• La statue de la liberté en chair et en os en 14-18. Photo extraordinaire.


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  •  Un pompier sauve de justesse un ouvrier dans un immeuble en flamme (vidéo).

     

    Cette histoire aurait pu sortir de l'imagination fertile d'un producteur hollywoodien pour un film catastrophe sauf que là, c'est pour du vrai!!! Heureusement, l'histoire se termine bien mais, jusqu'à la dernière seconde, le suspens sera total.

    http://www.rtl.be/info/monde/international/1079001/miracle-a-houston-un-ouvrier-sauve-par-les-pompiers-juste-avant-qu-un-immeuble-en-feu-ne-s-effondre-video


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  •  Voici une nouvelle qui réjouira les amoureux des océans et tous ceux qui s’inquiètent de la prolifération incontrôlée du plastique, qui pollue l’environnement un peu partout. Voici le champignon mangeur de plastique.

    Un champignon dévoreur de plastique

    Des étudiants américains ont découvert un étonnant champignon de la forêt amazonienne, identifié dans la jungle d’Equateur, lors d’un voyage d’étude universitaire. Ce champignon a la remarquable propriété de pouvoir casser des chaînes de polyuréthane. Ces dernières se trouvent contenues dans le plastique. Autrement dit, ce champignon est un « bouffeur de plastoc »!

    champignon mangeur de plastique

    Alors que le plastique a envahi la planète http://www.consoglobe.com/invasion-plastique-loin-de-ralentir-cg et les océans, et qu’il met un temps fou à se décomposer naturellement, ce champignon est donc particulièrement prometteur : le Pestalotiopsis microspora, c’est son nom scientifique, peut se nourrir de polyuréthane, un polymère très utilisé pour fabriquer des adhésifs, des mousses de plastique, ou des tuyaux de jardin, des chaussures, des peintures.

    Le Pestalotiopsis Microspora est une espèce de champignons endophytes capable de décomposer et digérer le polyuréthane dans un milieu anaérobie.

    Ce champignon employé industriellement permettrait de considérablement renforcer la lutte contre le plastique « sauvage » par son recyclage massif.

    Vue au microscope du Pestalotiopsis microspora anti-plastique

    Vue au microscope du Pestalotiopsis microspora anti-plastique

    La durée de vie des déchets dans la nature

    http://www.consoglobe.com/duree-vie-dechets-nature-1386-cg

    Jeter les déchets dans la nature, ce n’est pas sans conséquence… ils y restent longtemps, parfois très, très longtemps. Un objet qu’on jette négligemment va polluer parfois bien longtemps  après qu’on ne soit plus de ce monde. Voici une sélection d’objets ou produits avec leur durée de vie « naturelle » : en combien de temps se dégrade-t-il sans intervention extérieure, dans la nature ?

    Les déchets, c’est une véritable marée qui va finir par nous noyer ; leur recyclage nous coûte 10 milliards € chaque année.

    Pestalotiopsis Microspora prospère et agit tout aussi bien dans des milieux privés d’oxygène comme des décharges publiques, des égouts, … des lieux, souvent enfouis sous terre et où le plastique s’accumule. http://www.encyclo-ecolo.com/Plastiques

    Le champignon-mangeur-de-plastique bientôt opérationnel ?

    La mise en oeuvre de cette découverte pourrait prendre 20 ans. Malgré ce délai, les perspectives font rêver les chercheurs.

    champignon-anti-plastiquesBernard Henrissat, directeur de recherche au CNRS,(université d’Aix-Marseille) explique : «C’est une découverte à première vue extraordinaire». Il souligne notamment que la caractéristique principale du Pestalotiopsis microspora est qu’il est «autonome» contrairement aux propriétés d’autres champignons utilisés pour réduire le temps de décomposition du plastique« .

    Il se pourrait fort qu’à l’avenir, on saupoudre les décharges de ce champignon qui se fera un festin nettoyeur…

    Source : consoglobe.com

     


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  • 1. La tasse violette tourne plus vite que toutes les autres.

    2. Des centaines de têtes de Mickey sont dissimulées dans les décors du parc et sont quasiment indétectables.

    3. Tous les arbustes et toutes les haies du parc sont soumis à des règles de taille stricte à l’exception de celles du Manoir Hanté qui sont volontairement délaissées.

    4. Aucun chewing-gum n’est vendu dans le parc pour éviter que les gens ne les jettent sur les trottoirs.

    5. Il existe bel et bien une chambre dans le château de La Belle au Bois Dormant dans laquelle il est possible de séjourner.

    6. Il y a une bague de fiançailles dans le béton de la file d’attente du Manoir Hanté.

    7. À l’époque, lorsque les visiteurs criaient « Andy arrive », les personnages de Disney devaient se coucher au sol, comme dans le film.

    8. Il y a un vrai squelette humain dans le décor de l’attraction Pirates des Caraïbe

    Source : sudinfo.be


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  • Décidément les choses bougent sur le front de l’obsolescence programmée. Après la Commission européenne qui va pouvoir imposer aux industriels un chargeur de téléphone standard en Europe, c’est en France que la loi Hamon vient d’apporter deux nouvelles pierres à la lutte contre le gaspillage électronique et informatique.

    La loi Hamon contre l’obsolescence programmée  

    La loi sur la consommation, dite « loi Hamon », publiée le 18 mars 2014, prévoit, entre autres, 2 dispositions phares qui faisaient partie de la proposition de loi sur l’obsolescence programmée de Jean-Vincent Placé.

    1 -La durée de la garantie légale étendue

    La durée de la garantie légale de conformité et de la garantie relative aux défauts de la chose vendue est ainsi portée à 2 ans.

    Cette limite vise à pousser les industriels et les marques à commercialiser des produits dont la durée de vie est plus longue. Cette obligation devrait mettre fin aux extensions de garantie coûteuses proposées notamment dans le secteur de l’informatique.

     

    2 -L’information sur les réparations et pièces détachées

    iPhoneConcernant l’allongement de la durée de vie des produits, l’information des consommateurs des possibilités des réparations ultérieures possibles est désormais fixée par la loi.

    Les industriels et fabricants devront dorénavant communiquer aux consommateurs la durée pendant laquelle les pièces détachées nécessaires aux réparations seront disponibles. Cette information doit être accessible sur le lieu de vente des produits.

    Cette information sur les réparations potentielles doit être délivrée avant la conclusion du contrat. Elle doit figurer par écrit sur le document nouant la transaction.

    De plus, le fabricant ou importateur devra fournir ces pièces détachées, dans un délai de 2 mois, aux vendeurs professionnels ou aux réparateurs, agréés ou non, qui le demandent. Les modalités et conditions d’application seront alors précisées par décret.

    Dommage qu’il ait fallu recourir au législateur pour arriver à des pratiques commerciales plus raisonnables…

    L’obsolescence programmée ou planifiée est le processus par lequel un bien devient obsolète pour un utilisateur donné, parce que l’objet en question n’est plus à la mode ou qu’il n’est plus utilisable.

    En clair, certains produits sont prévus pour ne plus fonctionner ou être passés de mode après un certain temps d’utilisation afin de forcer le consommateur à les remplacer. Cette technique est particulièrement utilisée par les constructeurs d’appareils électroniques (ordinateurs, téléphones, consoles, etc.) et électroménagers.

    Sa signification ? Une stratégie planifiée dès la conception du produit qui consiste à diminuer sa durée de vie ou d’attractivité, en créant en permanence chez le consommateur le besoin de le remplacer par un nouveau… Effrayant.

    Obsolescence programmée : la panne qui tombe à pic…

    Les plus jeunes n’en ont peut-être pas conscience mais nos appareils High Tech et électroménagers ont en moyenne unedurée de vie de plus en plus courte, soit parce qu’ils ont rendu l’âme sans crier gare, soit parce qu’ils ne sont plus tendance, mis ainsi à la « retraite » prématurément pour être remplacés par de nouvelles innovations.

    Pour être plus clair, vos appareils seraient fabriqués pour ne plus fonctionner ou être passés de mode après un certain temps d’utilisation. C’est ce que l’on appelle l’obsolescence programmée, pour ne pas dire la condamnation à mort de vos produits…

    La durée de vie de vos appareils

    Selon Que Choisir, la durée de vie moyenne des appareils électroménagers courants serait aujourd’hui en moyenne de 6 à 8 ou 9 ans contre 10 à 12 ans auparavant. Par exemple* :

    • un ordinateur portable aurait une durée de vie comprise entre 5 et 8 ans,
    • une télévision de 8 ans,
    • un téléphone portable de 4 ans,
    • un réfrigérateur de 10 ans

    D’autres produits sont connus pour faire l’objet d’une conception prévoyant leur obsolescence programmée : les bas nylons inventés en 1940, les imprimantes qu’il vaut mieux jeter aujourd’hui plutôt que réparer, et bien sûr les iPod, iPhone et iPad qui ne durent jamais 10 ans ….* Source United nations environment programme (UNEP), 2009.

     

    Quelques autres chiffres sur l’obsolescence programmée

    La durée des appareils est artificiellement maintenue très bas :
    - Les ordinateurs portables ont de 2 ans et demi à cinq ans au maximum de durée de vie.Il est impossible de les ouvrir car des marques comme Apple créent des vis nouvelles pour chaque appareil : impossible de les ouvrir !
    - Les écrans plats ne durent pas plus longtemps et connaissent un taux de panne qui peut atteindre 34% au bout de 4 ans pour certains modèles !
    - Les imprimantes destinées au grand public on atteint à peine 3 ansLes batteries de smartphones et de tablettes seraient conçues pour ne pas dépasser de 300 à 400 cycles de charge, ce qui représente à peine de deux à trois ans d’utilisation.

    Les réparations
    - Les dépenses de réparation ont chuté de 40 % de 1997 à 2007 et seules 44 % des appareils tombés en panne seraient réparés.
    Autrefois, il était relativement aisé de  changer les roulements du tambour d’un lave-linge . mais de nos jours, les cuves sont fabriquées avec des roulements sertis : s’ils cassent, il faut changer tout l’appareil.

    De quand date l’obsolescence programmée ?

    Des années 1920 et de la grande crise de 1929.
    Fin 1924 à Gèneve un cartel, Pheobus SA, a été fondé par les grands fabricants d’ampoules des pays industrialisés, dont Philips, General Electric et Osram.

    Leur but : contenir la durée de vie des ampoules à incandescence à 1.000 heures. Le cartel avait agrégé les statistiques de durée de vie moyenne des ampoules et décidé d’infliger des amendes aux industriels dont les ampoules avaient une durée de vie de plus de 1.500 heures. Leur stratégie fut très efficace car la durée de vie moyenne des ampoules qui était 2.500 heures en 1924, était tombé à moins de 1.500 heures 2 ans plus tard avant d’atteindre 1.000 heures.

    En 1942, l’alliance pour l’obsolescence est découverte : General Electric et d’autres fabricants sont traînés en justice sur le motif d’entente sur les prix, de concurrence déloyale et de  limitation de la durée des ampoules.

    En 1953, General Electric et ses complices sont condamnés à lever ces restrictions. Dans les faits rien ne bouge et la durée de vie des ampoules ne remonte pas. Pourtant, dans les années qui suivirent, plusieurs brevets visant à créer des ampoules d’une durée « à vie » furent déposé, dont un filament longue durée capable de durer 100.000 heures. Il n’a jamais été commercialisé.

    Lors de la Grande Dépression de 29, aux États-Unis, Bernard London dans un livre intitulé « La Nouvelle prospérité » fit une proposition visant à donner plus de débouchés aux industriels : limiter légalement la durée de vie des biens de consommation. L’« d’obsolescence programmée » était née.

    Source : consoglobe.com


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  • Cette célèbre photo de Nick Ut, un jeune photographe de guerre, a contribué à la fin de la guerre du Vietnam.


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    Kim Phuc, la petite fille de 9 ans, brûlée par le napalm est devenue depuis maman et porte parole pour la paix.


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    Quarante deux ans séparent ces deux clichés. Comme le dit Madame Phùc : "j'ai beaucoup souffert, mais j'ai eu beaucoup de chance, je vis toujours. 

    Il y a quarante deux ans, Kim Phùc était atrocement brûlée par des bombes au napalm lancées par erreur par l'aviation sud-vietnamienne (soutenue par les USA) sur ses propres troupes. Sa photo a fait le tour du monde et a contribué à mettre fin à la guerre. Madame Phùc, ambassadrice de bonne volonté de l'Unicef, a accordé une interview exclusive pour la presse francophone. Voici quelques extraits :

    Est-ce que le bruit d'un avion qui passe vous rappelle de mauvais souvenirs ? J'avais 9 ans à l'époque et je me rappelle très bien ce qui s'est passé ce jour-là. Je fuyais et j'ai vu arrivé ces énormes avions qui faisaient tellement de bruit et passaient très bas. J'ai vu quatre bombes tomber lentement. Tout à coup, j'ai vu du feu partout autour de moi. Mes vêtement étaient brûlés. J'ai utilisé mon bras droit pour éteindre mon bras gauche qui brûlait. Mon dos faisait atrocement mal....

    Qu'est-ce-que cela vous fait de revoir cette photo ?                                           Quand j'ai découvert cette photo pour la première fois, quatorze mois plus tard, j'étais très embarrassée de me voir nue car j'étais une fille. Après, j'ai découvert que cette photo était en fait un cadeau d'une puissance inestimable pour moi. Chaque fois qu'on la montre, elle m'aide à montrer à quel point la guerre peut être horrible.

    Des armes chimiques ont été utilisées récemment en Syrie. Inadmissible ?     Trop c'est trop, il faut arrêter avec ça. Qui souffre le plus avec ce genre d'armes ? Des innocents, des enfants, des femmes... Pourquoi ? Quand je vois ça, ça me brise le coeur et je pleure.

    Que diriez-vous aux pays qui menacent la paix dans le monde ?                       En ce qui me concerne, je fais de mon mieux de mon côté. J'envoie des messages de paix. Et je garde toujours l'espoir que les négociations l'emporteront. Combattre, envahir et menacer, ce n'est pas une solution. Je ne crois pas à la guerre. De toute façon, après chaque guerre, il y a la paix !!!! Vous et moi avons une grande responsabilité pour propager ce message. Il faut réveiller ces gens, qu'ils arrêtent. Il faut les aider à comprendre.

    Croyez-vous toujours à vos messages de paix ?                                                 Bien sûr, il ne faut jamais perdre espoir. Il y a tellement de gens bien dans ce monde. Ils doivent comprendre que la guerre est horrible... Je suis un symbole de la paix, de l'amour et du pardon. Nous devons défendre nos enfants contre le mal. Et les conscientiser aussi. Je n'abandonnerai jamais.

    Vous êtes ambassadrice de l'Unicef, vous avez votre propre Fondation. Comment en êtes-vous arrivée là ?                                                                            A cause de mon passé, évidemmentJe me bats pour les enfants victimes de la guerre. Je suis aussi la mère de deux garçons. Nous pouvons tous contribuer à la paix, pas besoin d'être président, avocat ou ambassadrice de l'Unicef. Aujourd'hui, je vis dans un pays libre comme le vôtre, le Canada.

    C'était quoi votre rêve ?                                                                                              Je voulais devenir médecin puisque je suis rentrée quatorze mois à l'hôpital. Je voulais aider les autres. Mais le gouvernement vietnamien m'a retrouvée en 1982 et j'ai dû interrompre mes études. Maintenant, je poursuis mon rêve avec ma fondation qui se focalise sur les écoles et les hôpitaux.

    Qu'est-ce-qui a changé votre vie ?                                                                             A 19 ans, j'ai commencé à lire la Bible. Et j'ai décidé de me convertir au christianisme. Je voulais avoir un but dans ma vie. Mais parents se sont également convertis au christianisme. Après cette catastrophe, nous avons pu nous reconstruire une nouvelle vie. J'ai été opérée 17 fois, ma peau est en mauvais état, mais mon coeur est toujours intact.

    Source : Le Soir - Philippe De Boeck

    La vidéo : 

    http://www.dailymotion.com/video/xdn73g_vietnam-napalm-phan-thi-kim-phuc_news

     

     


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  • Les endroits abandonnés réservent parfois de belles surprises et des images étonnantes. C'est le cas de ce cinéma en plein air découvert dans la désert du Sinaï. Certes l'écran ne s'y trouve plus mais les fauteuils en bois décorés y sont toujours ainsi que l'infrastructure réservée aux moyens techniques.

      Un cinéma abandonné dans le désert égyptienPour la petite histoire, c’est le photographe Kaupo Kikkas qui en a fait la découverte. Après quelques recherches, il semblerait que ce cinéma ait été le fruit d’un caprice datant du début du XXème siècle d’un homme d’affaires riche et français.

    Ce dernier aurait acquis les sièges du cinéma du Caire et les auraient fait implanter dans le désert, il aurait également fait monter un écran démontable pour l’occasion. Cependant, les autorités locales n’auraient pas apprécié cette idée extravagante et il semblerait qu’aucun film n’ait jamais été projeté dans ce cinéma en plein air. Le générateur électrique aurait été saboté le jour de l’inauguration.

    Source : RTL.be


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  •   Journée de la femme : Ces 10 inventions géniales que l'on doit à des femmes1951 : Bette Nesmith Graham, une secrétaire  commerciale, a trouvé la solution imparable contre les coquilles et fautes de frappe ou d'écriture en tout genre en inventant, en 1951, le fluide correcteur dans sa cuisine.

    1964 : On doit beaucoup à Stephanie Kwolek, une chimiste américano-polonaise, qui a inventé le poly-phénylène téréphtalamide. Le quoi, demandez-vous ? Commercialisé sous le nom de Kevlar, cette fibre d'aramides est aujourd'hui utilisée dans la production de pneus de vélo ou encore de vestes pare-balle. Les soldats qui ont depuis survécu à des tirs grâce à ces vestes lui doivent la vie.

    1903 : La pluie et la neige seraient un bien plus grand problème pour les automobilistes si Mary Anderson n'avait pas existé ! L'américaine, originaire de l'Alabama, a créé ce système d'essuie-glaces qui améliore la visibilité des automobilistes lors de mauvaises conditions météo.

    1813 : La scie circulaire a beau nous rappeler les plus horrifiants des films d'horreur, il ne faut pas oublier que cet objet qui nous fait grincer des dents est avant tout un outil très utile pour toutes sortes de travaux manuels. C'est à l'américaine Tabitha Babbitt que l'on doit cette invention, à l'origine pensé comme un outil devant faciliter le travail des artisans de l'industrie du bois.

    1946 : Marion Donovan (une entrepreneuse américaine) a trouvé le saint-graal que recherche tout parent : un produit d'hygiène permettant de garder les vêtements de bébé propres même lorsqu'il fait ses besoins. Il s'agit de la couche jetable, bien entendu ! Les parents du monde entier lui disent merci.

    1940 : Hedy Lamarr n'était pas seulement une sex-symbol d'Hollywood, c'était aussi une scientifique hors pair ! Plus connue pour ses rôles controversés au cinéma, Hedy a aussi inventé avec un ami un système de torpilles télécommandées ne pouvant pas être détournées par l'ennemi. Cette technologie a ensuite été la référence de base pour la création d'autres objets tels que les téléphones portables et l'internet sans fil.

    1886 : Josephine Cochrane, une socialite américaine, a inventé la première machine à laver la vaisselle, transformant une tâche ménagère en un miracle technologique.

    1859 : C'est en travaillant sur un projet non terminé de son mari décédé que l'américaine Martha Coston a inventé la fusée de détresse pour la Navy américaine. Aujourd'hui, ce mode de communication est utilisé dans l'armée, mais pas seulement.

    1887 : Très répandu aux Etats-Unis, on doit l'escalier de sécurité extérieur à Anna Connelly qui, en 1887, a inventé ce système pour échapper aux incendies.

    1930 : Une invention à ne pas sous-estimer ! Ruth Wakefield, une américaine propriétaire d'un gite touristique, a inventé par hasard la recette du cookie, que le monde entier a maintenant adopté.

     


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  • La recherche sur la mortalité animale causée par les transports est un sujet peu traité et pourtant le phénomène le mérite. Partout dans le monde, les animaux meurent heurtés par des véhicules. Et pas seulement les lièvres ou les sangliers, mais aussi les oiseaux. Des chercheurs américains ont apporté un nouvel éclairage sur cette hécatombe.

    Les oiseaux et les voitures

    Les oiseaux qui se tuent en heurtant des voitures, ce n’est pas du tout une légende. Les oiseaux ne se tuent pas uniquement sur les immeubles ou victimes des chats.  On estime que 80 millions d’oiseaux se  tuent sur des pare-brises uniquement aux États-Unis.

    De telles collisions entre les oiseaux et les voitures sont également dangereuses pour les conducteurs et elles menacent sérieusement certaines espèces d’oiseaux. C’est pourquoi des chercheurs américains aimeraient mieux comprendre comment ces accidents mortels se produisent et ont ouvert un projet de recherche. piloté par Travis DeVault du National Wildlife Research Center dans l’Ohio.

     

    Pour cela les scientifiques doivent rassembler des informations sur les collisions. Ils le font en conduisant un pick-up Ford à 90 km/h en visant volontairement les oiseaux

     Pourquoi les oiseaux se tuent sur les pare-brises

    présents sur la route. Le but est bien entendu de les éviter au dernier moment et non de les tuer. Pour l’instant ils ont réussi à ne tuer aucun oiseau.

    Les approches ont eu lieu dans un lieu isolé qui appartient à la Nasa et qui a pu être fermé à la circulation d’autres véhicules. Les oiseaux concernés sont d’une espèce de vautours très communs dans cette partie des USA. Pour les attirer, des carcasses de ratons laveurs bien alléchantes ont été placées en plein milieu de la route.

    Les vautours testés avaient été élevés de manière a adorer se nourrir de ce type de carcasses.

    L’influence de la vitesse sur les collisions.

     Il s’agissait de savoir à quel moment les oiseaux commencent à décoller et s’envolent : à combien de mètres de distance et combien de seconde avant l’impact possible ?

    Une étude similaire a déjà été faite mais avec des pigeons et avec une vitesse de 27 km/h, insuffisante pour tester le danger représenté par des voitures (2).

    L’étude a montré qu’à 30 et 60 km/h les vautours ont réagi de manière cohérente et comparable en partant tous à peu près au même moment et à la même distance pour éviter la collision. Mais à 90 km/h, c’est un peu comme s’ils réagissaient un peu au hasard, certains quand la voiture était encore à 300 mètres et d’autres à seulement 20 mètres. Leur capacité innée à estimer le danger ayant l’air paralysée.

    Les oiseaux disposent de neurones spéciaux à la base de leur comportement de survie : ils sont capables d’estimer à partir de la vitesse à laquelle un objet diminue de taille, à quelle vitesse celui ci se rapproche, et d’en déterminer le bon moment pour s’envoler.

    Ce qui en ressort c’est qu’il faudrait abaisser les limites de vitesses mais cela risque peu de se produire. On voit mal en effet, la vitesse réduite à moins de 90 sur les autoroutes pour sauvegarder des oiseaux. En revanche, on pourrait le faire dans des zones particulières comme les forêts, les réserves naturelles ou les parcs ornithologiques.

    On n’est pas certain que le comportement des vautours américains représente celui des autres espèces d’oiseaux. En revanche, on suspecte d’avoir mis en évidence un mécanisme de « surcharge cognitive » (comme le lapin paralysé dans les phares des voitures) qui explique pourquoi autant d’animaux meurent sur les routes dans le monde entier y compris en Europe.

    Il est prévu de continuer à étudier les collisions oiseaux / voitures, mais cette fois, non plus en en provoquant sur la route mais en étudiant le temps de réponse des oiseaux à partir de vidéos montrant des véhicules les approchant.


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    Le 20 octobre 2013 dans la vallée de Catalochie dans le parc national des Great Smoky Mountains situé en Caroline du Nord, un photographe a rencontré un wapiti d'un peu trop près. C'était le lever du soleil, des photographes prenaient en photo des wapitis à une distance raisonnable, mais sans raison, l'un de ceux-ci s'est approché d'un photographe et...

    Cliquez sur le lien suivant :
     

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  •  Bon appétit !!!


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    Que sont devenues les jumelles de Shining ?

     
    Trente-quatre ans plus tard, un fan de Stanley Kubrick a retrouvé les deux petites filles de Shining.
    Petite robe bleue, barrette dans les cheveux, peau diaphane, regard oppressant, telles apparaissaient Louise et Lisa Burns dans Shining. Adapté du roman de Stephen King en 1980 par Stanley Kubrick, le film racontait la lente chute dans la folie de Jack, un écrivain en panne d'inspiration. Outre le sourire carnassier de Jack Nicholson et les mimiques effrayées de Shelley Duvall, les fans auront également retenu la prestation des deux jumelles, âgées de douze ans à l'époque.     

    Main dans la main, elles rencontraient le petit Danny, le fils du couple Nicholson - Duvall et détenteur d'un pouvoir spécial, le Shining, dans les couloirs de l'hôtel Overlook. Elles l'invitaient à venir jouer avec elles... avant de disparaître dans une vision d'horreur ! Une des nombreuses scènes mythiques de ce classique du cinéma fantastique.

    Un admirateur du Maestro du Septième art a exhumé une photo des deux actrices, plus de trente ans après la sortie du film. Nettement plus avenantes que dans le long-métrage du grand Stan, on découvre deux femmes retirées depuis un certain temps de l'industrie du cinéma. Aujourd'hui, Louise Burns s'épanouit en tant que micro-biologiste, tandis que sa sœur Lisa est diplômée en littérature. 

    Que sont devenues les jumelles de Shining ?

     

    Source : lalibre.be

     


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  • Saint-Malo Grande Marée 2014 un super spectacle ...

     

     

    La mer en colère à Saint-Malo : vidéo saisissante

     

     Cliquez sur le lien ci-dessous...

     

    www.youtube.com/embed/eGXPQvrOTj8?feature=player_detailpage

     

     

     


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  • BELGIQUE Le tribunal du travail exige que le Setca fédéral réintègre deux permanents licenciés en 2010 et indemnise les héritiers d'un troisième.

    Un syndicat belge (FGTB) condamné pour licenciement abusif...Des chefs d’état-major syndicaux condamnés pour licenciement irrégulier et abus de droit, cela n’arrive pas tous les jours. Le tribunal du travail de Bruxelles vient pourtant de prier les trois principaux responsables du Setca fédéral - le président Erwin De Deyn, la vice-présidente Myriam Delmée et le secrétaire général Jean-Michel Cappoen - de reprendre à leur service deux permanents licenciés et de verser une importante indemnité de rupture aux enfants d’un troisième décédé depuis les faits. Le tribunal a donné raison aux plaignants sur toute la ligne. Il a estimé qu’il n’y avait eu pas de faute grave qui pourrait justifier un licenciement. Plus fort, il a jugé que le Setca fédéral n’était même pas habilité à les licencier. Voilà qui risque de remettre le feu au sein d’une institution - le Setca de Bruxelles-Hal-Vilvorde - qui ne s’est jamais remise de l’affaire Faust en 2002.

    Projet immobilier

    Un petit rappel des faits s’impose. Les trois permanents à l’origine de cette condamnation avaient été licenciés pour faute grave en septembre 2010 avec deux autres collègues. Il leur était reproché, en particulier, d’avoir envoyé un courriel aux membres du comité exécutif du Setca de Bruxelles-Hal-Vilvorde sans avoir mis en copie les responsables fédéraux du syndicat. Dans ce courriel, ils expliquaient pourquoi ils s’opposaient au projet de rénovation de deux bâtiments situés à la place Rouppe et occupés par la section BHV de la centrale syndicale. Ce projet immobilier était porté par le Setca fédéral qui exerçait alors - et exerce toujours d’ailleurs - une tutelle "volontariste" sur la section de Bruxelles-Hal-Vilvorde du syndicat. Mais les cinq permanents licenciés estimaient que les frais de cette rénovation étaient exorbitants et se faisaient au détriment des finances de la section de Bruxelles-Hal-Vilvorde déjà mal en point. C’est le sens de leur courriel envoyé le 1er septembre 2010, une semaine avant la réunion du comité exécutif du Setca BHV censé approuver ou non le fameux projet immobilier.

    Un licenciement expéditif

    Les responsables fédéraux du Syndicat des employés, des techniciens et des cadres ont alors décidé de licencier les cinq permanents récalcitrants. Ils devaient y mettre les formes. Car en principe seul le congrès est habilité à mettre ou démettre un permanent. Les patrons de la centrale ont dès lors convoqué une réunion du comité exécutif fédéral en toute hâte pour placer la section BHV du Setca sous tutelle statutaire, ce qui leur donnait le droit de licencier sans passer par la voie normale. Une fois le vote obtenu, tout va très vite. Le 2 septembre encore, dans la nuit, les cinq permanents ont reçu un SMS leur demandant de venir le lendemain pour que leur licenciement leur soit signifié. Le Setca fédéral n’y va pas par quatre chemins. Les serrures des bureaux des permanents sont changées, les GSM désactivés, des archives personnelles embarquées. Le véhicule de fonction d’une des permanentes a même été enlevé.

    L’arroseur arrosé

    Mais les cinq permanents ont refusé de se laisser faire. Et ils ont l’habitude des bras de fer contre les employeurs. Ils n’ont donc pas hésité à se retourner contre leur propre patron. Aujourd’hui, ils emportent la partie. Dans son jugement rendu mardi, le tribunal du travail qualifie en effet les licenciements d’irréguliers. Non seulement, le motif grave invoqué est jugé disproportionné. Mais en plus, pour le tribunal, la tutelle statutaire n’a pas été valablement décidée. Le Setca fédéral ne pouvait dès lors pas licencier les permanents. En conséquence de quoi, le Setca est condamné à réintégrer les deux permanents dans les quatre mois et à verser près de 300 000 euros aux héritiers du troisième plaignant.

    Contactés, les responsables du Setca ont dit vouloir "d’abord lire le jugement avant de se prononcer" . On peut penser qu’ils iront en appel de cette décision. Mais le jugement devait être confirmé, ils seraient mal pris. Car on voit mal comment un syndicat pourrait se soustraire à une injonction de remise au travail d’un travailleur licencié abusivement. Ou alors, ce serait vraiment le monde à l’envers.


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  • Un simple nom apposé sur un produit se révèle très prometteur quant à sa qualité. Prenez Aoste par exemple : cette vallée située dans le nord de l’Italie est connue dans le monde entier pour son jambon cru produit artisanalement. Sauf qu’un jambon Aoste n’a rien à voir avec un jambon d’Aoste…

    Le jambon de Bosses, le vrai jambon d’Aoste

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    Le vrai jambon d’Aoste, celui qui est fabriqué dans la vallée italienne du même nom, est protégé par une AOP Vallée d’Aoste Jambon de Bosses.

    Celui-ci est un jambon de montagne, fabriqué dans le petit village de Saint-Rhémy-en-Bosses, dans la vallée du Grand-Saint-Bernard.

    Ce jambon si particulier et si réputé est fabriqué depuis le Moyen Age. On a en effet trouvé des témoignages de sa production datant de 1397. Depuis des siècles, les techniques de fabrication ont certes un peu évolué, mais le jambon est toujours fabriqué de manière artisanale et donc en petites quantités.

    Des qualités gustatives remarquables

    La préparation d’un jambon de Bosses répond à un cahier des charges très précis. Les cuisses de porc qui servent à la fabrication du fameux jambon proviennent d’animaux nés, élevés et abattus dans des régions bien définies du nord de l’Italie : Vénétie, Emilie-Romagne, Lombardie, Piémont et Vallée d’Aoste.

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    La viande est en premier lieu massée, pour en faire sortir les résidus de sang.
    Les jambons frais sont ensuite salés à sec avec un mélange composé de sel marin, de poivre, d’épices et un assortiment d’herbes aromatiques – sauge, genévrier, thym, romarin et baies – provenant de la vallée d’Aoste. Bien entendu, aucun additif n’est autorisé dans la préparation.

    jambonBosses 

    Le jambon repose ensuite pendant 2 à 3 semaines, selon le taux d’humidité, dans une cellule dont on contrôle la température. Après ce temps de repos, le jambon est lavé, essuyé et entreposé dans les locaux d’affinage.

    L’affinage dure de 12 à 24 mois sur un lit de foin, dans un local frais et aéré reproduisant les conditions d’un raccard, une sorte de grenier en bois proche du chalet. On obtient ainsi un jambon pesant au moins 7 kg, au parfum délicat et aromatique.

    Aoste – une appellation protégée

    AOP

    Le jambon de Bosses bénéficie d’une AOP depuis 1996.

    3 critères ont été pris en compte :

    • les caractéristiques du territoire ; la zone dans laquelle est fabriqué le jambon d’Aoste depuis plusieurs générations d’affineurs réunit les conditions idéales qui ont fait la réputation du produit. C’est dans cette vallée qu’on récolte les herbes sélectionnées pour la recette, ainsi que le foin qui procure une fragrance spécifique lors de l’affinage. Le climat sec est lui aussi caractéristique avec des vents qui descendent des quatre cols autour de Saint Rhémy, garantissant températures et circulation de l’air idéales.
    • la matière première qui, comme vu plus haut, est constituée exclusivement de cuisses de porcs italiens, élevés dans le respect des conditions définies par les producteurs de jambons AOP ;
    • et le procédé artisanal de production.

    Le jambon Aoste, un jambon industriel fabriqué en Isère

    L’habit ne fait pas le moine, et la dénomination Aoste ne fait pas le jambon artisanal !

    Le jambon Aoste que l’on retrouve sous vide au rayon réfrigéré des supermarchés n’a jamais vu le ciel de l’Italie.

    Usine Aoste en Isère © Matthieu Riegler, CC-BY

    Usine Aoste en Isère © Matthieu Riegler, CC-BY

    Ce jambon est, il est vrai, fabriqué à Aoste, mais pas dans la vallée italienne ! Les usines du jambon Aoste sont situées dans la petite commune du même nom à quelques kilomètres de La Tour du Pin, en Isère.

    Leader de la charcuterie en France, le Groupe Aoste chapeaute d’autres marques telles que Justin Bridou, Cochonou ou encore Jean Caby. Avec ses 700 millions d’euros de chiffre d’affaires, le groupe est numéro 1 de la charcuterie en France avec 13% de part de marché(1). On est bien loin des quantités très limitées provenant des raccards d’affinage du jambon des Bosses !

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    Si le groupe vante les mérites d’un « savoir-faire qui se transmet de génération en génération », le procédé n’a rien de commun avec les gestes effectués par les affineurs de la Vallée d’Aoste depuis plus de 6 siècles. Le jambon du Groupe Aoste n’a rien d’artisanal. Contrairement au vrai jambon d’Aoste qui est un jambon cru, ce jambon industriel est un jambon mi-cuit. Il est fabriqué en partie à base de porcs français mais aussi de viande importée.

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    La marque a évidemment joué sur la confusion des lieux géographiques, et ce pendant des années !

    Le groupe Aoste a ainsi déposé la marque « Jambon Aoste » pour vendre son produit au nom équivoque.

    C’est la Commission Européenne qui a dû intervenir pour interdire l’utilisation de cette appellation en 2008, mettant en avant le fait que le nom pouvait – à juste titre ! – induire le consommateur en erreur.

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    La marque, depuis, utilise le nom Jambon Aoste, sans le d apostrophe qui fait toute la différence.

    (1 )source LSA. Image à la Une CC avlxyz


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  • Quand la découpe crée le profil, tout devient illusion !!!

    Extraordinaire illusion d'optique !!!!

    Source : http://cafardages.over-blog.com/

     


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  • Repas de crise à Woluwe-Saint-Lambert !!!

               Bonne fin d'année 2013 et à l'année prochaine

     


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  • Cette photo pourrait laisser penser que ces... policiers bruxellois sont victimes d'une tempête de neige. Vous n'avez pas tout à fait tort car il s'agit de neige... carbonique dont ont été aspergés ces placides robocops lors d'une manifestation des pompiers bruxellois.

    Non, il ne neige pas à Bruxelles !!!!

     Photo : Agence Reuters

     


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  • Voici certainement l’un des pires zoos du monde si l’on en croit Richard Shears, envoyé par le quotidien britannique Daily Mail à Surabaya, en Indonésie. Là-bas, les animaux semblent tristes, blessés, malades… Une véritable maltraitance animale qu’il a souhaité démontrer en images.

    Capture Daily Mail

    Le zoo de Surabaya est certainement l’un des plus cruels qui soit… Les éléphants sont attachés avec de longues chaînes qui arrachent leurs pattes. Les singes sont malades et mal nourris, avec des côtes largement visibles, confirmant une nutrition très limitée. Même constat pour les chameaux, faméliques. Les pélicans sont gardés en cage, dans un espace confiné et peu adapté à leur large envergure. Le squelette d’une girafe, décédée dans le zoo même, est visible dès l’arrivée dans ce zoo indonésien. Le reportage de Richard Shears et d’Andrew Shant pour le Daily Mail (toutes les photos sont disponibles en cliquant sur ce lien) fait tout simplement froid dans le dos.

    « Chaque pas m’emmenait dans un donjon animal macabre », explique le journaliste australien. « J’ai aperçu les plats de légumes déjà mâchouillés offerts aux primates, les côtes de plusieurs animaux étaient même visibles. Un chameau, en particulier, apparaissait affamé. Un autre singe semblait presque prier pour être relâché… »

    Selon Tony Sumampau, un ancien employé du zoo, plus de 50 animaux sont décidés durant les trois derniers mois. « C’est plus facile pour eux de faire de l’argent que de prendre soin des animaux », affirme-t-il. Le gouvernement indonésien souhaiterait que ce zoo ferme et que les animaux soient placés dans d’autres établissements. Mais les autres zoos, justement, ne souhaitent pas reprendre ces animaux, de peur d’amener des maladies dans les autres cages. Terrifiant…

    Source : Sudinfo


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  • “La confidentialité n’est plus ce qu’elle était, mais elle reste importante”, a affirmé Edward Snowden dans son speech de Noël. Quiconque souhaite effacer ses traces numériques, peut le faire en suivant ces 9 étapes.

     

    Who Is Hosting This?, une entreprise qui vous permet de savoir quels sites sont hébergés par quelles entreprises, montre dans un infographique comment faire disparaître son/ses identité(s) en ligne et ce, via ces 9 points.

    1. Désactivez vos comptes primaires 
    Commencez par supprimer les comptes dont vous savez qu’ils existent: Facebook, Twitter, LinkedIn ou Google+. Utilisez pour ce faire les paramètres de confidentialité (privacy) de ces sites sociaux.

    2. Recherchez-vous vous-même via un moteur de recherche 
    Il est possible qu’il y ait encore quelque part un ancien profil numérique que vous n’utilisez plus, mais qui existe encore - par exemple sur MySpace, Flickr ou Netlog. Localisez ces profils par le biais d’un moteur de recherche, connectez-vous et désactivez les comptes concernés. Vous avez oublié votre mot de passe ou nom d’utilisateur? Chaque site permet de les demander de nouveau.

    3. Falsifiez les comptes que vous ne pouvez supprimer 
    Vous ne parvenez pas à désactiver certains profils? Who Is Hosting This? conseille alors de les falsifier: saisissez par exemple un autre nom et une autre adresse.

    4. Supprimez-vous des listes de mailing 
    Collectez toutes les lettres de nouvelles ou publicités online et désinscrivez-vous (cela peut se faire généralement via des liens en bas des courriels).

    5. Supprimez les résultats de recherche des moteurs de recherche 
    Vous pouvez demander aux moteurs de recherche de supprimer les informations vous concernant. Google dispose aussi d’un outil vous permettant de supprimer vous-même des URL.

    6. Contactez les webmasters de sites web 
    Si vous ne pouvez pas vous-même supprimer certaines informations sur des sites web, prenez contact avec les webmasters. Soyez dans ce cas sympa et patient, conseille Who Is Hosting This?.

    7. Tournez-vous vers des entreprise d’effacement de données (data clearing) 
    Il existe des entreprises qui tiennent à jour votre comportement online et vendent ces informations à d’autres entreprises (comme Intelius, PeopleFinders ou Spokeo), selon Who Is Hosting This?. Pour effacer vos informations de ces sites, le téléphone ou le courrier papier pourraient s’avérer utiles. Peut-être devrez-vous également sortir votre portefeuille pour consulter des services payants tels DeleteMe.

    8. Prenez contact avec votre fournisseur télécom 
    Nombre d’opérateurs listent vos données online. Contactez-les pour qu’ils vous suppriment de ces listes.

    9. Effacez vos adresses e-mail 
    Faites-le en dernier lieu car pour les étapes précédentes, vous aurez besoin de votre/vos compte(s) e-mail. 

    Source : Datanews.levif.be


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