis plus de 20 ans.

    Avion : Les personnels navigants surexposés à certains cancersEn effet, en tenant compte de l’âge, les auteurs ont constaté une fréquence plus élevée chez les membres d’équipage de tous les cancers pris en compte dans cette étude par rapport à la population générale, incluant le cancer du sein (3,4% parmi les membres d’équipage contre 2,3% dans la population générale), le cancer du l’utérus (0,15% contre 0,13 %), du col (1,0% contre 0,70 %) ou encore les cancers gastro-intestinaux (0,47%  contre 0,27%) et de la thyroïde (0,67% contre 0,56%).

    L’étude montre par ailleurs qu’il existe un lien de corrélation entre chaque augmentation de cinq années passées à travailler comme hôtesse de l’air et le cancer de la peau, autre que le mélanome, chez les femmes.

    Avion : Les personnels navigants surexposés à certains cancersEn revanche, la durée du travail en vol ne semblait pas associée au cancer du sein, de la thyroïde ou au mélanome, mais à un risque plus élevé de cancer du sein chez les femmes n’ayant jamais eu d’enfants (nullipares) et chez celles qui ont eu trois enfants ou plus. La Dr Irina Mordukhovich, co-auteure de l’étude soutient : “Mais nous avons été surpris de reproduire une découverte récente selon laquelle l’exposition au travail en tant qu’hôtesse de l’air était exclusivement liée au cancer du sein chez le femmes de trois enfants ou plus“. Elle précise : “ceci peut être dû à une combinaison de sources de perturbation du rythme circadien (rythme biologique sur 24h) – comme la privation de sommeil et des horaire irréguliers – à la fois à la maison et au travail“.

    Les stewards présentaient quant à eux des taux plus élevés de mélanome et d’autres cancers de la peau (1,2% et 3,2% chez les membres d’équipage comparativement à 0,69% et 2,9% dans la population générale respectivement).

    Ceci ne doit cependant pas vous empêcher de partir en vacances en avion. L'impact des radiations n'est réel qu'à long terme. Seul le personnel navigant peut donc être concerné. 

    Source : https://www.allodocteurs.fr/se-soigner/droits-et-demarches/sante-et-travail/les-personnels-navigants-americains-surexposes-a-certains-cancers_25019.html#xtor=EPR-1000002224

    Mais aussi : Deux fois plus de mélanomes chez les pilotes, stewards et hôtesses de l'air

    https://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-deux-fois-plus-de-melanomes-chez-les-pilotes-stewards-et-hotesses-de-l-air_14218.html


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  • Pourquoi donc votre voisin, qui a regardé Belgique-Panama fenêtres ouvertes, a-t-il vu la volée de la délivrance de Dries Mertens quelques secondes avant vous, cassant ainsi votre plaisir de découvrir le but "live" ? Pourquoi le bar, juste en bas, s'enjaille une demi-seconde plus tôt que vous, dans votre salon, avec vos amis? En bref ; pourquoi, à l'heure des débits stratosphériques, du tout connecté et de l'instantanéité, ne sommes-nous pas tous égaux devant le direct footeux télévisé ? 

    Eclairage et cassage de mythes sur un problème créé par... le numérique et la modernité.

    Pourquoi votre voisin voit les buts du Mondial deux secondes avant vous ?1. Le "direct", ça n'existe pas

    Seuls les 1.000 Belges présents à Sotchi ont vu le but de Dries Mertens en (vrai) live. Pour les téléspectateurs du monde entier, il y a obligation de subir une série de décalages plus ou moins courts. Il y en a d'abord un, impossible à ôter de la chaîne : le temps nécessaire pour que les images, capturées en Russie, parviennent jusqu'aux régies techniques des chaînes de télévision détentrices des droits (dans le monde entier). Un processus qui ne prend pas plus d'une seconde, que le flux d'images soit transmis par satellite (géostationnaire, à 36.000 km au-dessus de nos têtes, où les images doivent monter avant de redescendre) ou par câble. Jusqu'ici, tout le monde est à égalité, les images parviennent à tout le monde en même temps. C'est après que les décalages s'agrandissent.

    2. Chaînes et opérateurs entrent en piste

    Lorsque la RTBF (ou la VRT) reçoit le signal russe, elle est chargée de le traiter. Et de le transmettre aux opérateurs, qui auront pour mission de le compresser (en MPEG-4/ H.264 aujourd'hui, en MPEG-2 hier). Ce processus prend, ici encore, un peu de temps. Par nature, le câble coaxial (VOO, Orange, Telenet) dispose d'un avantage théorique, en terme de débit, sur la technologie VDSL de Proximus. On parle d'une à deux secondes, mais sur un but, elles comptent. "La large bande passante du câble permet si nécessaire d' y faire passer des signaux à 12 ou 15 Mb/s", nous dit Patrick Blocry, porte-parole de VOO. "Surtout, elle est entièrement dédicacée au signal télé", nous dit-on chez Telenet. "C'est là la vraie différence". La paire cuivrée de l'ex-Belgacom n'a pas cette liberté, mais l'opérateur compense par des traitements électroniques très prompts, qui permettent d'aboutir à un résultat presque équivalent, en termes de temps. "Toutefois, un signal qui passe par le câble, c'est comme la radio en hertzien : il arrive pareil, au même moment, pour tous", nous confie Telenet. "Du moins à matériel équivalent". Ce qui nous mène au point suivant...

    4. Votre décodeur joue un rôle

    Et même un rôle important, puisque c'est lui qui décode (décompresse) le signal vidéo."Vous voyez cet écran noir, qui apparaît très brièvement lorsque vous changez de chaîne ? C'est le résultat de la décompression des images par votre décodeur. Heureusement, les décodeurs sont de plus en plus performants, et équipés de processeurs plus puissants pour décompresser les signaux au plus vite", reprend Patrick Blocry. Bref : la génération de votre décodeur peut aussi jouer un rôle. Idem chez Proximus, "où une image SD peut parvenir plus rapidement qu'une image HD", nous confirme Haroun Fenaux. Ensuite, tout ce qui vient au-delà de votre décodeur peut avoir un impact minime :  "si vous passez par un ampli AV, par exemple, il y a encore un traitement supplémentaire, de l'image comme du son. A tel point que certains amplis intègrent la fonction Lip Sync, pour resynchroniser les images sur la voix !" En fait, la règle est simple : plus l'image est traitée dans son voyage, plus les (micro) décalages s'empilent.

    Pourquoi votre voisin voit les buts du Mondial deux secondes avant vous ?5. C'était mieux avant ? 

    Sur le plan de simultanéité ? Cent fois oui ! "A l'époque de la télévision analogique (qui aujourd'hui ne représente plus que 4% du marché, NdlR) , tout le monde était sur le même pied d'égalité : le signal était envoyé brut, sans traitement. Ni compression ni décompression", nous confie-t-on au département support et technique du service Télévision . "Il n'y avait pas de fameux écran noir de transition entre deux chaînes", glisse VOO. C'est donc le numérique, et la multitude de traitements qu'il implique, qui ont créé ces décalages. Mais c'est un petit mal pour un grand bien : c'est aussi le numérique qui a rendu nos images plus belles, plus nettes, HD. "Et qui a permis, aussi,dixit Proximus, "d'apporter les fonctions interactives comme la pause du direct, le retour en arrière, etc."

    6. Le streaming par Internet : des décalages immenses

    Passer par Auvio, ou l'application de TV mobile fournie par votre opérateur pour regarder un match des Diables : c'est très pratique, mais en termes de respect du direct, c'est une horreur. En cause : le buffering. Celui que vous voyez, déjà : lorsque votre vidéo se "précharge". Mais aussi celui que vous ne voyez pas : "les fournisseurs de réseau réalisent en effet du buffering en amont, pour envoyer le flux par salves. Cela crée des décalages." Qui dépendent aussi très fortement de la qualité de votre connexion (Wi-Fi ? 4G ?  Êtes vous dans une situation nomade - un train - ou fixe ?). Et qui peuvent largement dépasser la minute...
    Bref : pour être sur que la télé de votre voisin ne vous spoile pas, vous l'avez compris, il n'y a pas grand chose à faire. Si ce n'est, peut-être,voir le match avec lui !

    Source : Alexis Carantonis

    Publié le mercredi 20 juin 2018 à 20h19 - Mis à jour le mercredi 20 juin 2018 à 20h21
     
    http://www.lalibre.be/economie/digital/pourquoi-votre-voisin-voit-les-buts-du-mondial-deux-secondes-avant-vous-5b2a9ad05532a29688927344 
     
     

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  • Street-Art 3D à deux pas de manneken-Piss

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  • Le Carrefour Léonard... avant qu'il ne devienne ce lieu maudit pour entrer sur Bruxelles

    Savent-ils, les navetteurs, qu'autrefois, le carrefour Léonard n'était que le croisement entre la chaussée de Wavre et une étroite allée de la forêt de Soignes , où, le dimanche, les habitants d'un village voisin - Auderghem - se rendaient, le plus souvent à pied, pour déguster un faro ou manger une omelette... "A l'Ambulance - Estaminet - chez Léonard Boon", ce Léonard qui laissera son nom à la postérité... dont il se serait bien passé ? 

    Pourquoi donc le carrefour Léonard porte-t-il ce nom ? 

     

    Pour répondre à cette question, il faut remonter plus d'un siècle en arrière. Nous sommes en 1884 à Auderghem, le claquement des fers à cheval sur les pavés résonne dans les rues. La chaussée de Wavre traverse les communes d'Ixelles, d'Etterbeek et d'Auderghem, un étroit chemin qui relie Tervueren à Waterloo à travers la Forêt de Soignes. Au croisement de ces deux routes se tient une petite roulotte qui vient de s'installer et qui restera là pour quelques années.

    Le Carrefour Léonard avant qu'il ne devienne ce lieu incontournable pour entrer sur Bruxelles

     

    Par-dessus la porte de cette roulotte en bois, une inscription :                  "À l'ambulance - Estaminet - Chez Léonard". De part et d'autre de ce petit bar ambulant, quelques tables, quelques chaises, et un homme. Cet homme, c'est Léonard Boon, l'aîné d'une famille paysanne originaire de Notre-Dame-au-Bois. Le cafetier est bien décidé à installer son débit de boissons, sans la moindre autorisation.

    L'administration des Eaux et Forêts entend bien faire plier bagage à ce gêneur. Pourtant les années passent, et jamais Léonard n'est vraiment inquiété, il continue tranquillement à écouler boissons, omelettes et faros aux voyageurs.

    Le Carrefour Léonard avant qu'il ne devienne ce lieu incontournable pour entrer sur Bruxelles

     

    La raison? Léonard bénéficiait d'une protection de choix. Le prince héritier Baudouin en personne s'occupait d'éloigner les autorités. Si Léonard jouissait des faveurs princières, c'est parce qu'ils s'étaient déjà rencontrés avant que le prince ne devienne un client. Baudouin était alors perdu dans la Forêt de Soignes et il croisa le chemin de Léonard, qui l'aida a trouver la sortie.

    Le Carrefour Léonard... avant qu'il ne devienne ce lieu maudit pour entrer sur BruxellesQuelques années plus tard, en 1891, le Prince décède à seulement 21 ans, emporté par une pneumonie. Le prince part mais le café reste. La roulotte clandestine fait place à un café de briques légal, "À l'ambulance" devient "Chez Léonard". Léonard s'installe donc quelques trois ou quatre cents mètres plus loin, toujours sur la Chaussée de Wavre.

    Rapidement, les habitués et Auderghemois rebaptisent l'endroit du nom de ce café. En 1912, Léonard Boon décède, laissant derrière lui sa femme et ses 3 filles. Le café ferme mais la petite famille endeuillée n'arrête pas ses activités pour autant et part installer un nouveau café un peu plus loin, toujours chaussée de Wavre, du côté de l'avenue Meunier.

    Les années passent et nous voilà en 1983. Un second tunnel s'apprête à être inauguré sous le carrefour. Lucien Outers, bourgmestre d'Auderghem, décide de rendre hommage au cafetier, dont le nom résonne encore dans les rues près d'un siècle plus tard, et baptise le croisement "carrefour Léonard".

    Ce nom, les automobilistes le connaissent parfaitement, source de bien des embarras de circulation. Ce vendredi, plus que jamais, l'endroit est la cause de multiples embouteillages, mais peut-être aurez-vous une pensée pour Léonard Boon la prochaine fois que vous emprunterez le carrefour.

    Sources

    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_pourquoi-donc-le-carrefour-leonard-porte-t-il-ce-nom?id=9946233

    https://belgique-insolite-et-occulte.blogspot.com/2012/04/nostalgie-vues-dauderghem-ouderghem.html

     


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  • Trois amis des chats agressés violemment à Bruxelles aux Marolles !

    Christine, Albert et une amie ont été violentés par des personnes dans les Marolles.

    Ce samedi soir, un couple de septuagénaires et une amie, des bénévoles, ont été violemment agressés par un groupe de personnes alors qu’ils tentaient de venir en aide à une chatte et ses petits dans le quartier des Marolles à Bruxelles. "Nous sommes anéantis", explique Christine. "Nous sommes toutefois allés ce dimanche aux portes ouvertes de Chats libres parce que mon mari s’était engagé", explique cette amoureuse des félins.

    Mais la violence de l’agression dont ils ont été victimes samedi a laissé des traces. "Un homme est arrivé vers nous en nous insultant", poursuit-elle. "Il nous a traités de tous les noms puis a appelé d’autres hommes pour qu’ils nous agressent. Ils ont saisi le téléphone de mon amie et l’ont jeté à terre. Ils ont fait tomber mon mari au sol. Il a un problème de hanche et je me suis dit qu’il ne pourrait jamais se relever. Ils ont pris son téléphone qui se trouvait dans un étui à la taille et l’ont brisé !"

    Trois amis des chats agressés violemment à Bruxelles aux Marolles !Christine est particulièrement choquée. Elle pleurait lorsqu’elle s’est confiée. "Ils ont ensuite essayé de prendre mon sac pour également casser mon téléphone et m’empêcher de prévenir les secours. J’ai les bras remplis d’hématomes parce que j’ai résisté. Je ne sais pas comment j’ai réussi à le tenir. Aux balcons de la cité, tout le monde regardait. Ils étaient comme au spectacle. Personne n’est intervenu !"

    Les victimes ont fini par réussir à prévenir les secours. "La police est arrivée très rapidement sur place. Les policiers ont été très compréhensifs et gentils avec nous. Lorsque mon amie est retournée à sa voiture, des personnes lui avaient crevé les pneus."

    Christine ne comprend pas ce déferlement de violence. "Nous étions là pour aider une femelle et ses deux jeunes. Nous avons déjà été insultés, mais je n’ai jamais été violentée à ce point. Nous étions disposés à partir. Je suis cardiaque et j’ai fait un malaise. La situation est de plus en plus catastrophique. Les gens deviennent de plus en plus violents. On nous a déjà menacés de nous castrer avec des tessons de bouteilles !"

    Ces amoureux des animaux ont décidé de prendre un peu de recul, mais ils continueront à aider les animaux.

    Les chats errants sont un véritable problème

    Les chats errants représentent un réel problème dans les grandes villes. À Bruxelles, plusieurs associations se sont donné le mot pour tenter de venir en aide aux félins tristement abandonnés à leur sort. L’association Chats libres est une de celles-ci.

    Trois amis des chats agressés violemment à Bruxelles aux Marolles !Beaucoup de personnes pensent que les félins peuvent vivre sans l’humain et c’est une grossière erreur. Les chats sont domestiqués par l’humain depuis des siècles et ne sont plus capables de survivre sans lui. Ainsi, les animaux errants se reproduisent sans aucun contrôle, ne parviennent pas à se nourrir et pour finir meurent dans des souffrances atroces et prématurément. "Nous voulons sensibiliser les personnes au problème des chats errants sans famille et à leur misère due à leur prolifération", explique un membre de l’association. Pour ce faire, les ASBL qui ne bénéficient d’aucun subside tentent de nouer les deux bouts grâce aux donations et au bénévolat.

    Comme la surpopulation féline est un véritable problème, les amoureux de ces animaux à quatre pattes militent pour la stérilisation des chats errants. "Faites vous-même le calcul. Une chatte libre a en moyenne deux portées par an de quatre petits et une espérance de vie de quatre à six ans. Ces petits dès 5-6 mois continueront le cycle et… le problème ne cesse de grandir. Une femelle et quatre de ses chatons peuvent donner naissance à plus de 300 chats en deux ans…"

    Les associations se concentrent donc sur la stérilisation des animaux et comptent sur les amis des chats pour les aider. "Avec des cautions, des trappes et boîtes de transport sont prêtées aux personnes amies des chats qui décident de leur venir en aide. Ces chats sont stérilisés et soignés si c’est nécessaire. Ils sont vermifugés et déparasités. Après une convalescence de trois à quatre jours, ils sont remis sur le terrain dont leurs protecteurs s’occupent."

    Source et photos : Sarah Rasujew / dhnet.be

    http://www.dhnet.be/regions/bruxelles/trois-amis-des-chats-agresses-a-bruxelles-5b1d7aaf55326301e7775dd2#.Wx47-jn1IoY.facebook

     


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  • "Les homosexuels veulent nous dominer et effacer notre peuple", prévient le nouveau ministre italien de la famille

    A peine nommé, le nouveau gouvernement italien fait déjà beaucoup parler de lui. Ses éléments les plus à droite y sont en effet déjà allés de quelques déclarations "choc" aussi bien sur l'immigration que sur l'homosexualité...

    Dimanche, c'était  Matteo Salvini, le très populaire patron de, la Lega, l'extrême droite italienne, devenu ministre de l'Intérieur, qui avertissait que l'Italie ne pouvait pas être "le camp de réfugiés de l'Europe":  "Le bon temps pour les clandestins est fini: préparez-vous à faire les valises".

    "Les homosexuels veulent nous dominer et effacer notre peuple"Le nouveau ministre de la famille, Lorenzo Fontana, également membre de la Ligue, a de son côté déclaré au Corriere della Sera : "Les familles arc-en-ciel n’existent pas dans la loi italienne. "

    En arrivant vendredi soir au palais du Quirinal, il a lancé que "les familles sont celles qui sont naturelles, où un enfant doit avoir un père et une mère", rapporte Le Monde. Et de préciser, pour ceux qui n'auraient pas bien compris: "La famille naturelle est attaquée. Les homosexuels veulent nous dominer et effacer notre peuple."

    Le ministre a ajouté qu’en tant que catholique il renforcerait également tous les organismes qui " tentent de dissuader les femmes d’avorter ", arguant que "l’avortement est la première cause de féminicide au monde".

    Le Mouvement 5 étoiles, certes populiste, mais beaucoup moins conservateur a toutefois précisé que le sujet de l'union civile homosexuelle, adoptée en 2016 par l'Italie,"avait été écarté de leur agenda politique commun", de même que l'avortement.

    Source : RTBF 

    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_les-homosexuels-veulent-nous-dominer-et-effacer-notre-peuple-previent-le-nouveau-ministre-italien-de-la-famille?id=9935377&utm_source=rtbfinfo&utm_campaign=social_share&utm_medium=fb_share


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  • J'ai activé la fonction "Eviter les travaux" sur mon GPS. 
    Il a effacé Bruxelles-Ville.

    Bruxelles a disparu de mon GPS ! Pourquoi ?


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