• Le mythique restaurant "De Ultieme Hallucinatie" déclaré en faillite Le restaurant "De Ultieme Hallucinatie", située au 316 de la rue Royale à Saint-Josse, a été déclaré en faillite. La décision du Tribunal de commerce de Bruxelles est tombée le 21 mars dernier.

    C'est donc un établissement mythique qui va fermer ses portes. Mythique à plus d'un titre. Et tout d'abord de part son architecture Art nouveau extérieure, signée Paul Hamesse en 1904. Une véritable oeuvre d'art qui fût d'abord un hôtel de maître jusqu'en 1980. Mais l'intérieur n'est pas en reste avec ses boiseries, lustres et ferronneries d'une autre époque. De quoi justifier entièrement son classement au patrimoine bruxellois.

    Repris par l'échevin Sait Köse

    Le mythique restaurant "De Ultieme Hallucinatie" déclaré en faillite Si la brasserie a souvent été menacée de fermeture dans son histoire, elle est reprise en 2012 par Sait Köse, par ailleurs échevin DéFI des Sports à Schaerbeek. Coût de l'investissement : 2,5 millions d'euros. Mais les charges sont importantes et le restaurant qui peut accueillir jusqu'à 200 couverts bat de l'aile. En mai 2015, l'échevin décide de remettre le fonds de commerce pour un montant de 900 000 euros et un loyer de 10 000 euros par mois. A ce prix, les investisseurs se font rares. Ils ne se pressent pas au portillon.

    Un curateur désigné

    Résultat : c'est la faillite. Un curateur a été désigné. Son rôle : récupérer toutes les créances et pourquoi pas trouver un repreneur. L'Ultieme Hallucinatie risque donc aujourd'hui de disparaître définitivement du paysage Horeca prestigieux de Bruxelles.

    Source : http://www.rtbf.be/info/regions/detail_le-mythique-restaurant-de-ultieme-hallucinatie-declare-en-faillite?id=9308362


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  • Le cœur bat, le sang circule, les poumons se gonflent... pourtant, le corps humain sur lequel les élèves chirurgiens en formation à Poitiers se font la main est bien un cadavre. Récemment sorti de congélation, il est alimenté en air et en sang artificiel. Baptisé "Simlife", ce système unique au monde vise à mettre les futurs chirurgiens "en situation", en collant au plus près à la réalité, sans aucun risque pour un vrai patient.

    Apprendre la chirurgie sur des cadavres qui respirentJusqu'à présent, les étudiants en médecine et pharmacie apprenaient leur métier sur des corps inertes ou, au mieux, des mannequins interactifs.

    "[Mais] on se rendait bien compte que les dissections classiques ne répondaient plus aux attentes", explique le Pr Jean-Pierre Richer, responsable du Centre de simulation de la faculté de Poitiers, inauguré fin janvier 2016. "Il fallait évoluer alors que dans le même temps, la formation pratique de l'interne a beaucoup diminué [...] On n'apprend plus au bloc, à côté du chirurgien et d'un vrai patient. Les nouvelles directives nationales disent bien « jamais sur le patient la première fois »", souligne le chirurgien.

    Cyril Brèque, spécialiste en biomécanique au laboratoire d'anatomie de la Faculté de médecine de Poitiers, a ainsi eu l'idée de créer Simlife, un système qui redonne à des corps légués à la médecine l'apparence de la vie.

    Des cadavres animés

    Pendant que, dans une vaste salle, une trentaine d'étudiants s'exercent encore à la suture sur des pieds de cochon, dans un bloc opératoire voisin, une étudiante assiste à une double ablation des reins sur un cadavre qui présente toutes les apparences du vivant.

    L'abdomen à la peau rosée se soulève régulièrement, le pouls est stable lorsque les deux chirurgiens incisent le corps du plexus au nombril pour faire apparaître les viscères. Seule l'odeur forte et une couleur verdâtre trahissent le fait qu'il s'agit d'une dépouille, décongelée avec soin pour passer en seulement quelques jours de -22°C à +37°C. Mais le sang artificiel qui circule redonne rapidement leur couleur naturelle aux organes et aux tissus. "Tu vois, là, la veine cave, elle est vraiment comme ça dans la réalité, rosée et bleutée", explique le Pr Jean-Pierre Faure, co-responsable de l'école de chirurgie de l'Université de Poitiers.

    Les intestins sont sortis en douceur et enveloppés pour ne pas entraver la suite de l'opération. "Un tour de main comme ça, l'interne ne va pas y penser. Il peut perdre une heure, gêné par des intestins qui glissent et qu'il risque d'abîmer", insiste le Pr Faure.

    Après une heure de travail, un rein est prélevé, mais une hémorragie survient, rapidement résorbée par une équipe dont la tension est palpable.

    "Vous voyez, nous avons deux professionnels mais ils sont complètement absorbés par leur travail, ils ont oublié que c'est une simulation. C'est la vraie vie dans un bloc avec tous ses aléas. Ce qui est irremplaçable pour un chirurgien, c'est d'avoir le toucher. Si on simule la respiration sur ces corps, c'est aussi pour gêner le travail du chirurgien", commente le Pr Richer.

    Médecins bricoleurs

    Derrière le champ opératoire qui dissimule le visage du "patient" se cache aussi la machinerie du Simlife : deux chariots à roulettes surmontés d'un simple moniteur. 

    "Là, c'est la partie pneumatique pour la respiration, et là, la partie hydraulique pour la circulation sanguine", détaille Cyril Brèque, autant médecin que bricoleur. Tournevis en main, il adapte sur une valve la pression d'injection du faux sang. "Un peu de peinture, un additif pour approcher la viscosité du vrai sang. Tout le matériel provient de magasins de bricolage et de jardinerie", sourit-il. Des tuyaux d'arrosage, des valves de système d'arrosage... Au total, quatre Simlife ont été conçus pour seulement 20.000 euros.

    "À terme, tout cela sera miniaturisé et piloté en wifi depuis une tablette. Nous sommes en train de travailler sur un logiciel qui permettra d'intégrer à l'avance un certain nombre de scenarii. Ce qui rend notre système unique, c'est qu'il est adaptatif", assure le Pr Richer.

    Après la phase de test, une vingtaine d'internes en fin de cursus s'exerceront à la chirurgie sur Simlife dès la rentrée universitaire 2016-2017.

    Source : http://www.allodocteurs.fr/se-soigner/traitements-du-cancer/chirurgie/apprendre-la-chirurgie-sur-des-cadavres-qui-respirent_18705.html#xtor=EPR-1000002224

    AFP


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  • Elle pleure après avoir mis de l'auto-bronzant et....

    Autant se servir de cette petite mésaventure pour éviter de faire la même erreur.

    Skyler Davis, 17 ans, a fait usage pour la première fois de spray autobronzant. Elle voulait être la plus jolie pour son bal de promo. La jeune fille a pris rendez-vous dans un centre esthétique de Toledo (Ohio) pour se pomponner. Elle est sortie ravie. Quelques minutes plus tard, elle s'est disputée avec son petit ami par téléphone et s'est mise à pleurer. Résultat? Ses larmes ont tracé des sillons bien visibles dans son bronzage tout frais.

    Elle a expliqué à Buzzfeed qu'elle n'avait pas de mouchoirs. "Quand je me suis vue dans le miroir, j'ai pleuré encore plus fort." Le cercle sans fin. Le problème de l'autobronzant, c'est qu'il ne s'enlève pas à la demande. Skyler a exfolié sa peau pour essayer de rattraper les dégâts et une esthéticienne a camouflé les traces encore dessinées. Aujourd'hui, Skyler rit de sa mésaventure: son selfie a été partagé plusieurs millions de fois sur Twitter et a été repris sur Imgur.


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  • Recettes grand-mère : Les vertus du marc de caféLe marc de café déroute les insectes

    À l'approche de l'été, les insectes envahissent maisons et jardins. Difficile parfois de les éliminer et pourtant, quelques gestes simples suffisent pour les faire partir de chez soi. Dans son nouvel ouvrage Lutter contre les insectes paru aux éditions Massin, Isabelle Louet livre ainsi plusieurs astuces pour se débarrasser efficacement de toutes sortes d'insectes.

    Alors que la plupart des Français le jettent après utilisation, ce dernier pourrait vous rendre bien des services, en faisant fuir fourmis et pucerons. Saupoudré sur le trajet des fourmis, le marc de café permet de détruire les traces de phéromones que ces insectes laissent pour se repérer. Déroutées, elles n'auront d'autre choix que de faire demi-tour.

    Un produit miracle

    Pour se débarrasser des pucerons, Isabelle Louet conseille de disperser du marc de café sec autour de la plante concernée. Après une ou plusieurs opérations, les insectes devraient disparaître.

    Le marc de café est régulièrement vanté pour ses multiples qualités. Chez vous, ce dernier peut être utilisé pour polir les égratignures sur vos meubles en bois, pour lutter contre les odeurs dans votre réfrigérateur ou encore pour attendrir une viande.

    Véritable secret de beauté, le marc de café est également utilisé comme masque anti-âge lorsqu'il est mélangé avec un blanc d'œuf, comme soin pour rendre les cheveux plus brillants ou encore comme traitement anticellulite.

    Autres vertus du marc de café

    - on le verse dans le lavabo, l’évier, le bain pour qu’il décrasse et désodorise les canalisations.
    - en légers massages, ajouté au gel douche, il fera un excellent gommage, pour le visage et le corps.
    - en frictions sur les zones rebelles pour diminuer la cellulite.
    - comme engrais, dans le compost, pour le jardin.
    - en absorbeur d’odeurs : dans un bol au frigo, une coupelle dans une pièce ... ou encore en s’en frottant les mains il viendra à bout d’odeur d’ail, d’oignon, etc.
    - il absorbera les taches grasses, sur la gazinière, un sol ... on le saupoudre sur les traces de beurre, saindoux, huile ... on laisse le temps qu’il pompe le gras et on nettoie normalement.
    - pour récurer les casseroles.
    - en tant que polisseur pour les meubles légèrement rayés (l’humidifier un peu).
    - mélangé à des graines (fleurs, fruits, légumes) cela leur permettra de gonfler un peu et de germer plus facilement, tout en évitant de semer trop serré.
    - comme répulsif contre les guêpes ... 


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  • Un médicament contre Alzheimer dans dix ans au plus tard !

    Cette phrase osée a été prononcée par John Hardy, Professeur à l’University College de Londres, à l’occasion de deux conférences remarquables qu’il a données à la KULeuven le 13 janvier dernier.                                           Le Prof. Hardy n’a pas dit que nous disposerons d’un médicament qui pourra guérir Alzheimer mais il a toutefois souligné qu’un moyen de contrôler la maladie existera. Ce professeur de renom est très optimiste à cet égard ! Le Professeur John Hardy est un généticien de renommée mondiale, qui réalise depuis 30 ans déjà un travail de pionnier sur la cause génétique des maladies comme Alzheimer et Parkinson.
    Récemment encore, il a décroché le ‘Breakthrough Prize in Life Sciences 2015’, valant quelque 3 millions de dollars américains. Ce prix n’existe pas depuis aussi longtemps que le Prix Nobel, mais a toutefois déjà acquis autant de prestige. Le Prof. Hardy est également titulaire d’une chaire à l’UCLouvain. Le professeur britannique confirme que la découverte d’un médicament n’est cependant pas une sinécure.
    Initialement, il y a 30 ans, les autorités et l’industrie pharmaceutique ne prêtaient que peu d’attention à la maladie, trop souvent considérée comme une « maladie de vieillesse », un mal nécessaire lié au vieillissement. Cependant, la prise de conscience quant au ‘problème’ a augmenté suite au tsunami de nouveaux cas, car toutes les 3 secondes une personne dans le monde est frappée par l’une ou l’autre forme de démence et le nombre de personnes souffrant de démence dans le monde a augmenté pour atteindre
    les 47,5 millions. Notez qu’environ 70% de ces personnes souffrant de démence sont des patients atteints d’Alzheimer. Il est donc grand temps selon notre Conseiller Scientifique, le Prof. Bart De Strooper (KULeuven), de passer à la vitesse supérieure. Le budget alloué à Alzheimer est 10 fois
    moins important que celui, par exemple, alloué au cancer ou au sida, des maladies qui peuvent être guéries de nos jours moyennant un diagnostic précoce.
    Si nous investissons massivement dans la recherche scientifique sur la maladie d’Alzheimer, il y a beaucoup de chance pour que dans un délai de 10 ans nous disposions d’un médicament, probablement administré par perfusion.
    Pourquoi devons-nous continuer à investir dans la recherche ?
    ► Avec le vieillissement de la population, un tsunami de nouveaux cas d’Alzheimer va s’abattre sur nous. Actuellement, il y a dans le monde 32,7 millions de patients souffrant d’Alzheimer, dont quelque 7.350.000 en Europe. Si nous ne trouvons pas de solution à court terme pour contenir ce raz-de-marée, ce chiffre doublera d’ici à 2030 et triplera même à l’horizon 2050.
    ► Toutes les 3 secondes, un nouveau cas de démence est diagnostiqué dans le monde. Toutes les 67 secondes, nous déplorons un nouveau patient atteint d’Alzheimer. Ce n’est pas une horloge qui tourne, mais plutôt le compte à rebours d’une bombe à retardement que nous devons arrêter d’urgence. Les progrès de la recherche donnent du courage et des raisons de garder espoir !
    De nos jours, la maladie d’Alzheimer fait l’objet de beaucoup plus d’attention qu’il y a quelques années, avec d’énormes progrès réalisés à la clé.
    Rien qu’au cours des 20 dernières années, les chercheurs ont fait les découvertes majeures suivantes :
    - découverte du rôle des protéines bêta-amyloïde et tau dans la maladie d’Alzheimer
    - approbation mondiale des premiers médicaments Alzheimer, visant principalement à freiner temporairement la maladie
    - le premier modèle Alzheimer chez la souris permettant de cartographier et de comprendre la maladie
    - les premiers tests sanguins permettant de dépister la maladie d’Alzheimer                                                                                     Grâce à cette vague de nouvelles pistes de recherche innovantes, de nombreux nouveaux médicaments sont actuellement en développement, une médication dont les chercheurs espèrent qu’elle aura un grand potentiel afin de pouvoir bientôt traiter la maladie. Beaucoup de chercheurs croient qu’un mélange ou un cocktail de ces nouvelles médications permettra de faire une percée majeure dans le traitement et le ralentissement de la maladie.                                                                                       Source : Fondation Recherche Alzheimer


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  • Bonne fête aux mamans... et celles à venir


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  •  Alors que Bruxelles s'est dotée depuis plusieurs mois d'une immense zone piétonne à l'intérieur de ses murs, le bilan économique de cette mesure laisse à désirer aujourd'hui. Et devrait avertir Paris, qui réfléchit à en faire autant, sur les conséquences à venir.

    Villes mortes ? Pourquoi Paris ferait bien de regarder de près ce qui est arrivé à BruxellesBruxelles, ville déserte

    Depuis qu’elle s’est dotée de la zone piétonne la plus étendue d’Europe, la capitale belge est à l’arrêt. Aujourd’hui, le déclin est tel qu’on peut sérieusement déclarer l'hypercentre en état de mort clinique. Les commerçants, les restaurateurs, les hôteliers exsangues et les riverains excédés ne savent plus vers qui se tourner. Les autorités, imperturbables, ne veulent rien entendre.

    Le déclin en mode Mayeur

    Les boulevards Anspach et Lemonnier, des artères de style haussmannien privées de circulation automobile, accentuent par leur envergure l’image désolante d’une ville dans le coma. A Bruxelles, depuis le 29 juin 2015, c’est  tous les jours dimanche.Tout tourne au ralenti. Les touristes ont fuit. Les fournisseurs aussi. Restent les bobos, à vélo, à pied ou à trottinette. Telle était la volonté du maire socialiste Yvan Mayeur. Surnommé le "non élu" pour s'être hissé au sommet malgré un nombre de voix de préférence ridicule (2 662 très exactement), il doit son ascension à un accord de majorité - que certains auraient imaginé contre nature - avec le MR et son homologue flamand, l’Open VLD

      Villes mortes ? Pourquoi Paris ferait bien de regarder de près ce qui est arrivé à BruxellesLes giboulées de mars s'éternisent sur Bruxelles. La ville fait grise mine. Dans le centre, l’activité commerciale périclite. Les trésoreries se dégradent. Les banques ne suivent pas. Les faillites se succèdent. Après huit mois de zone piétonne, le chiffre d’affaires était en baisse de 30 à 50% selon les secteurs. Après les attentats et la fermeture de plusieurs tunnels qui menacent de s’écrouler faute d'entretien, cette baisse a même atteint 80% chez certains commerçants… Du jamais vu depuis la Seconde Guerre Mondiale ! 

     

    Le mal est pourtant structurel. Le naufrage était prévisible bien avant la célébrité nouvellement acquise d'un Abdeslam ou d'un Abrini. Les racines sont idéologiques. C'est dans le dogmatisme du mythe d'une ville post-moderne émancipée de la voiture et livrée à la "mobilité douce" qu'il faut les rechercher. C'est une véritable croisade prométhéenne contre le réel que le PS et ses alliés "libéraux" sont en train de mener au coeur de l'Europe, avec la bénédiction de la Commission européenne sous influence de lobbies qui part chaque année en campagne lors de la "semaine européenne de la mobilité". Sur le terrain, cette politique est le plus souvent mal pensée si bien qu'elle conduit à l'immobilité. Privée de ressources logistiques, la ville est alors directement touchée dans ses fonctions vitales, tel un organe privé d'oxygène à la suite d'un accident vasculaire.

    Traditionnellement enclines à voter pour les libéraux, les classes moyennes ne s’attendaient certainement pas à une telle trahison de la part de leurs représentants du MR et de l’Open VLD qui ont soutenu avec les socialistes le bannissement de la voiture comme un seul homme. Privés de relais politiques pour plaider leur cause, les commerçants ont fini par mobiliser des moyens d’actions plus directs tels que la pétition ou la campagne d’affichage à l’effigie d’un Mayeur persona non grata pour tenter de se faire entendre.  

    De Bruxelles à Paris, il n'y a qu'un pas 

    L’indésirable bourgmestre a même été mis à la porte du Cécila, un restaurant proche de la Grande Place. Le Chef en personne, Mélanie Englebin, lui a tout simplement signifié "ne pas pour pouvoir cuisiner pour quelqu’un qui coule son affaire". Depuis cet incident, le Cécila est submergé de réservations. Voilà qui donne une petite idée du niveau de détestation dont le maire est l’objet. D’ailleurs, le dernier Conseil communal s’est ouvert sur une foule de commerçants et de riverains en colère rassemblés pour scander "Mayeur démission !".

    Malgré ce signal fort, les autorités ont choisi de camper sur leurs positions et de poursuivre le nez dans le guidon la politique d’éviction de la voiture. Pire, elles comptent renchérir et remplir le grand vide des boulevards déserts par un parcours d’œuvres d’art, contemporaines et forcément très coûteuses. C’est le syndrome du petit rond-point de province surmonté d’une pièce produite par un artiste local. Pour sa capitale, Mayeur flatte son égo XXL en faisant appel à une sommité mondiale de l’art hautement subventionnée, Anish Kapoor, rien de moins. Et dire qu’il n’y aura aucune voiture pour tourner autour de l’œuvre de ce pape du Financial Art… Pas de marché public non plus, les prestations artistiques échappant à la règle. Qui sait, avec une telle marge, d'ici Noël, Bruxelles pourrait s'équiper d'un plug en guise de sapin...

    Alors que les Bruxellois n’ont pas fini de mesurer l’étendue du désastre d’une ville qui piétine, le ministre régional des Travaux publics, Pascal Smet, semble vouloir porter le coup de grâce en amenant sa propre couche institutionnelle de dépenses. Celles-ci serviront à "piétonniser" la chaussée d’Ixelles, un autre axe commercial névralgique de la capitale. Ensuite, comme il tient à marquer le paysage et les esprits, il a aussi engagé 42 millions d’euros dans le réaménagement de la place Rogier qui sera dotée d’un auvent géant dont le montant à lui seul dépasse 7 millions. On espère pour lui que l’ouvrage, à l’image de la Canopée des Halles, sera lui aussi visible de l’espace. Sinon, à quoi servirait-il ?

    Reçu en grande pompe par son homologue parisienne Anne Hidalgo à l'Hôtel de ville de Paris une semaine après les attentats de Bruxelles, Yvan Mayeur aura certainement vanté les mérites de sa politique de mobilité suicidaire en se gardant bien d’évoquer l’irréversible processus de nécrose urbaine qu’elle a engendré. Or, à partir du 8 mai, c'est au tour des Champs Elysées d'être transformés en espace piétonnier un jour par mois. Paris qui met ainsi un doigt dans l'engrenage a certainement beaucoup à apprendre du calvaire des Bruxellois…


    Source :  http://www.atlantico.fr/decryptage/villes-mortes-pourquoi-paris-ferait-bien-regarder-pres-qui-est-arrive-bruxelles-en-etendant-zones-pietonnes-dominique-dumont-2682060.html#ow5jBJ6fwoZ3dB3C.01
     

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  • Faites connaître #DiningForBrussels !

     Les attentats ont mis à mal l’horeca bruxellois. Mais nous brandissons nos couteaux et nos fourchettes ! Soutenez massivement l’initiative : sortez manger à Bruxelles, photographiez votre assiette vide avec vos couverts disposés en signe de paix et partagez votre photo avec le hashtag

    Partagez la photo sur Instagram, Facebook ou Twitter avec le hashtag #‎DiningForBrussels‬

    Brandissez couteaux et fourchettes et soutenez l’horeca bruxellois.

     

     


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  • Humour pluvieux du plat pays


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  • Gianni Berengo Gardin, un grand photographe italien, a été censuré l’année dernière pour sa série de photographies dénonçant le tourisme de masse qui étouffe Venise.

    Les colossaux paquebots en mouillage dans la sérénissime lagune détonnent dans le paysage. De véritables buildings flottants dépassent des maisons traditionnelles de la ville, greffant dans le tissu urbain vénitien un décor surréaliste et mouvant.
    L’industrie du tourisme, un peu plus grande chaque année, met en péril le maintien de l’écosystème lagunaire ainsi que celui des berges fragiles, régulièrement abimées par les manoeuvres de ces géants flottants.
     
    La série Mostri a Venezia (Monstre à Venise), a capturé la dissonance établie entre un tourisme fait de consommation et de foule et la délicatesse d’une ville menacée. Vingt-sept photographies devaient être exposées au Palazzo Ducale avant que le maire de Venise, Luigi Brugnaro, n’interdise l’exposition, la jugeant nuisible pour l’image de la ville. Depuis, ces clichés effrayant ont fait le tour du net.
     
    Pour préserver la cité, un chenal a été construit pour maintenir à l’écart les paquebots à l’origine du déversement de millions de touristes dans les ruelles étroites chaque année. 20 millions de visiteurs par an foulent le sol vénitien et modifient drastiquement son urbanité. Les échoppes de colifichets low-cost ont remplacé les artisans au savoir ancestral. Les paquebots, ces énormes machines à rêve, participent de la fuite de l’âme séculaire de la « fiancée de la mer ».
     
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    Source et photos :

    http://www.lumieresdelaville.net/2016/04/28/en-images-les-paquebots-qui-ecrasent-la-serenissime-venise/?utm_campaign=shareaholic&utm_medium=facebook&utm_source=socialnetwork

     
     
     

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  • Yvan Mayeur rejeté d'un restaurant bruxellois lésé par le piétonnierLe 15 avril dernier, le bourgmestre de la Ville de Bruxelles Yvan Mayeur, a été refusé à l'entrée d'un restaurant proche du piétonnier en raison d'une baisse de son chiffre d'affaires depuis son instauration.

    Yvan Mayeur a déjà jugé cet événement "regrettable". Le bourgmestre n'a pas nié les faits mais il n'a pas non plus souhaité s'exprimer davantage à ce sujet.

    Ce n'est pas la première fois que des voix s'élèvent contre le piétonnier, surtout de la part des restaurateurs du centre-ville de Bruxelles qui voient baisser leur chiffre d'affaires. Début du mois d'avril, nous publions une opinion de Philippe Limbourg, directeur de GaultMillau Benelux, attristé des conséquences néfastes pour les grands et petits restaurants autour du piétonnier.

    "À cause du piétonnier mon chiffre d'affaires a baissé de 40%"

    Celle qui a refusé de servir Yvan Mayeur le vendredi 15 avril dernier n'est autre que Mélanie Englebin, la cheffe du restaurant Cécilia. Comme elle l'explique à Brussels Nieuws, elle s'est adressée calmement à Yvan Mayeur: "Je lui ai demandé de quitter les lieux et je lui ai donné une explication: le piétonnier a fait en sorte que les gens ne puissent plus atteindre le centre de Bruxelles, et le soir, c'est devenu une zone peu sûre. Résultat: mon chiffre d'affaires a baissé de 40%."

    Ce à quoi le bourgmestre aurait répondu que sa politique n'était pas à mettre en cause. "Il m'a dit que le piétonnier ne pouvait être la raison principale du déclin économique de mon établissement, explique Mélanie Englebin. Je lui ai fait remarquer pour ma part qu'il n'y avait pas eu d'attentats entre juillet et novembre et que ce ne pouvait donc être autre chose."

    Source : La libre.be


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  • C'était au temps où Molenbeek... brusselait !

     Photo découverte sur le groupe Facebook 

    https://www.facebook.com/groups/sofei/

     


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  • Santé : Pour vivre sainement… faites comme si vous aviez le diabèteLe diabète est une pathologie mondialement répandue, en croissance, et grave. Il en existe différentes formes. Sans tomber dans la restriction, les recommandations en termes d’hygiène de vie pour les patients diabétiques peuvent être préconisées pour tout un chacun avec profit, dans leurs grandes lignes directrices.

    Eviter le diabète, c’est éviter beaucoup d’autres maladies

    La forme du diabète la plus répandue, le diabète sucré, est liée à une défaillance des mécanismes biologiques de régulation de la concentration de glucose dans le sang. Il est dit « sucré » car il conduit à une hyperglycémie. A trop fortes doses dans le sang, le glucose cause des lésions d’organes, de la rétine, des artères coronaires ou des reins. Il entraîne un besoin d’urine et de boire important, une prise de nourriture abondante, de la fatigue, des troubles de la vision, de l’irritabilité…

    Cette maladie est toutefois aujourd’hui de mieux en mieux prise en charge. Son traitement repose en partie sur un suivi nutritionnel personnalisé, mais qui, dans ses grandes lignes, devrait être suivi par tous : réduire fortement les sucres rapides et les graisses saturées, ne pas fumer, éviter l’alcool et pratiquer une activité physique adaptée à son niveau et à ses préférences.

    Les 9 règles de vie des diabétiques que tout le monde devrait suivre

    1. Réduire les sucres rapides et cachés : de plus en plus, les méfaits des glucides rapides comme le saccharose et le sirop de glucose-fructose sont dénoncés. Favorisant le surpoids, les caries ou l’inflammation, ils sont à éviter au maximum.
    2. Pour vivre en meilleure santé, il faut avoir l’oeil : si éviter le rayon confiseries nous paraît évident, on est moins familier des sucres cachés dans les plats préparés et on oublie facilement les quantités astronomiques de sucre que l’on avale en buvant un verre de soda, et un verre de jus de fruits. Rappelons qu’un nouveau type de cirrhose due au sucre vient de faire son apparition.
    3. Réduire les graisses saturées : on les soupçonne de favoriser l’athérosclérose, et d’avoir un impact négatif sur le système cardio-vasculaire. A éviter, donc, les charcuteries grasses et hyper salées ! Il faut consommer sans excès le beurre, les fromages et autres produits laitiers riches, ainsi que les morceaux de viande particulièrement caloriques, telles que côte de boeuf, agneau, ou travers de porc. On privilégiera les viandes blanches (poulet, dinde) et les poissons gras (saumon, maquereau, sardine…).
    4. Bannir les graisses trans : attention aux margarines hydrogénées et aux plats préparés qui en contiennent, heureusement de moins en moins.
    5. Privilégier les bons acides gras : monoinsaturés comme l’huile d’olive, et polyinsaturés, riches en oméga 3 : colza, noix, lin. Il est tout à fait possible de mélanger les huiles. Vous pouvez aussi utiliser une huile comme l’olive pour la cuisson, et assaisonner vos salades avec une huile neutre comme la colza. D’autres huiles au goût prononcé comme la noix font des miracles associées à l’endive ou la betterave. Attention ! plus une huile est insaturée, plus elle est fragile et sensible à l’action de l’oxygène en présence de lumière. Ne gardez pas une huile entamée trop longtemps et conservez la à l’abri de la lumière, voire au réfrigérateur.
    6. Adopter les fruits et légumes de saison : riches en eau, en fibres et en vitamines, ils sont l’atout d’une bonne santé. Préférez-les bio pour profiter au mieux de leurs bienfaits.
    7. User et abuser des céréales complètes et des légumineuses, riches en oligo-éléments qui sont perdus dans les produits raffinés, en fibres et en protéines végétales
    8. Eviter l’alcool : pour des raisons évidentes.
    9. Pratiquer une activité physique quotidienne : 30 mn de marche par jour minimum, et/ou au moins trois heures par semaine. La pratique d’une activité sportive fait baisser la glycémie de façon très efficace !

    Ce type de régime, proche du régime méditerranéen et de celui d’Okinawa, n’a plus besoin de faire ses preuves. Alors, à vos assiettes !

    L’avis de la diététicienne

    Le problème du diabète est que les glucides sont la source principale d’énergie du corps. Donc les diabétiques ne peuvent pas se priver de glucides. La solution : choisir les bons glucides, et les bonnes quantités quand il s’agit de diabète insulino-dépendant.

    Choisir les” bons” glucides

    Ces « bons » glucides sont ceux qui possèdent un index glycémique (IG) bas : ils ne font pas monter la glycémie très vite et très haute, mais doucement et lentement. Avec pour autres conséquences de maintenir une satiété plus longue, donc de manger moins souvent, ce qui est parfait pour réguler aussi les problèmes de poids, que l’on soit diabétique ou pas.

    Où trouver des glucides à index glycémique bas ?
    • Céréales et pseudo céréales complètes : blé sous forme de farine et de pains, riz, pâtes, quinoa, sarrasin, millet, etc.
    • Légumes secs : lentilles, pois chiches, haricots blancs ou rouges ou verts secs.
    • Fruits : les moins mûrs possibles, une banane mûre aura un IG haut, tandis qu’une banane presque verte aura un IG bas.
    • La cuisson permet aussi de jouer sur les IG :
    • les pâtes al dente ont un IG bas, pas les pâtes molles ;
    • les pommes de terre froides ont un IG bas, pas les chaudes.

    N’hésitez pas à mettre tous ces aliments dans votre assiette, que vous soyez diabétiques ou pas. Et pour vous guider dans vos quantités : la faim et la satiété. Elles sont valables pour tout le monde, y compris pour les diabétiques.

    Cette alimentation riche en fruits et légumes surtout de saison, en féculents et légumes secs, pauvre en produits très sucrés et en produits animaux ressemble effectivement beaucoup à l’alimentation méditerranéenne. Et reprend aussi les recommandations du PNNS, le Plan National Nutrition Santé. Des concordances qui ne sont pas un hasard et qui vont vers plus de santé. Mangez comme les diabétiques, et vous ne le deviendrez pas !

    Source : Consoglobe
    En savoir plus sur http://www.consoglobe.com/vivre-sainement-diabete-cg#KlplSCZYjbFMWXlQ.99
     
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  • Si je ne soutiens pas la totalité de ce "coup de gueule" exprimé par ce commerçant, ancien patron d'une véritable institution du centre ville, je me permets, par soucis de neutralité, d'en partager son contenu tout en y mettant les plus vives réserves d'usage quant aux personnes citées.                                                                                                       

    Madame Laurette Onkelinx,

    Il a fallu, malheureusement, les tristes évènements du 22 mars pour que mon ras-le-bol, ressenti depuis tellement longtemps, m’amène à vous adresser ces quelques mots.

    J’ai, cette année, 75 ans et j’ai exercé une profession jusqu’à l’âge de 74 ans. Toute ma vie, j’ai été indépendant, ne dépendant que de moi-même.
    J’ai même eu le privilège de faire travailler toute ma vie au moins une quinzaine de personnes.

    J'ai, entre autres, exploité un commerce, dans le centre de Bruxelles, qui est reconnu par beaucoup de bruxellois comme étant une institution. Ce sont mes arrières-grands-parents qui l’ont débuté en 1873 et mon fils qui l’exploitait encore l’année passée. Il représentait la cinquième génération de la même famille d’exploitants.

    C’est vous dire à quel point je connais les charmes de Bruxelles et les péripéties de son évolution ou plutôt de sa dégradation. Nous avons remis le commerce et quitté Bruxelles et tous les jours je m’en réjouis et j’en remercie « le Ciel».

    Qu’avez-vous fait de Bruxelles?! Votre angélisme et surtout votre clientélisme ont plongé la capitale de l’Europe dans le marasme total et l’insécurité quotidienne.

    Philippe Moureaux, ce traître à la patrie, a fait de Bruxelles une ville pointée du doigt dans le monde entier, un nid de terroristes.

    Yvan Mayeur, bourgmestre illégitime de Bruxelles, a été catapulté à ce poste par votre volonté irréfléchie. Son piétonnier est un fiasco total et a totalement détruit l’âme même de Bruxelles. Vous-même, y avez-vous mis les pieds une seule fois ?
    Il sera responsable de la ruine de nombreux commerces et malheureusement les faits se précisent déjà.

    Yvan Mayeur, qui s’en réjouit à l’encontre de l’avis de la majorité des commerçants, veut y laisser sa trace comme les chiens urinent sur chaque réverbère.

    Marre, nous en avons tous marre de nos politiciens et de votre incompétence. J’en reste là parce que je risque de devenir irrévérencieux et malgré les bonnes manières que mes parents m’ont inculquées, je ne vous salue pas, madame.

    GUSTIN Michel

    Source : lepeuple.be

    Lettre dépitée d'un commerçant du piétonnier de Bruxelles-ville


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  • Les frères Bogdanov
    Il y a 30 ans il étaient canons mais aujourd’hui ils sont méconnaissables! Plus proches de l’extra-terrestre que de l’humain, les 2 frères démentent pourtant formellement avoir eu recours à la chirurgie esthétique. Maladie de l’espace ou peur de la vérité, qui sait ?!


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  • En 1960, quatre jeunes bruxellois s’imposent sur la scène rock internationale avec le titre Kili Watch. Le premier tube des Cousins envoie le groupe au sommet des hits parade du pays. Un disque d’or en poche, ils partent en tournée à travers le monde… Watch-watch kiliwatch !

    Nostalgie : Kili Watch, le hit bruxellois des années 60

     
     

    Success-story bruxelloise

    Kili kili kili kili watch watch watch watch ké um ken ké ala… Vous avez certainement déjà fredonné cet air sans savoir qu’il était bruxellois. Et pourtant… En 1960, The Cousins enregistrent leur premier titre dans le studio Philips situé rue du poinçon, à quelques pas de la Place de la Chapelle…

    En 1960, huit jeunes musiciens écument les soirées branchées de la capitale pour faire danser la jeunesse bruxelloise. Ils se font appeler « la jeune équipe ». Début juillet, le groupe est engagé pour animer la soirée d’anniversaire d’un nouveau club situé sur la Grand-Place. Le bistrot s’appelle « Les cousins ». Il fait référence au dernier film de Chabrol dont le patron, Jean-Paul Wittemans, est un fervent admirateur. L’établissement est si petit que seul quatre membres du groupe peuvent s’y produire. Lors de la soirée, le succès est au rendez-vous. La semaine d’après, l’établissement réinvite la « jeune équipe ». Cette fois, un producteur belge repère les musiciens et leur propose d’enregistrer deux chansons : Fuego et Kili Watch.

    Nostalgie : Kili Watch, le hit bruxellois des années 60Document vidéo Youtube :

    https://www.youtube.com/watch?v=k4Xj1X7V3J8

    La naissance des Cousins

    Le 8 octobre 1960, les quatre membres du groupe se retrouvent pour enregistrer leurs deux premiers titres. Des huit artistes à l'origine de la jeune équipe, il ne reste que Gustave Derese à la basse, Adrien Ransy à la batterie, André Van den Meersschaut et son frère Guido Van den Meersschaut, tous deux à la guitare et au chant. Les musiciens se choisissent un nouveau nom « The Cousins », en référence au club qui les a révélé. Gustave Derese quitte rapidement le groupe après une dispute concernant les droits d’auteur du tube « Kili Watch » qu’il s’est attribué. Il est alors remplacé par Jacques Stekke. 

    Kili Watch Watch Watch et ses reprises

    A l'origine, Kili Watch est une chanson scoute revisitée sur un tempo rock par "The Cousins". Dès sa sortie, le titre fait un carton. Il est bombardé sur les ondes de Belgique. Le succès se répand ensuite chez nos voisins, en Angleterre et en Europe. Il traverse rapidement l’Atlantique. The Cousins sont les premiers artistes belges à recevoir un disque d’or pour un morceau rock 'n' roll.

    En France, un certain Johnny Hallyday, âgé de 17 ans, reprend le titre et y ajoute des paroles en français.

    Document vidéo Youtube :

    Nostalgie : Kili Watch, le hit bruxellois des années 60

    https://www.youtube.com/watch?v=XC90Al7skts

     

    Source : brusselslife.be


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  • Ceci n'est pas un poisson

    Et ça non plus !

    Ceci n'est pas un poisson


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  • Au lendemain du dévoilement de la Une controversée de l'exemplaire du 30 mars de Charlie Hebdo, la Belgique réplique par la bouche de ses canons avec une caricature de son cru.

    Le montage, dont la source originale est difficile à identifier, mais qui a été partagé massivement sur les réseaux sociaux, met en scène le personnage de « Où est Charlie? » dans une mise en scène identique à celle de la Une de l'hebdo satirique français.

    Certains s'étaient d'abord indignés, mardi, en voyant la couverture imaginée par Charlie Hebdo à cause de son manque de délicatesse, à peine une semaine après les attentats de Bruxelles, et des révélations faites plus tard dans la journée ont donné plus de poids aux critiques.

    En effet, Canoe rapporte que le père de Stromae — tout comme plusieurs membres de sa famille — serait décédé lors du génocide rwandais, en 1994. Selon certaines sources, dont Le Figaro, il aurait même été coupé en morceaux par ses assaillants.

    Le chanteur belge est resté muet jusqu'à présent, mais sa famille s'est indignée, selon le quotidien belge Het Nieuwsbald, se demandant si Charlie Hebdo était au courant de « l'histoire familiale de Stromae » (propos traduits et rapportés par Metro News).

    Les Belges répondent à Charkie Hebdo

          La une polémique de Charlie Hebdo après les attentats de Bruxelles

    Les Belges répondent à Charkie Hebdo

     

    LE FIGARO

    En réaction à la couverture du journal satirique paru ce mercredi 30 mars, les citoyens du plat pays se sont pris au jeu de la parodie. Avec une pointe de sarcasme, mais sans se départir de leur gentillesse proverbiale, ils ont caricaturé les attentats du 7 janvier en France.

    Les Belges aussi ont un sacré sens de l'humour. Alors que Charlie Hebdo a parodié les tragiques événements de Bruxelles dans son nouveau numéro paru ce mercredi, les habitants du plat pays, qui ne manquent pas de répondant, n'ont pas tardé eux aussi à répliquer. En se moquant gentiment des attentats du 7 janvier. Sur les réseaux sociaux, ces derniers ont repris le dessin de Riss et caricaturé l'attaque de Charlie Hebdo perpétrée contre la rédaction du journal satirique.

    «Où est Charlie?», se questionne le personnage du même nom, les yeux fermés laissant échapper une larme. «Ici», «Là», «Et là aussi», répondent en chœur des membres désossés, vraisemblablement déchiquetés par les balles des frères Kouachi lors des attentats du 7 janvier 2015. La réponse est cinglante... Mais ne devrait pas manquer de faire sourire les journalistes de Charlie Hebdo, qui se sont fait prendre à leur propre jeu.

    Une réponse du berger à la bergère qui s'inspire d'ailleurs du jeu britannique Où est Charlie Where is Wally?») créé en 1986. C'est ce visage emblématique que l'on retrouve sur la parodie belge de la couverture de Charlie Hebdo.

    Le jeu original Où est Charlie? s'est transformé en jeu macabre...
     
    Le jeu est d'autant plus sordide que le personnage de Charlie s'adresse d'abord aux enfants et n'a d'autre vocation que de divertir. Avec ce dessin la récréation est terminée. La chasse au trésor se transforme en quête mortifère où il ne s'agit plus de retrouver l'habit bariolé de Charlie mais un œil, un bras et une jambe ensanglantés.

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  • Le surréalisme belge dans sa plus grande blessure

    Folon, artiste belge au regard tendre et serein sur les êtres, avait enfanté un "homme au chapeau " humaniste comme son créateur. Assez bizarrement, lorsque j'ai vu les photos de l'homme au chapeau à l'aéroport de Zaventem, je n'ai pu m'empêcher de faire un rapprochement entre ces deux personnages tellement différents mais au contraste troublant.

    L'homme au chapeau se trouve-t-il à Knokke-Le-Zoute ?

    L'homme au chapeau se trouve-t-il à Knokke-Le-Zoute ?

    L'homme au chapeau se trouve-t-il à Knokke-Le-Zoute ?

                       L’artiste

     Au fond, je ne suis ni peintre, ni dessinateur, ni affichiste, ni écrivain, ni graveur.

    Je ne suis ni abstrait, ni figuratif. Je n’appartiens à aucune école.
    Mon but n’est pas de figurer dans une histoire de l’art.
    Je n’ai rien inventé, puisque je dois tout à tout le monde.
    Je ne comprends pas mes images, et chacun est libre de les comprendre comme il veut.
    J’ai seulement essayé de fixer mes propres rêves, avec l’espoir que les autres y accrochent les leurs.
     

    Folon

     

     


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  • "On est chez nous": 450 hooligans prennent la Bourse d'assaut

    Bruxelles: Une marche blanche prônant la solidarité remplacée par une marche brune nauséabonde

    Une dizaine d'interpellations ont eu lieu dimanche après-midi à la suite des débordements à la place de la Bourse. Selon les forces de l'ordre, des fauteurs de trouble ont dégradé du mobilier urbain au boulevard Emile Jacqmain et ont lancé des projectiles incendiaires vers la police. 

    Encagoulés et alcoolisés

    Plus de 400 manifestants, des hooligans venus notamment d'Anvers via la gare de Vilvorde, se sont rendus à la place de la Bourse à Bruxelles vers 14h30, lieu improvisé de recueillement de la population, depuis les attentats de Bruxelles, où ils ont scandé des slogans haineux. Après avoir pris position dans le périmètre de la Bourse, les forces de l'ordre arrivées sur place ont commencé à les refouler en direction de la place De Brouckère et du boulevard Jacqmain où les manifestants se sont livrés à des actes de vandalisme. La police anti-émeute a fait usage de canons à eau pour les disperser. Ces supporters, certains encagoulés et alcoolisés, scandent "Belgian hooligans. On est chez nous." La tension était palpable.   

    "Je suis scandalisé par ce qui se passe, de constater que de telles crapules viennent provoquer les habitants sur les lieux de leur hommage. Nous avons été prévenus hier de leur venue possible, et je constate que rien n'a été fait pour les empêcher de se rendre à Bruxelles", a commenté Yvan Mayeur alors que les manifestants étaient progressivement dirigés sous cordon policier vers la gare du Nord d'où ils sont arrivés. "Je veux en tout cas une réaction du gouvernement fédéral par rapport à cela", a-t-il ajouté.


     J'ai un gros problème que je n'arrive pas à résoudre. Le bourgmestre de Bruxelles Yvan Mayeur interdit la "marche contre la peur" car, étant donné la capacité policière sur le terrain, il est compliqué d'assurer la sécurité de l'événement ! A voir le nombre de policiers pour contrer ce rassemblement haineux, je me dis que, finalement, il y avait quand même la capacité policière requise pour cette marche contre la peur et cela aurait donné autre chose que cette image lamentable de Bruxelles (une de plus) dont vont encore se pourlécher les médias étrangers et la... NVA

    Delwart M. (concepteur de ce blog)

    Une marche blanche prônant la solidarité remplacée par une marche brune nauséabonde

    Une marche blanche prônant la solidarité remplacée par une marche brune nauséabonde

    Une marche blanche prônant la solidarité remplacée par une marche brune nauséabonde

    Bruxelles: Une marche blanche prônant la solidarité remplacée par une marche brune nauséabonde

    Lien utile : 

    http://woluwe-saint-lambert.eklablog.com/les-hooligans-fous-de-la-bourse-en-photos-commentaire-du-photographe-o-a125534720


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